Lemeneur du jeu frappe dans ses mains en Situation de dĂ©part : Les enfants sont assis en cercle. Bal Thackeray Net Worth 2018, L’institutrice cherche avec les enfants des sons produits avec le corps. Account & Lists Account Returns & Orders. Toute la classe frappe de façon rĂ©guliĂšre. Les Jeux de Mains: Poeme Inedit, En Trois Chants

Accueilmots croisésrecherche par définition Rechercher dans le dictionnaire Solutions pour les mots croisés et les mots fléchés Définition Lettre connue Utilisez la barre espace en remplacement d'une lettre non connue Solution pour la résolution de "orifice par lequel les araignées produisent leur fil" Dictionnaire et définitions utilisés Définition 91 mots associés à orifice par lequel les araignées produisent leur fil ont été trouvé. Lexique aucune lettre connue saisie Résultat 1 mots correspondants Définition et synonyme en 4 à 15 lettres FILIERE7 lettresOrifice par lequel les araignées produisent leur filEnseignement spécifique ANUS4 lettresOrifice terminal du tube digestif MEAT4 lettresOrifice naturelOrifice de l'urÚtre PORE4 lettresOrifice cutanéTrou de la peau ATELES6 lettresSinges araignéesDes animaux aux bras longsSinges aux longs membresSinges graciles CARDIA6 lettresOrifice supérieur de l'estomac NARINE6 lettresPrénom Nariné FémininOrifice en faceTrou d'airElle est nécessaire à nos aspirationsConduit de fumée ECUBIER7 lettresOrifice pour chaßne de navire EPEIRES7 lettresAraignées des jardins OSTIOLE7 lettresOrifice végétalOuverture végétale TUNISIE7 lettresToponyme Tunisie nom du paysPays dans lequel a eu lieu la révolution de jasminétat d'Afrique du nord TWISTER7 lettresJeu dans lequel nos mains et nos pieds s'entrelacent VENTAIL7 lettresNom commun ventail masculin singulier1. Partie inférieure du heaume, munie d'un ouverture par laquelle on de casque PRIEDIEU8 lettresMeuble sur lequel on s'agenouille SUFFRAGE8 lettresVote par lequel on exprime son opinion ACCOMPLI8 lettresTel un fait sur lequel on ne revient pasParfait dans son genre BILBOQUET9 lettresJeu, une boule reliée par un fil à une poignée PARTITION9 lettresPapier sur lequel la musique est écriteElle prend des notes ARANEIDES9 lettresAraignéesLes tarentules en font partie THEOCRATIE10 lettresRégime politique dans lequel le pouvoir vient de dieu CIEUX5 lettresLeur royaume est en l'air
Unbijou de poĂ©sie. Les auteur-ices nous offrent ici un rĂ©cit oĂč les mots s’entrelacent pour tisser la tresse d’une Ɠuvre superbe.MĂ©taphores, polysĂ©mie des mots, jeux de langage et images oniriques, Les oiseaux du temps est un vrai petit bijou de poĂ©sie qui nous frappe en plein cƓur. C’est le genre de roman dans lequel on s’attarde volontiers pour relire
Vous trouverez ici toutes les solutions de la Grille 1 du Groupe 24 de Codycross Sous l ocean ContenuEsquisse premier jet du dessinateurCoiffeur pour hommesInconnuBloc de glace qui flotte a fait couler le TitanicProvoquĂ© par un sĂ©isme sous-marinLe cycliste a les pieds dessusPuissance nĂ©cessaire pour effectuer une tĂącheBart et Marge font partie de la famille __Cheval lĂ©gendaire Ă  une corneAmande coupĂ©e en fines lamellesJeu dans lequel nos mains et pieds s’entrelacentObjet vidĂ©oludique de salon ou portableSupport vertical pilier dĂ©coratifActivitĂ© sous-marine avec des bouteillesÊtre avare c’est en avoir dans sa poche Esquisse premier jet du dessinateur Voici le solution du groupe 24 grille 1 Esquisse premier jet du dessinateur EBAUCHE Coiffeur pour hommes Voici le solution du groupe 24 grille 1 Coiffeur pour hommes BARBIER Inconnu Voici le solution du groupe 24 grille 1 Inconnu ANONYME Bloc de glace qui flotte a fait couler le Titanic Voici le solution du groupe 24 grille 1 Bloc de glace qui flotte a fait couler le Titanic ICEBERG ProvoquĂ© par un sĂ©isme sous-marin Voici le solution du groupe 24 grille 1 ProvoquĂ© par un sĂ©isme sous-marin TSUNAMI Le cycliste a les pieds dessus Voici le solution du groupe 24 grille 1 Le cycliste a les pieds dessus PEDALES Puissance nĂ©cessaire pour effectuer une tĂąche Voici le solution du groupe 24 grille 1 Puissance nĂ©cessaire pour effectuer une tĂąche ENERGIE Bart et Marge font partie de la famille __ Voici le solution du groupe 24 grille 1 Bart et Marge font partie de la famille __ SIMPSON Cheval lĂ©gendaire Ă  une corne Voici le solution du groupe 24 grille 1 Cheval lĂ©gendaire Ă  une corne LICORNE Amande coupĂ©e en fines lamelles Voici le solution du groupe 24 grille 1 Amande coupĂ©e en fines lamelles EFFILEE Jeu dans lequel nos mains et pieds s’entrelacent Voici le solution du groupe 24 grille 1 Jeu dans lequel nos mains et pieds s’entrelacent TWISTER Objet vidĂ©oludique de salon ou portable Voici le solution du groupe 24 grille 1 Objet vidĂ©oludique de salon ou portable CONSOLE Support vertical pilier dĂ©coratif Voici le solution du groupe 24 grille 1 Support vertical pilier dĂ©coratif COLONNE ActivitĂ© sous-marine avec des bouteilles Voici le solution du groupe 24 grille 1 ActivitĂ© sous-marine avec des bouteilles PLONGEE Être avare c’est en avoir dans sa poche Voici le solution du groupe 24 grille 1 Être avare c’est en avoir dans sa poche OURSINS Plus de rĂ©ponses de Codycross Sous l ocean Codycross est l’un des jeux de mots les plus jouĂ©s de l’histoire. Amusez-vous avec les nouveaux niveaux que les dĂ©veloppeurs crĂ©ent pour n’oubliez pas d’ajouter ce site web Ă  vos favoris 🌟 afin de pouvoir revenir lorsque vous avez besoin d’aide pour un niveau de Codycross. N’hĂ©sitez pas Ă  nous contacter pour nous faire part de vos suggestions et commentaires.
34Des diffĂ©rentes histoires qui s’entrecroisent et s’entrelacent dans Tristram Shandy, deux sont Ă©troitement nouĂ©es dans le chapitre 24 du livre III : celle de la vie de Tristram, celle des amours de Toby. Mais il convient d’ĂȘtre plus prĂ©cis : l’histoire des amours de Toby se compose d’une part des amours de Toby et de Mrs Wadman et d’autre part des amours en miroir de Trim
Accueilmots croisĂ©srecherche par dĂ©finition Rechercher dans le dictionnaire Solutions pour les mots croisĂ©s et les mots flĂ©chĂ©s Lettre connue Utilisez la barre espace en remplacement d'une lettre non connue Solution pour la rĂ©solution de "jeux de mains" Dictionnaire et dĂ©finitions utilisĂ©s DĂ©finition 71 mots associĂ©s Ă  jeux de mains ont Ă©tĂ© trouvĂ©. Lexique aucune lettre connue saisie RĂ©sultat 1 mots correspondants DĂ©finition et synonyme en 3 Ă  10 lettres Jeux de mainsCombat Ă  mains nuesSport de combatPassĂ© entre les mains du mitronMalaxĂ© au fournil Est montĂ©e par des mains expertesPierre aux reflets irisĂ©sPierre translucidePierre finePassĂ© par les mains du chirurgienJoue du bistouriFait une actionFait effetTube conçu pour toutes les mainsMains de pokerA entre ses mainsIl fabrique des accessoires de mode pour les mainsHomme de mainsAu football il est le seul Ă  utiliser les mainsCombat Ă  mains nuesFinit parfois par une tournĂ©e gĂ©nĂ©raleJeu dans lequel nos mains et nos pieds s'entrelacentHabiles de leurs mainsRetirĂ© des mains du jugeJeu de mainsRedonne en mains propresReproduit fidĂšlementHomme de mainsIl rentre les mains videsNe rapporte rienPiĂšces de jeuxPour jouer au backgammonPeuvent ĂȘtre pipĂ©sIls ont six facesCubes Ă  jeter pour jouerAussitĂŽt queSurface de jeuxAire de jeuxTerrain de jeuxOpposĂ©e au jardinL'ensemble des magistratsEspace closCercle d'admirateurs JEU DANS LEQUEL NOS MAINS ET PIEDS S'ENTRELACENT: CIRAGE: S'ETALE A NOS PIEDS: DDT: NE FAIT PLUS DE MAL DE NOS JOURS POUDRE POUR LES PIEDS: EDREDONS: COUVRE-PIEDS: TARSIEN: A NOS PIEDS: TOMMETTES: DE LA TERRE CUITE SOUS NOS PIEDS: ABDOS : ACARIEN: UN HABITUE DE NOS APPARTEMENTS : ADN: IL EST DANS NOS GENES: AIEUL:

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3COMMENT Y ALLER ? LE MOUFFETARD THÉÂTRE DES ARTS DE LA MARIONNETTE 73 rue Mouffetard, Paris 5e MÂș 7 Place-Monge ‱ MÂș 10 Cardinal-Lemoine RER B Luxembourg (Ă  15 minutes Ă  pied) Bus nÂș 27 Monge-Claude-Bernard ‱ Bus nÂș 47 Place-Monge THÉÂTRE AUX MAINS NUES 45 rue du Clos, Paris 20e MÂș 9 Porte-de-Montreuil ou MaraĂźchers MÂș 3 Porte-de-Bagnolet
Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-LardArtemis WildsmithPoufsouffle Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Artemis Wildsmith, le Dim 19 Avr - 2211 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeL’air rafraichi de la nuit printaniĂšre calme aussi les effluves de l’alcool, l’estomac en surchauffe. Gigantesque inspiration puisqu’il s’agissait de se concentrer pour exploser des lumiĂšres dans le ciel noir. L’impression fournie par la graine avalĂ©, ils Ă©taient lĂ , tous les deux, les pieds frĂŽlant la rosĂ©e presque matinale maintenant, bientĂŽt, il se ferait avaler par l’obscuritĂ©. D’oĂč cette nĂ©cessitĂ© suprĂȘme-extrĂȘme de jouer des feux d’artifice, de faire tonitruer leur booms afin d’exorciser les douleurs intĂ©rieures. Et puis il y avait le visage de Loredana, d’une sublime nettetĂ© malgrĂ© la pĂ©nombre, malgrĂ© le kiwicot. C’est les lĂšvres pincĂ©es, large sourire dissimulĂ©, que le Poufsouffle profite de cette façon qu’elle avait d’ĂȘtre d’un tactile accentuĂ© sous les effets de la substance magique. Si t’étais un feu d’artifice, tu serais multicolore, Ă©videmment, la mĂ©tamorphomagie ne permettrait pas une certaine dominance, ou peut-ĂȘtre du rouge. Si tu veux, alors qu’il rapproche ses paupiĂšres papillonnantes de celles de l’Amoureuse, quand tu seras morte, on mĂȘlera tes cendres Ă  la poudre d’un feu d’artifice. Parfaite conversation romantique, comme ça, pouf, les mains dessinent l’explosion en dessous des nuages, tu seras pleeeein de petites lumiĂšres volantes, il n’empĂȘche, ce n’était pas une si piĂštre idĂ©e, fabuleusement merveilleuse en rĂ©alitĂ©. Pourtant, malgrĂ© cette pensĂ©e de funĂ©railles feux d’artifice, il l’embrasse comme si c’était la derniĂšre fois, les lĂšvres font provision de la douceur de celles de l’Épouse, mais j’veux pas qu’tu meurs. Joyeuse graine dans l’estomac qui fait divaguer les idĂ©es jusqu’aux plus macabres, Ă  en oublier BĂ©lĂ©saire et les fusĂ©es qu’il contenait. Comme une envie de faire aussi des provisions d’autre chose alors que les mains du Loup-garou s’en vont rĂ©chauffer le corps de la MĂ©tamorphomage sous le simple tee-shirt qu’elle porte. Les doigts courent, volĂštent sur la peau frissonnante, essaient de la rapprocher tant qu’il voudrait la mettre dans la poche de son pull Ă  la maniĂšre d’une maman kangourou. Mais s’il soulĂšve son sweat ce n’est pas pour initier une Ă©treinte plus ardente, la galanterie le fait respirer briĂšvement et tendre le pull Ă  la jeune femme, tiens, tu vas avoir froid. Étonnant, alors que le ventre bouillonnant aurait plutĂŽt aimĂ© la dĂ©faire de la seule Ă©paisseur de tissu qu’elle portait. Sans jamais la quitter du regard, les pupilles dĂ©sireuses harponnĂ©es aux traits de l’Amoureuse, j’peux p’tet faire un feu d’artifice avec ton visage, si j’pense fooooort fort fort Ă  toi en fermant les yeux, ça devrait fonctionner ! Oui, parce que la magie c’était comme les vƓux – bien Ă©videmment. Il rit de sa propre imagination enfantine, en allant soutirer une des fusĂ©es moldues du sac. La dĂ©poser doucement dans l’herbe humide et s’accroupir prĂšs d’elle, accompagnĂ©e d’Odette III pas totalement rĂ©veillĂ©e. Lancer un sort, enchanter le feu d’artifice pour qu'il fasse scintiller la frimousse de l’AimĂ©e dans le ciel de PrĂ©-Au-Lard endormi, l’enthousiasme lui picote les doigts, mais par oĂč commencer ? Se laisser entiĂšrement guider par la drogue magique et simplement articuler les formules tanguant sur ses papilles. Abracadabra boom boom Loredana, le bois pointĂ© sur la fusĂ©e. Ce n’était pas glorieux, mais pour les boucles curieuses du Fripon, c’était largement suffisant, ne restait plus qu’un Incendio pour allumer la mĂšche. Le dos bascule en arriĂšre pour s’allonger sur le sol mouillĂ©, observer son exploit pyrotechnique, qui, en rĂ©alitĂ©, Ă©clate de façon parfaitement traditionnelle, deux couleurs allumant les quelques nuages paresseux. Enfin, ça n’empĂȘchait pas le Wildsmith de sourire bĂ©atement, les rĂ©tines suspendues aux Ă©tincelles tombantes. Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Loredana Wildsmith, le Mar 21 Avr - 1003 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeCela aurait pu hĂ©risser les poils d’une autre oreille attentive si elle avait entendu un tel discours. Qui aimerait entendre son Amoureux parler de ce qu’il ferait Ă  la mort de sa femme ? Aussi colorĂ© soit l’enterrement. Mais pourtant, mon sourire s’était agrandi agrandi agrandi et avait accueilli avec plaisir son baiser. Je n’avais pas peur de mourir, n’y pensais jamais. Pour moi, si cela arrive, cela arrivera. Évidemment, ce sentiment s’était lĂ©gĂšrement estompĂ© depuis que nous Ă©tions ensemble, mais il m’était encore difficile de rĂ©sister lorsque la mort me tendait la main. Il y avait toujours cette hĂ©sitation, ce court instant oĂč je regardais sa main squelettique avec un regard hĂ©sitant. Si de mon vivant je faisais preuve d’une rĂ©elle force, j’avais tendance Ă  baisser rapidement les bras quand la fin Ă©tait proche. Comme si une chose invisible me poussait vers elle, comme une voix qui me murmurait d’y aller, de saisir cette main et m’en aller. Alors, au lieu de confirmer, ĂȘtre d’accord avec ses paroles, je m’étais contentĂ©e de rĂ©pondre moi je ne veux pas que tu meures. Une conversation quelque peu Ă©trange, une maniĂšre subtile d’annoncer que je laisserais ma vie pour la sienne. Je serai le feu d’artifice de ton prochain laisser ensuite aller Ă  l’explosion colorĂ©e, rire au surprenant sortilĂšge qui n’avait pas fonctionnĂ©. Oh mais c’est moi morte ça !! Je montre les Ă©tincelles d’un doigt impressionnĂ© avant de le rejoindre, allongĂ© sur l’herbe un peu trop fraĂźche, mais je ne le sentais pas. Mon corps tremblait malgrĂ© l’épaisseur du pull d’Arty. Je scrute le ciel des yeux, toujours impressionnĂ©e devant un tel spectacle. Une main s’en va doucement Ă  la rencontre de la sienne. Je l’attrape, joue avec ses doigts, la caresse. Les yeux toujours rivĂ©s sur le ciel colorĂ©, tendant l’autre main comme je pouvais attraper chaque lumiĂšre. Je pourrais rester lĂ  toute ma vie Ă  essayer de devenir un feu d’artifice. Le regard dans le vague, la main toujours en train d’aguicher sa fidĂšle partenaire. Que veux-tu faire plus tard Loredana ? J’avais pris une petite voix de mamie Oh moi ? Oh bah Feu d’artificienne ! Puis j’éclate de rire, la main libre posĂ© sur le front. Feu d’artificienne
 ridicule mais joli. Tu devrais vraiment bosser sur un sortilĂšge pour les enchanter et là
et là
 le doigt qui Ă©tait pointĂ© vers le ciel redescend doucement, tout doucement pour se poser sur le nez du Poufsouffle, je t’épouse encore et trois fois de suite. Nouveau rire, tandis que je gigote pour me retrouver sur lui, Ă  le sentir, le toucher du bout du nez. T’es beau, t’es doux et tu sens bon. Nos lĂšvres se rejoignent pour un long baiser. Toi aussi tu devrais ĂȘtre feu d’artificien. On exploserait tous les fonctionnait Ă  l’envers, je voyais les choses en grand et les sensations Ă©taient tout d’un coup dĂ©cuplĂ©es. Le cƓur s’accĂ©lĂ©rait Ă  mesure que l’effet du Kiwocot se rĂ©pandait dans mon cerveau, dans mon corps tout entier. C’était une sensation de lĂ©gĂšretĂ© qui me faisait voir les choses de façon bien plus positive. J’en veux encore. Fais-moi exploser encore ! Pourtant, voilĂ  un corps qui dĂ©sirait tout autre chose. Les lĂšvres partent immĂ©diatement se promener sur le cou d’Arty. Une multitude de baisers et de petites morsures. Les Ă©motions en vrac, impossible de tout remettre en ordre. Je me contente alors de ne rien retenir, laisse la nuit nous amener quelque chose de plus beau, oublier un instant les pĂ©ripĂ©ties de cette pu*ain de vie. Nous enfermer dans cette boĂźte juste lui & moi. Ne pas en sortir avant le lever du jour, le protĂ©ger, sans m’en rendre compte, de tout ça. L’inconscient comme traumatisĂ© par les minutes prĂ©cĂ©dentes devant l'impuissance dont j'avais fait preuve, cette faiblesse. Artemis WildsmithPoufsouffle Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Artemis Wildsmith, le Jeu 23 Avr - 1507 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeLes lumiĂšres pĂ©taradent, illuminent briĂšvement le ciel nuageux de PrĂ©-Au-Lard, de quoi largement saisir quelques temps les boucles d’Arty, ne plus penser pas l’avant, Ă  la soirĂ©e, aux sombres dĂ©couvertes. Laisser le sourire s’élargir et la main se rĂ©fugier contre celle de Loredana. La douceur du prĂ©sent refusant absolument de se laisser aller aux mauvaises pensĂ©es. Il rit aux paroles insensĂ©es de l’Amoureuse, bien que la petite graine magique irradiant le cƓur du Poufsouffle lui soufflait Ă  quel point c’était une merveilleuse idĂ©e, devenir Ă©tincelles et fumĂ©e, feu d’artificien. D’une lĂ©gĂšretĂ© Ă©poustouflante. Il s’efforcerait aprĂšs cette nuit de se vouer Ă  se projet, s’y plonger sĂ©rieusement. Cathartique feux d’artifices qui exploseraient Ă  la place de sa colĂšre. Être sur le point de fermer les paupiĂšres tant le rĂ©confort du moment le berçait, c’était avant un Ă©niĂšme gloussement alors que sur lui dĂ©barquait la MĂ©tamorphomage. Je ne sais pas si tu m’aimes plus sous kiwicot, ou alors si le kiwicot rĂ©vĂšle Ă  quel point tu m’aimes. Continuer, continuer de l’embrasser afin de savourer son sourire enthousiaste. Elle rĂ©clame d’autres explosions alors que le ventre du Fripon s’enflamme sous ses baisers vagabonds - d’autres feux sont Ă©veillĂ©s. Un plaisant soupir indocile lĂąchĂ© et il se redresse vivement, obligeant Loredana Ă  s’asseoir sur lui - corps & Ăąmes imbriquĂ©s. Il garde entre ses mains le visage de la jeune femme, parfaite prise pour joindre les lĂšvres plus intensĂ©ment, avant qu’il ne caresse chacun de ses traits. Songeurs, les doigts s’attardent sur les pommettes et les lĂšvres, j’ai l’impression qu’tu vas partir en fumĂ©e, et qu’elle disparaĂźtrait lĂ , juste entre ses doigts. Étrange et sombre pensĂ©e qu’il lui faut Ă©crabouiller avec des baisers. Et entre deux, tu sais qu’à l’inverse, imaginons, je meurs, je deviens feu d’artifice, les sourcils froncĂ©s parce que c’était absolument trĂšs sĂ©rieux, je brĂ»le ton prochain mariage, une grandiose certitude, mĂȘme si au coin des yeux rieurs se logeait l’habituelle malice. Ne permettre Ă  personne d’autre d’ĂȘtre avec Elle, suprĂȘme promesse remplie de possessivitĂ©. Une dĂ©claration qu’il ne pouvait pas mettre sur le dos du kiwicot - tant pis. Alors les ongles quittent le visage de Loredana pour aller lui chatouiller le bas du dos, la serrer davantage, facilitĂ© pour le museau d’aller dĂ©ambuler dans le cou et la tombante chevelure, lĂ  oĂč la saveur de la nuit printaniĂšre vient le chatouiller. L'envie de la croquer le picote, partout, se repaĂźtre de l'euphorie dĂ©posĂ©e dans les pores de sa peau. D'ailleurs, alors que sa langue frĂŽlait l'Ă©piderme de l'Amoureuse, tu peux prendre la couleur de la lumiĂšre ? Il rit doucement, sachant pertinemment l'idiotie de sa question, mais il savait aussi Ă  quel point la drogue magique pouvait faire briller Loredana. Si oui, je te ferai scintiller comme un feu d'artifice, mĂȘler encore les sourires, si non, j'ai encore des fusĂ©es dans BĂ©lĂ©saire, plein. La langue tarabiscotĂ©e par les effets de la graine avait certaines difficultĂ©s Ă  transmettre les pensĂ©es folĂątres du Poufsouffle, mais le fond y Ă©tait - presque. Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Loredana Wildsmith, le Ven 24 Avr - 1027 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeIl y avait quelque chose d’enfantin, de presque utopique dans l’illusion du Kiwicot. Une lĂ©gĂšre sensation de bien-ĂȘtre que je ne ressentais qu’entre ses bras, lorsque nous Ă©tions seuls, libres de faire ce que l’on voulait. Batifoler Ă  l’extĂ©rieur de la Cabane Ă©tait nouveau et cette activitĂ© n’était pas pour me dĂ©plaire. Si le feu d’artifice apportait quelque chose en plus, j’avais tout de mĂȘme bien du mal Ă  me sĂ©parer de la peau d’Arty qui m’appelait, tentait de me sĂ©duire sans qu’il n’ait Ă  bouger quoique ce soit. Lui-mĂȘme semblait surpris de voir une telle marque d’affection de ma part. Aucune drogue ne peut modifier mes sentiments pour toi. Je le regarde, les yeux pĂ©tillants. Je t’aime comme ça tous les jours. Le Kiwicot me rend simplement plus
dĂ©monstrative. Effectivement, la petite graine magique avait cette tendance Ă  enlever toute pudeur, moi qui montrais beaucoup moins mes sentiments que lui. Je n’avais jamais su faire, mĂȘme si j’étais loin d’ĂȘtre une sans-cƓur qui n’aimait personne. Ceux qui recevaient une rĂ©elle marque d’affection de ma part faisaient partie des privilĂ©giĂ©s. Arty Ă©tait Ă©videmment en premiĂšre ligne. J’aurais voulu me perdre encore quelques instants dans ce cou qui me titillait, m’attirait. C’était sans compter sur le Poufsouffle qui avait dĂ©cidĂ© de s’asseoir, ce qui rendait la position encore plus enivrante. Nous Ă©tions collĂ©s, scellĂ©s et mon corps commençait clairement Ă  rĂ©clamer yeux scrutent son visage dans les moindres dĂ©tails, retenant chacun de ses traits tout en souriant Ă  chaque baiser offert, satisfaite de constater qu’il Ă©tait prĂȘt Ă  faire capoter mon second mariage – si second mariage il y avait. J’espĂšre bien. Je lui rends ses baisers en lui souriant. Je pourrais possĂ©der ta future nouvelle femme qui serait forcĂ©ment bien moins intĂ©ressante que moi. Je ris, la tĂȘte lĂ©gĂšrement penchĂ©e en arriĂšre. Que serait ta vie sans le caractĂšre de Loredana Wildsmith ? Le serrer ensuite contre moi, ne voulant pas envisager une seconde qu’il devienne un feu d’artifice sans moi. Nos Ă©tincelles s’emmĂȘleraient, nous ne ferions qu’un, exactement comme nous l’étions actuellement. MalgrĂ© les diffĂ©rences, nous n’en Ă©tions pas moins soudĂ©s, prĂȘts Ă  tout l’un pour l’autre. Il le savait, mĂȘme si je me doutais que cela devait l’irriter de l’intĂ©rieur Il savait que si un jour il Ă©tait menacĂ© de mort, je ferais tout pour devenir la cible. Il n’y avait rien qu’il pouvait faire contre ça, mis Ă  part m’attacher, mais il savait que ce serait la pire erreur de sa vie. Je profite des baisers qu’il m’offre, la sensation incroyable que cela m’offrait. J’avais l’impression que chacun d’eux Ă©tait meilleur que le prĂ©cĂ©dent et mon corps tremblait Ă  trop en demander. Non. Je ne pouvais pas prendre des couleurs qui sortaient de l’ordinaire. Est-ce que certains MĂ©tamorphomages en Ă©taient seulement capable ? Si oui, il faudrait vraiment que je m’entraĂźne, Arty avait tendance Ă  vouloir que ma peau prenne des couleurs excentriques que je ne pouvais lui offrir. Mais tu peux me faire scintiller quand mĂȘme. Nous en arrivons Ă  des sous-entendus que j’étais peut-ĂȘtre la seule Ă  comprendre. Pourtant mes gestes montraient clairement ce que je voulais. Parce que mon corps remue et mes bras le serrent contre moi, l’embrasse avec une passion multipliĂ©e par dix avec le Kiwicot. Et si je te lĂąche pour que tu ailles chercher une fusĂ©e et que lĂ  c’est toi qui pars en fumĂ©e ? J’ouvre grand les yeux devenus roses pour attirer son attention. La MĂ©tamorphomagie comme moyen de l’hypnotiser, je savais qu’il adorait ça. Non non non, je secoue la tĂȘte comme une petite fille en colĂšre, j’veux pas qu’tu partes en fumĂ©e, pas sans moi. Et je colle de nouveau mes lĂšvres aux siennes pour me sceller Ă  lui. Je sors ma baguette pour lancer un Accio BĂ©lĂ©saire pour faire venir le sac jusqu’à nous. Puis je reprends mon doux chemin sensuel sur l’épiderme du Loup-Garou. Nous n’avions pas eu l’occasion de tester les rapports sous Kiwicot, la pleine lune avait dĂ©cidĂ© de gĂącher ce merveilleux moment. Aujourd’hui serait peut-ĂȘtre l’occasion de se rattraper. Ici, dans la nature, sous les Ă©tincelles colorĂ©es d’un feu d’artifice. Je veux scintiller. Un murmure venu chatouiller l’oreille d’Arty avant de la mordiller. Nous n’avions pas encore fini de jouer. Artemis WildsmithPoufsouffle Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Artemis Wildsmith, le Sam 25 Avr - 1538 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Erotisme, Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeSes Ă©clats de rire viennent dĂ©vorer ceux de l’Amoureuse, la vie sans elle, ce serait sacrĂ©ment triste. L’alcool et la graine le font entrevoir lĂ -bas dans les sous-bois la vision de ce qu’il serait si elle n’était pas entre ses bras. DĂ©sespĂ©rĂ©ment seul, toujours autant guidĂ© par cette nĂ©cessitĂ© de tout brĂ»ler, agresser, violenter – colĂ©rique petit Poufsouffle sans aucune progression envisagĂ©e. Alors oui, il prĂ©fĂ©rait largement un esprit tourmentĂ© par le caractĂšre tĂ©mĂ©ro-tĂȘtu de la MĂ©tamorphomage, une relation aussi belle que destructive. Il aimerait la remercier d’ĂȘtre lĂ , d’ĂȘtre toujours lĂ , lorsqu’il s’était montrĂ© irritable Ă  cause de la Lune, lorsque ce soir, il avait dĂ©bordĂ© de furiositĂ©. Mais il Ă©tait bien plus intĂ©ressant de parler de scintillements, parce qu’il n’avait envie que de ça, lĂ  maintenant tout de suite, la faire rayonner. Il sourit, s'essouffle, face Ă  l’entrain qu’elle dĂ©pose sur sa peau, le dĂ©sir qu’elle Ă©bauche en l’embrassant ardemment. Il veut la rapprocher davantage – ce n’est pas possible – emmĂȘler leurs Ă©tincelles. Bref mouvement de surprise en voyant BĂ©lĂ©saire dĂ©barquer, mais juste de quoi en sortir quelques fusĂ©es, et ce malgrĂ© la position inadĂ©quate, parce qu’ils refusaient de se lĂącher. Pas le temps de les planter dans le sol, les gestes flous du Fripon les envoient Ă  quelques mĂštres d’eux tandis qu’Odette III se charge de les enflammer avant d’ĂȘtre dĂ©posĂ©e par terre, derriĂšre, avec BĂ©lĂ©saire. Le sifflement des mĂšches embrasĂ©es marque le prĂ©ambule du sublime de suite Madame Wildsmith, parfaitement obĂ©issant, le regard pĂ©tillant, il pousse lĂ©gĂšrement l’Épouse afin qu’elle s’allonge sur le tapis d’herbe humide. Penser briĂšvement qu’ils pourraient crĂ©er un bingo Ă  complĂ©ter de tous les endroits farfelus oĂč ils batifolaient. Mais impossible de rĂ©frĂ©ner un cƓur avide, j’pourrais rester accrocher Ă  tes yeux rose toute la nuit, c’était vrai, rien de tel que des couleurs pour attirer son attention, et puis grĂące Ă  tes yeux, j’partirai pas en fumĂ©e. Du n’importe quoi articulĂ©, mais c’était amoureux, alors forcĂ©ment adorable. Les explosions dans le ciel, centaines de minuscules lampions envolĂ©s empressent l'envie du Loup-garou. Ne pas perdre d’autres secondes dans cette longue longue nuit, rĂ©pondre impatiemment aux exigences de l’AimĂ©e, des scintillements il y aurait. Les baisers se font alors prĂ©cipitĂ©s, donnent le rythme aux caresses qui se dĂ©roulent sous le teeshirt et le pull relevĂ©s. Il ne savoure pas, veut absolument sentir sous ses doigts la luminositĂ© chaleureuse de son Amoureuse pour façonner des Ă©tincelles. Alors le sous-vĂȘtement s’abaisse, laisse place aux toucher envoĂ»tants. Lui-mĂȘme soupire de glisser, s’enrouler au cƓur de l’intimitĂ© qui paraissait l'appeler. Galopins chatouillements chaperonnĂ©s par les baisers avec lesquels il marque la peau brĂ»lante de la jeune femme ; il se dĂ©die entiĂšrement Ă  ce qu’Elle se noie dans la dĂ©lectation, s’applique - contracter le ventre de Loredana, qu’elle se cambre encore, encore. Pendant que la langue se dandine dans le cou, semble vouloir absorber toute la luminescence du corps de l’Autre, sous ses papilles, il Ă©tait certain qu'elle luisait. Oui, les gĂ©missements de l’AimĂ©e Ă©toufferaient dĂ©finitivement les lourdes pensĂ©es de la soirĂ©e. Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Loredana Wildsmith, le Sam 25 Avr - 1836 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Erotisme, Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeLes fusĂ©es s’élançaient dans les airs tandis que je me laissais allonger sur l’herbe. Ignorant le froid et l’humiditĂ© largement dominĂ©s par la chaleur des deux corps rĂ©unis, lĂ  oĂč ils Ă©taient Ă  leur place ensemble. Arty aussi avait sa maniĂšre de faire ressortir un cĂŽtĂ© romantique qu’il avait aussi au quotidien. Pourtant, les mots Ă©taient diffĂ©rents, probablement incomprĂ©hensibles s’ils arrivaient aux oreilles de quelqu’un d’autre. Pourtant, je savais parfaitement oĂč il voulait en venir. Tu partiras pas en fumĂ©e sans moi. Le suivre dans ces paroles complĂštement insensĂ©es, le comprendre. Une coordination parfaite, je voudrais simplement arrĂȘter le temps, rester lĂ , dehors, couchĂ©e sur l’herbe, seule avec lui. Juste lui. Rien que lui. Toujours lui. Je me laisse embarquer dans les embrassades qui se faisaient de plus en plus sensuelles. Les corps ne voulaient pas seulement se toucher, ils voulaient s’unir, brĂ»ler, briller, scintiller ensemble. L’explosion colorĂ©e n’est que l’image de ce qui Ă©tait en train de se passer Ă  l’intĂ©rieur de mon corps. Les yeux Ă©taient plus flashy, diffĂ©rents. Comme si la petite graine avait un effet sur l’intensitĂ© de la couleur de mes yeux au lieu de s’en tenir Ă  dilater mes gestes d’Arty ne tergiversent pas. Il sait oĂč il va, s’en tient Ă  emprunter ce chemin. De mon cĂŽtĂ©, les caresses sont floues, approximatives, brouillons. Lorsque ses doigts frĂŽlent l’endroit du plaisir, c’est une toute nouvelle sensation qui s’empare de moi. La respiration s’accĂ©lĂšre davantage, c’est une sensation dĂ©jĂ  proche de l’orgasme, quelque chose d’absolument nouveau, intense. Je prends son visage entre mes mains sans pour autant le stopper dans ce magnifique feu d’artifice qu’il Ă©tait en train de crĂ©er. C’est extraordinaire ! Je souffle un rire, complĂštement dĂ©passĂ©e par tout ce qui Ă©tait en train de se passer. C’est un corps qui se crispe, qui s’élĂšve, qui en redemande, tandis que je dĂ©vore ses lĂšvres avec un appĂ©tit qui ne m’avait jamais habitĂ© Ă  ce point. Sans attendre davantage, je me retourne brusquement pour me retrouver sur lui. Tenter de lui faire ressentir la mĂȘme chose. Qu’il comprenne. Je m’allonge presque totalement sur lui en surĂ©levant lĂ©gĂšrement le bas pour me laisser la place de dĂ©faire son pantalon afin d’y plonger une main envieuse. Je caresse doucement tout en observant ses rĂ©actions. Puis, je me rends compte que peu importe qu’il s’agisse de mon propre plaisir ou du sien, c’était la mĂȘme chose. J’étais absolument euphorique, je voulais griller toutes les Ă©tapes, ne parvenant pas Ă  retenir un corps absolument accro au sien. Pourtant, je voulais faire durer le plaisir, attendre que lui aussi en redemande tellement les ressentis Ă©taient dĂ©cuplĂ©s. Je ne peux m’empĂȘcher de pousser quelques gĂ©missements, mĂȘler mon souffle au sien, tandis que la chaleur s’emparait de mon corps tout entier. Sans attendre davantage, je stoppe quelques instants, le temps d’enlever le pull et le t-shirt pour dĂ©voiler une poitrine dĂ©jĂ  libre – ça en moins. Mes doigts reprennent leur petit jeu tandis que je me trĂ©mousse sur lui pour accroĂźtre son dĂ©sir encore et encore. Mon corps tremble de plaisir, se languit de retrouver cette union entre nous, entamer une nouvelle chorĂ©graphie, plus intense encore. Est-ce que cela Ă©tait seulement possible ? Notre relation avait Ă©tĂ© trĂšs physique dĂšs le dĂ©part et le temps n’avait pas encore supprimĂ© les papillons dans le ventre. Bien sĂ»r, les sentiments n’y Ă©taient pas pour rien. Je l’aimais d’une façon que je ne pouvais exprimer, mais j’avais besoin de le sortir, lĂ  tout de suite, le dire tout simple. Je t’aime, c’est fou, c’est complĂštement dingue ! Puis descendre, descendre, descendre doucement pour entamer un jeu avec une langue qui chatouille doucement les alentours de sa masculinitĂ©. Rester lĂ  quelques secondes, minutes peut-ĂȘtre, le rendre fou. Toujours le rendre fou. Puis lorsque l’attente avait assez durĂ©e, lui offrir ce qu’il voulait. Artemis WildsmithPoufsouffle Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Artemis Wildsmith, le Lun 27 Avr - 1030 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Erotisme, Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeL’allĂ©gresse de Loredana le captivait, totalement. Les lĂšvres les yeux les entrailles envoĂ»tĂ©s par l’appĂ©tit qu’elle manifestait si euphoriquement. Et ce qui Ă©tait encore plus dingue encore, qu’elle l’aimait lui. Lui avec ses travers et ses vices ; la drogue comme sĂ©rum de vĂ©ritĂ©, c’était en elle qu’il pouvait placer sa confiance absolue. Presque Ă  sang, il se mord la lĂšvre, les doigts broyant les brins d’herbe alentourant plutĂŽt que les cheveux de l’Amoureuse. Elle le saisit, et elle avait entiĂšrement raison, c’était extraordinaire ; une dĂ©flagration qu’il peine Ă  retenir, Ă  l’intĂ©rieur, il sent la BĂȘte s’ébrouer, ce ne sont plus des gĂ©missements qui viennent remuer les feuilles des arbres mais des rĂąles s’enroulant dans sa gorge – incontrĂŽlables. Des souffles Ă©clatants viennent lui remuer le nombril, lui contracter le ventre et pourtant au summum, alors que le plaisir culmine il retient retient retient. Se redresse brusquement et happe le visage de l’Épouse de fougueux baisers, avant de se lever totalement et de se dĂ©barrasser de ses vĂȘtements. La nĂ©cessitĂ© de dĂ©gourdir ses jambes fĂ©briles, de rĂ©veiller les boucles enivrĂ©es. Il allonge les rĂ©jouissances, petit intermĂšde pour reprendre le souffle, Arty s’approche de BĂ©lĂ©saire. Qu’est-ce qui est le plus jouissif, Loredana ? attraper aussi briĂšvement Odette III, le moment entre l’allumage et l’explosion, lĂ  oĂč les secondes fusent en suspension, ou l’explosion elle-mĂȘme ? C’était une vĂ©ritable question, le plaisir de l’attente, dĂ©guster l’Avant pour mieux profiter du Pendant. Mettre feu Ă  la mĂšche et l’appeler Ă  le rejoindre au mĂȘme moment, viens. De nouvelles explosions lumineuses. Il n’y avait plus l’humiditĂ© fraĂźche de la nuit qui n’allait pas tarder Ă  se dissiper – simplement eux. Eux alors qu’il Ă©treint l’Amoureuse de nouveau entre ses bras adorateurs, serrer les corps. Il veut la goĂ»ter alors que la graine magique tripatouillait l’ensemble de ses sens, vouloir que ses papilles s’imprĂšgnent entiĂšrement de sa saveur. Chemin sinueux qu’empruntent les lĂšvres gloutonnent, elles n’ont pas encore dĂ©passĂ© la gorge qu’elles en rĂ©clament encore. Le bout de sa langue le brĂ»le - chair agrĂ©ablement sucrĂ©e - elle restait toujours aussi dĂ©licieuse. Entreprendre une lente descente engagĂ©e par un j’suis dĂ©solĂ© d’avance. Le kiwicot Ă©crabouillait le garde-fou de la BĂȘte libĂ©rĂ©e – vorace. Les ongles Ă©corchent le dos de la jeune femme sans retenue, griffures affamĂ©es doucement Ă©quilibrĂ©es par les baisers rĂ©pandus sur le buste. Arty murmure autant de je t’aime que de t’es Ă  moi. DĂ©vorer chaque parcelle de ce corps qui le sĂ©duisait tant. Les genoux s’enfoncent dans la terre, il se retrouve face aux cicatrices avec lesquelles il avait marquĂ© Loredana ; elles miroitaient, semblaient l’absoudre de toute culpabilitĂ© – il les embrasse. Étirer l’entrĂ©e de ce repas festif, un avant-goĂ»t aprĂšs lequel il plonge le museau entre les cuisses de la jeune femme, les griffes ancrĂ©es dans ses reins. LĂ , alors qu’il la savoure absolument, la langue s'amuse, se dandine. Les doigts creusent de plus belle la peau, l'empĂȘcher de bouger. Vouloir sentir les jambes de l'Amoureuse dĂ©faillir, qu’elle s’accroche tellement Ă  ses boucles qu’elle les arrache ; vouloir vivifier encore davantage l’euphorie qui lui embrasait le ventre. Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Loredana Wildsmith, le Lun 27 Avr - 1614 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Erotisme, Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeNon non non. C’était les premiers mots auxquels j’avais pensĂ© lorsqu’il s’était relevĂ©. Cette folle envie que l’on reste lĂ , soudĂ©s, que rien ne sĂ©pare ces deux corps absolument affamĂ©s. AprĂšs s’ĂȘtre dĂ©barrassĂ© de ses vĂȘtements, Arty s’était attaquĂ© Ă  faire exploser de nouvelles fusĂ©es, une question Ă  laquelle je n’avais mĂȘme pas rĂ©pondu, tant mes seules pensĂ©es Ă©taient tournĂ©es vers ces fougueux instants qu’il avait brusquement interrompus. Je me contente alors de grogner tandis qu’il me demande de le rejoindre. Mes yeux ne le lĂąchent pas, complĂštement absorbĂ©e par l’effet qu’il provoquait en moi. Il Ă©tait encore plus beau lorsqu’il Ă©tait Ă©clairĂ© par les explosions colorĂ©es. J’avais envie de tendre la main, le toucher encore, assouvir ce besoin que j’avais de lui. À cet instant, simplement profiter de son Ă©treinte, des baisers qu’il dispose jusqu’à ce que ces gestes se fassent plus sauvages. Ses excuses me font sourire, parce que je sais qu’on en arrivait Ă  un moment que j’attendais. Ce moment oĂč il laissait la BĂȘte s’exprimer, se lĂącher. C’est lorsqu’il se met Ă  genoux que l’extase reprend le dessus. Je savais le chemin qu’il empruntait jusqu’au point qui me brĂ»lait. Il s’arrĂȘte quelques instants sur les cicatrices blanchies qui Ă©taient toujours lĂ  et qu’il avait su rendre belles par de simples baisers qu’il dĂ©posait depuis la premiĂšre fois que nos corps s’étaient rencontrĂ©s. Repousser l’instant oĂč il me ferait totalement enfin le moment que je rĂ©clamais. Les mains s’étaient accrochĂ©es Ă  ses boucles et s’amusaient Ă  appuyer doucement pour le faire descendre. Si au dĂ©part il rĂ©sistait, il finit tout de mĂȘme par me donner ce que je voulais. Un sentiment de satisfaction qui dĂ©clenche un gĂ©missement alors que mes doigts se resserrent autour de ses mĂšches. Le bas du ventre s’extasie, s’embrase, tandis que ses jeux de langues provoquent une multitude de frissons dans tout le corps, jusqu’à la pointe de mon crĂąne. J’étais au bord de l’explosion. J’avais besoin de l’avoir contre moi, de le serrer, de le coller, que nous ne fassions qu’un. D’un geste peut-ĂȘtre un peu vif, je tire sa tĂȘte en arriĂšre pour qu’il me regarde. LĂ , je me dĂ©fais de son emprise pour le pousser Ă  s’asseoir Ă  nouveau. D’une hargne nouvelle, je n’attends pas, je n’attends plus, je m’assoie sur lui, provoquant ainsi l’union entre son corps et le mien. La position oĂč nous Ă©tions proches et oĂč la synchronisation de la chorĂ©graphie Ă©tait Ă©vidente. Je pose mon front contre le sien pour pouvoir le regarder dans les yeux, je mĂȘle mon souffle au sien, lui murmurant encore et encore que je l’aimais, complĂštement, tout entier. L’impression que mon corps souffrait de ne pas pouvoir s’exprimer davantage, montrer Ă  quel point il ne voulait pas que cela s’ un Ă©lan sauvage, presque brutal, je le pousse Ă  s’allonger sans rompre le contact, sans nous arrĂȘter. Au contraire, je voulais que l’on explose, que l’on devienne de vrais feux d’artifice, que l’on parte en fumĂ©e, s’envolent en mille Ă©tincelles dorĂ©es. Toujours avec la mĂȘme dĂ©licatesse, je nous retourne sauvagement, Ă©change nos places. Je dĂ©vore ses lĂšvres, son menton sa gorge. Sans m’en rendre rĂ©ellement compte, mes ongles s’enfoncent, s’enfoncent encore et encore dans la peau de son dos. Je ne serai pas la seule Ă  ĂȘtre tatouĂ©e par cet Ă©change fervent, nouveau. Artemis WildsmithPoufsouffle Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Artemis Wildsmith, le Mar 28 Avr - 1704 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Erotisme, Sexe violenceAfficher quand mĂȘmeMaintes culbutes et roulades dans la terre, brins d’herbe collĂ©s recollĂ©s, aussi accrochĂ©s que le sourire d’Arty Ă  son minois enchantĂ©. Pas mĂ©content de dĂ©chiffrer sur les traits de Loredana une dĂ©termination sauvage Ă  lui faire s’étoiler les entrailles. Il connaĂźt le besoin de l’Amoureuse, qu’ils soient lĂ  Ă  s’emmĂȘler se regarder sans se lĂącher, les Ă©pidermes en feu. Il avait obĂ©i, sous les fascinantes ondulations du corps de la jeune femme, accueillant ses je t’aime dans ses boucles endiablĂ©es. La nuque s’était Ă©tirĂ©e, des tremblements suscitĂ©s par les indomptables gĂ©missements, tous recroquevillĂ©s dans une bouche brĂ»lante, dĂ©vorĂ©e par l’ardeur des baisers. Jusqu’au Ă©tait facile de dompter la BĂȘte lorsque la Gryffondor menait la danse, subjuguait le dĂ©sir du Wildsmith. Mais la cabriole le place dessus, lĂ  oĂč l’animalitĂ© Ă©tait allĂ©chĂ©e. Le rythme s’exalte, s’affole, annihilant tout Ă  fait les bribes de contrĂŽle encore Ă©parpillĂ©es sur le torse suintant. Les corps s’entrechoquent dans un ballet soudainement, quelque chose lui bourdonne lui gratouille la mandibule puis le canal auditif. Il s’accroche aux lĂšvres mordillĂ©es de l’Épouse, un instant suspendu. Les doigts capturent les racines des cheveux, tire la tĂȘte vers l’arriĂšre, l’enfoncer dans la terre pour dĂ©couvrir la peau blanche de la gorge scintillant sous la nuit ; il se redresse. Une autre main, envieuse et libre, parcourt le cou vulnĂ©rable, Ă  bout de souffle j’entends ton cƓur, vraiment, aussi perceptiblement que le son de sa propre voix, mieux encore, il le sentait cogner dans les veines de la MĂ©tamorphomage. Le regard se perd, sillonne la peau blanche, le cƓur comme comĂšte phosphorescente semble mĂȘme y transparaĂźtre. C’est drĂŽle, ça l’arrĂȘte tout Ă  fait, des battements tonitruants qui appellent Ă  la fois ses tympans et ses crocs. HypnotisĂ© par le sang bouillonnant sous la chair, il l’écoute lui chuchoter Ă  l’oreille le dĂ©sir d’ĂȘtre goĂ»tĂ©. Le Loup se demande, si le kiwicot altĂ©rerait la saveur sanguine. Du doigt, il marque l’endroit oĂč les canines devraient percer, tenter d’orienter l’appĂ©tit pour Ă©viter une trop grave blessure – dĂ©rangeante pour les Ă©bats. C’est lentement qu’il finit par retrouver la peau de la jeune femme, la langue dessine une croix comme on symbolise l’emplacement d’un trĂ©sor, et il n’hĂ©site plus. Dans un souffle impatient, les crocs envahissent la chair, la transperce. Une dĂ©charge d’une extase incroyable s’écoule sur les pupilles, sur les dents et dans la gorge. La graine magique avait embaumĂ© le sang de Loredana. Une bestialitĂ© rĂąleuse qui en veut plus, encore plus – assoiffĂ©e. Sous la frĂ©nĂ©sie, les va-et-viens reprennent, impĂ©tueux. La langue se dĂ©lecte autant du nectar que le bas-ventre des sensations. Se plonger en elle dans le mĂȘme temps, la savourer. Un dĂ©clenchement de fĂ©licitĂ© provoquĂ© par sa premiĂšre morsure, il est incapable de s’arrĂȘter, les neurones aliĂ©nĂ©s Ă  cette fĂ©roce gourmandise ; les dents s’en vont rencontrer d’autres endroits, et laissent sur leur passage la marque satisfaite des incisives. Chemin rougi de la gorge jusqu’à la poitrine, tout cela sous les contractions du ventre, et les expirations enfiĂ©vrĂ©es. Sentir les vagues de plaisir atteindre l’apogĂ©e, le faire frissonner jusqu’au bout des ongles enfoncĂ©s dans la cuisse de la Demoiselle. Tandis que l’autre main quitte finalement les mĂšches de la MĂ©tamorphomage afin d’encercler sa gorge, c’est avec une certaine facilitĂ©, et cette fois sans la crainte de la culpabilitĂ© qu’il commencer Ă  resserrer la prise. Retrouver la jouissance de la tenir absolument entre ses griffes. Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Loredana Wildsmith, le Mer 29 Avr - 1047 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Erotisme, Sexe violenceAfficher quand mĂȘmeUne phrase prononcĂ©e qui donnait presque un cĂŽtĂ© romantique Ă  cet Ă©change pourtant frĂ©nĂ©tique. Je souris entre deux souffles, il devait probablement l’entendre parfaitement. Moi-mĂȘme je pouvais presque en distinguer le son tant il cognait fort contre ma poitrine Ă  un rythme effrĂ©nĂ©. Il pourrait sortir, s’échapper, se faufiler pour aller rejoindre l’autre, se mĂȘler Ă  lui. J’avais souvent cette impression qu’il souffrait de tant s’emballer. La graine prise aujourd’hui ne devait en rien arranger cet effet-lĂ . En Ă©changeant nos places, j’étais parfaitement consciente des risques, je n’étais plus celle qui tenait les rĂȘnes. La bĂȘte avait le dessus, elle aimait ça et allait forcĂ©ment tenter quelque chose de plus fou encore. Pourtant, aucune crainte ne pouvait se lire sur mon visage. Au contraire, je ne prĂȘtais attention qu’à ce qui Ă©tait en train de se passer. La folle envie que la chorĂ©graphie interrompue reprenne encore et encore. Pour le moment, je me contente d’admirer le spectacle, les ongles plantĂ©s dans la peau de son dos, les cuisses resserrĂ©es autour de lui. Ce sont quelques instants qui transforment l’euphorie en quelque chose de plus Ă©rotique. Chacun de ses gestes provoquaient en moi une sensation diffĂ©rente, certaines que je ne reconnaissais mĂȘme pas. J’avais vraiment l’impression que mon corps pouvait prendre n’est que lorsque ses crocs pĂ©nĂštrent dans ma peau que l’échange reprend oĂč il s’était arrĂȘtĂ©. La morsure et l’amour mĂ©langĂ©s, une danse unique qui s’unissait avec le souffle du vent. Mes mains se posent brutalement sur l’herbe que j’arrache par poignĂ©e. Le corps entier comme possĂ©dĂ© par celui du Loup qui marquait tous les endroits qu’il estimait ĂȘtre sien. Mes yeux se ferment pour faire appel Ă  ces autres sens dĂ©cuplĂ©s par les effets du Kiwicot. Celui que je prĂ©fĂ©rais le toucher. Mais cette fois-ci, je ne me contentais pas d’explorer son visage de mes mains, sentir et reconnaĂźtre chacun de ses traits. Cette fois, je me laisse aller dans l’exploration de toutes ses sensations que ses touchers Ă  lui provoquaient en moi. Je me mordais les lĂšvres une nouvelle fois pour Ă©touffer les cris qui pourraient se faire entendre dans tout village. C’était sans compter sur la main qui encercle ma gorge, la prend en otage. Je sais parfaitement ce qu’il veut, ce qu’il cherche et il sait, il sait que c’est une chose qu’il peut se permettre. L’emprise se referme, se serre, se serre, jusqu’à ce que la pulsation du sang se ressente dans mes tympans. Les yeux s’ouvrent pour le regarder tandis que ma poitrine se soulĂšve. Le corps en extase, la tĂȘte au bord de l’explosion, les pensĂ©es divaguent, le corps expulse toutes les restrictions, tous les filtres. Il n’y avait probablement plus aucune limite Ă  cet Ă©change. Parce que l’on se connaissait par cƓur dĂ©sormais. Les envies de l’Autre n’était plus un secret. Ma main vient alors attraper sa gorge Ă  lui, qu’il ressente ce que je ressens aussi. Serait-il autant embrasĂ© par le fait d’entendre son cƓur en mĂȘme temps que le mien ? D’une pression de la main, je commence Ă  serrer tout en le tirant vers moi pour l’embrasser, jouer avec ma langue sur ses lĂšvres. Mon regard le fixe une nouvelle fois, une communication visuelle lorsque les mots n’étaient pas assez nombreux pour s’exprimer. Un sentiment frustrant mais j’espĂ©rais, qu’il comprendrait Ă  quel point mon regard rose pouvait parler Ă  ma n’est qu’aprĂšs cet Ă©change que je sens le bas-ventre s’agiter, se secouer, l’apogĂ©e approche et mes jambes l’encercle, le compresse, le serre, tandis que je ne peux retenir de nouveaux gĂ©missements que je laisse s'Ă©chapper, que je ne retiens plus. Tant pis pour les oreilles indiscrĂštes, il ne verrait lĂ  que l’échange violent et fougueux de deux Amoureux insatiables. La respiration saccadĂ©e, je relĂąche mon emprise, la tĂȘte tournante, le corps tremblant, dĂ©goulinant d’une trop grande quantitĂ© d’émotions. Les yeux se lĂšve vers les Ă©toiles, le cerveau comme retournĂ©, manipulĂ©, peut-ĂȘtre mĂȘme hypnotisĂ©. Était-ce un rĂȘve ou la rĂ©alitĂ© ? Artemis WildsmithPoufsouffle Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Artemis Wildsmith, le Ven 1 Mai - 041 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Erotisme, Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeUne respiration essoufflĂ©e, emportĂ©e, brutalement coupĂ©e par la main de Loredana lui Ă©crasant la trachĂ©e. Et les pommettes s’éclairent, pendouillent aux iris rosĂ©s dont elles ne peuvent pas se dĂ©tacher. Sensation Ă©poustouflante – nouvelle. Les sensations s’emmagasinent Ă  l’intĂ©rieur, ne peuvent plus s’échapper, ĂȘtre extĂ©riorisĂ©es. Alors ça brĂ»le, ça implose, tout simplement. Les bassins s’entrechoquent davantage se heurtent, il voudrait mĂȘme qu’elle resserre encore sa prise, plus fort, plus fort. C’était sans compter sur les cuisses agrippĂ©es Ă  lui, le bousculement des entrailles Ă©merveillĂ©es, ne rien pouvoir retenir ni contrĂŽler. Cette bĂ©atitude d’ĂȘtre tout Ă  fait captif des vagues de dĂ©lice, puissantes ; des battements de son cƓur qui venaient fredonner Ă  ses tempes brĂ»lantes. Alors sans rien maĂźtriser, il finit par se dĂ©verser dans un jouissif acmĂ© ; jouir en elle n’avait jamais Ă©tĂ© si prodigieux. RĂ©pandre mille ricochets d’étincelles au creux de son ventre ; il l’embrasse passionnĂ©ment – comblĂ©. FascinĂ©, il cueille les Ă©chos des gĂ©missements de l’Amoureuse un peu partout dans l’herbe, avant de s’affaler juste Ă  cĂŽtĂ© d’elle, attachĂ© Ă  son lĂšvres rĂȘveuses, il continue tout de mĂȘme Ă  parsemer sa peau de mots d’amour, de brefs baisers, petits dĂ©bris des Ă©bats furieux. RĂ©parer les nombreuses morsures ornant l’épiderme de l’Épouse, ne laisser aucune once de goutte de sang s’échapper. La langue rit, de la sulfureuse Ă©treinte qui restera Ă©pinglĂ©e Ă  la racine des boucles pour encore de longues minutes. Le temps de caresser une derniĂšre fois le ventre de la jeune femme, une poitrine encore haletante. Faudra pas qu’t’oublies de prendre la petite pilule, espiĂšgles dents qui s’en vont susurrer Ă  l’oreille de la Gryffondor, parce que si on est des feux d’artifice, tu peux ĂȘtre sĂ»re qu’en explosant, on a fait plein de bĂ©bĂ©s Ă©tincelles. C’est rigolo, il ne parlait d’éventuelle progĂ©niture que pendant l’amour, ou aprĂšs ; mais aujourd’hui, il n’était plus vraiment trĂšs sĂ»r. AprĂšs la crise, aprĂšs les souvenirs familiaux brisĂ©s en morceaux, le Wildsmith n’avait pas la carrure pour engendrer un bambin. Les boucles s’en vont soupirer contre la terre, il s’accroche aux Ă©toiles, le kiwicot leur donne de drĂŽles de visages affables, on dirait qu’elles font signe Ă  Arty ; de rester lĂ , d’encore profiter avant que le soleil ne se lĂšve et dĂ©cide que la journĂ©e suivante ne serait que ruminations de la vieille. Non, il veut absolument rester prĂšs d’Elle, empreindre dans ses narines qui se dĂ©cident Ă  envahir la nuque de l’AimĂ©e, son odeur, sa saveur. J’te pensais pas Ă©trangleuse tiens, quelle conversation, c’était bien. Et c’était un euphĂ©misme, ça se voit Ă  ses joues rougissantes et Ă  sa lĂšvre pincĂ©e de timiditĂ©. Se dĂ©tacher complĂštement d’elle serait laisser place Ă  l’introspection, ce qu’il refusait pour le moment. Tu m'caches dans tes cheveux pendant quelques jours ? Il adorerait ĂȘtre un petit bonhomme minuscule glissant sur les ondulations de la MĂ©tamorphomage. Le cerveau demeurait encore lĂ©gĂšrement embrumĂ© par la graine magique, par la montĂ©e exquise des hormones. DĂ©guster les rĂ©pliques des spasmes de l’orgasme, de toute façon, il Ă©tait encore incapable de se mettre debout. Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Loredana Wildsmith, le Sam 2 Mai - 2150 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeUn contact que l’on se refusait de rompre, comme si la prĂ©sence de l’autre donnait l’impression que l’on Ă©tait Ă  notre place, chez nous, l’endroit en lui-mĂȘme importait peu. MalgrĂ© des Ă©bats violents, de moins en moins romantiques, l’aprĂšs Ă©tait toujours douceur, caresses et baisers dĂ©posĂ©s un peu partout. Ceux d’Arty avaient un effet curatif aprĂšs de nombreuses plaies créées par la simple force de ses dents. De nombreuses traces de morsures qui me piquaient, mais qui avaient le don de pimenter nos Ă©changes, les rendre plus intenses encore, car ce sentiment d’appartenance rĂ©ciproque Ă©tait ce qui rendait chaque chorĂ©graphie aussi unique les unes que les autres. Des feux d’artifices qui changeaient de couleur, prenaient une forme nouvelle Ă  chaque lancer. Je ne m’en lassais pas, jamais et l’effet Ă©tait encore plus grand lorsque les sens Ă©taient amplifiĂ©s par l’effet d’une simple graine. Je la prends la petite pilule, je crois, peut-ĂȘtre pas tout le temps, mais je me souvenais l’avoir pris il n’y a pas si longtemps que ça. MalgrĂ© les mises en garde au MinistĂšre sur l’importance de la prendre tous les jours, je n’avais absolument rien pour me prĂ©venir, me dire Hey Lore, c’est le moment vite tu vas oublier encore petite idiote inconsciente, alors oui, ce n’était pas rĂ©gulier, mais pour le moment, aucun bĂ©bĂ© en vue, mĂȘme si ce serait drĂŽle d’avoir un bĂ©bĂ© feu d’artifice multicolore. Tout le monde serait jaloux tellement il serait beau ! Jamais je ne parlais ainsi habituellement. L’effet du Kiwicot ? Le sentiment de bien-ĂȘtre de l’aprĂšs ? Ou un gain de confiance en voyant notre relation se stabiliser ?NĂ©anmoins, ce n’était pas vraiment le moment de parler de notre progĂ©niture tout de suite. Pas aprĂšs le dĂ©but de soirĂ©e mouvementĂ© Ă  cause d’un problĂšme de famille, de parents, d’enfant cachĂ©. La vie Ă©tait pleine de surprises, de dĂ©ceptions, d’évĂ©nements tristes et heureux. Je ne voulais pas avancer trop vite. Lorsque le moment sera venu, on le saura et l’on sera tous les deux heureux de cette nouvelle-lĂ . En attendant, se concentrer sur le prĂ©sent, rire des paroles de l’Amoureux qui avait semblĂ© apprĂ©cier ce geste inattendu. Ça t’étonne ? C’était une rĂ©elle question. Pourtant, tu n’es pas sans savoir que si je pouvais tuer quelqu’un juste avec une pression de main, ce serait pour moi la meilleure façon. Mais pas trĂšs prudent selon les paroles du Poufsouffle qui prĂ©fĂ©rait la protection de la baguette. Je me rappelais de ce sort utilisĂ© sur ma tante pour l’étouffer. Je l’avais regardĂ©e du dĂ©but jusqu’à la fin, la lumiĂšre de ses yeux s’éteignait tandis que le sang coulait de l’arriĂšre de sa tĂȘte. Pourquoi avoir peur de tuer lorsque la personne le mĂ©ritait ? Le souvenir de cet Ă©vĂ©nement accĂ©lĂšre de nouveau mon rythme cardiaque. Je me souvenais trĂšs bien de chaque sensation ressentie Ă  ce souvenirs disparaissent dans un nuage de fumĂ©e en sentant Arty revenir prĂšs de moi. Mes cheveux sont tout Ă  toi, pour tooout le temps que tu souhaites, petite pause avant de reprendre, mĂȘme s’ils ne deviendront jamais de la barbe Ă  papa. D’ailleurs, ne m’avait-il pas dit qu’il m’en ferait un jour ? J’attends toujours de connaĂźtre le goĂ»t d’ailleurs, Monsieur Wildsmith. LĂ , tourner la tĂȘte pour l’embrasser, emmĂȘler mes jambes aux siennes. Marquer ma prĂ©sence Ă  chaque moment, les bons comme les pires. Lui faire comprendre par de simples gestes que plus rien ne pourrait me faire fuir, dĂ©sormais. L’alliance Ă  mon doigt en Ă©tait la preuve. La petite graine comme frontiĂšre entre le monde rĂ©el et le nĂŽtre créé de toute piĂšce. Si on s’enfermait dans cette boĂźte pour toujours ? Tu n’aurais plus besoin de mes cheveux pour te cacher. Le romantisme toujours Ă  son apogĂ©e. La pudeur dont je faisais preuve habituellement n’était plus. Pas de filtres, pas de mensonges. Peut-ĂȘtre plus efficace qu’une goutte de Veritaserum. Artemis WildsmithPoufsouffle Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Artemis Wildsmith, le Mar 5 Mai - 1640 Hocher la tĂȘte silencieusement, quelque part dans les entrailles du Poufsouffle, il y avait toujours ce doute, entre l’envie capricieuse d’un petit bĂ©bĂ© et la raisonnabilitĂ© de se dire que ce serait une sacrĂ©ment mauvaise idĂ©e. Et puis, Loredana ne le souhaitait pas, elle l’avait dit, rĂ©pĂ©tĂ©, affirmĂ©. Mais elle avait entiĂšrement raison sur une chose, ils feraient le plus beau bĂ©bĂ© du monde, un bambin parfait. Et si le kiwicot avait cette belle vertu d’agiter le romantisme sur la langue de l’Amoureuse, pour Arty, cela le plongeait dans des rĂȘveries nĂ©buleuses. C’est qu’il voyait distinctement la petite silhouette d’un chĂ©rubin courir sur les ondulations brunes de la MĂ©tamorphomage, il l’entendrait mĂȘme rigoler. Aussi nettement que le rire de Loredana Ă  l’évocation de l’étranglement. Ça ne l’étonne pas tellement en vĂ©ritĂ©, il savait qu’elle prĂ©fĂ©rait l’asphyxie Ă  la pyromanie – personne n’est vraiment parfait – ce qui avait Ă©tĂ© flamboyant c’était la façon dont cette strangulation avait Ă©tĂ© jouissive. La frustration Ă  son apogĂ©e de ne mĂȘme plus pouvoir respirer. Il y avait dans l’amour, le plaisir de la brutalitĂ© intense, tout Ă  fait Ă©vaporĂ©e lorsqu’ils Ă©taient tous deux allongĂ©s, aprĂšs. Dans l’aprĂšs, il n’y avait que la douceur et le sucrĂ©, quelque chose de la barbe-Ă -papa. Il pense Ă  la joie des fĂȘtes foraines moldues, aux friandises que l’on pouvait y goĂ»ter, ce serait bientĂŽt l’étĂ©, j’t’emmĂšnerai, et on se goinfrera de barbe-Ă -papa. Le tournoiement des manĂšges et des lumiĂšres, ce serait un merveilleux rendez-vous amoureux. Oui, il fallait qu’il note ces idĂ©es quelque part dans la partie romantiques projets de son cerveau. Pour plus tard, pour occuper une douce aprĂšs-midi ensoleillĂ©e. Pour le moment, simplement profiter de prolonger l’étreinte de baisers qui n’en finissaient pas. Chasser les premiers frissons de fraĂźcheur qui revenaient Ă  la charge en mĂȘme temps que la lumiĂšre affichait ses tout premiers rayons. Continuer de l’embrasser pour dans une derniĂšre culbute la ramener sur lui, contre lui. l’Amoureuse Ă©tait la prĂ©cieuse barriĂšre entre lui et les contrariĂ©tĂ©s de la vie. Alors avec de dĂ©licates caresses et des lĂšvres reconnaissantes, le lui montrer, le lui prouver, Ă  quelle point elle Ă©tait importante pour lui. Malheureusement, la rĂ©alitĂ© Ă©tait ce monstre qui vous sautait dessus, dans le dos, alors que vous cherchiez Ă  vous enfuir. Pas moyen d’y Ă©chapper, mĂȘme s’ils parvenaient Ă  crĂ©er une bulle opaque Ă©paisse, le quotidien avait cette fĂącheuse tendance de tout piquer sur son passage. Alors il soupire, il faudrait rĂ©flĂ©chir rĂ©flĂ©chir tergiverser Ă  propos de Riley, ses parents, entrevoir des solutions et prendre une dĂ©cision, retourner voir sa sƓur, essuyer toute la haine qu’elle allait sĂ»rement lui cracher Ă  la figure. Mais demain. Demain, dĂšs l’aube, le cerveau se mettrait Ă  lui nouer le ventre d’angoisse Ă  propos de ce qui l’attendait. Des moments d’une incroyable gĂȘnance, voilĂ  ce qui le menaçait vraiment, un retournement de vie et de passĂ©. Il faudra qu’tu sois lĂ , quand on sortira de la boĂźte, pour lui accrocher les pieds un petit peu dans le bonheur, l’empĂȘcher d’exploser de mĂ©lancolie, d’animositĂ©. Une prĂ©sence et des papouilles qui lui rappelleraient qu’elle Ă©tait lĂ . Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Loredana Wildsmith, le Mer 6 Mai - 1954 J’aimerais que tout s’arrĂȘte, maintenant. Qu’il fasse exploser une derniĂšre fusĂ©e qui s’arrĂȘterait en plein vol, laissant des milliers d’étincelles colorĂ©es stoppĂ©es, les reflets sur notre peau Ă  tous deux. Il n’y aurait plus de couleur nuit qui commençait d’ailleurs Ă  laisser sa place Ă  un ciel plus clair qui laisserait sa place Ă  son tour Ă  un lĂ©ger voile rosĂ© cachĂ© derriĂšre les nuages. C’est drĂŽle cette façon dont on pouvait passer d’une extrĂȘme Ă  l’autre. Son arrivĂ©e Ă  la Cabane n’avait pas Ă©tĂ© sans casses, sans cris, sans craintes, sans colĂšre. Au contraire, j’avais eu peur durant un instant qu’il dĂ©passe les bornes, me blesse comme il avait failli le faire. Il avait cette habitude de toujours essayer de faire ressentir Ă  l’Autre ce que lui ressentait. Mais ce soir, il savait que ce n’était pas Ă  moi qu’il en voulait, il avait fini par le comprendre et avait acceptĂ© que les choses se passent autrement que dans les cris et les mots dĂ©placĂ©s. Et finalement, la soirĂ©e s’était poursuivie dans la douceur de l’amour et la violence des Ă©changes corporels. Le tout se terminant dans un romantisme qu’Arty connaissait bien et que je dĂ©couvrais sous Kiwicot. J’en venais presque Ă  regretter que les effets ne soient pas permanents. Que l’on reste ainsi, nus, allongĂ©s sur l’herbe refusant de penser Ă  une rĂ©alitĂ© meurtriĂšre. Mais j’accueillais cette proposition et ses baisers les bras ouverts, le sourire collĂ© sur mon sensation Ă©lectrisante de ne jamais ĂȘtre rassasiĂ©e, me rendre compte que j’avais toujours besoin de le sentir contre moi et la graine magique accentuait ce sentiment de dĂ©pendance totale. Je plonge ma tĂȘte contre lui, le nez dans les boucles, les mains caressent son visage, sa nuque, ses bras, ses mains
 Lui montrer par de simples gestes qu’il pouvait Ă©videmment compter sur moi. Je serai lĂ  Ă  la sortie de la boĂźte ! Un baiser, deux baisers, trois baisers. Tu n’peux plus te dĂ©barrasser de moi. Et ça continue ainsi encore quelques minutes, quelques heures peut-ĂȘtre. Entre cĂąlins, mots doux et baisers romantiques. Parce que l’on savait que les minutes Ă©taient comptĂ©es. Parce qu’un feu d’artifice, aussi magnifique soit-il, restait Ă©phĂ©mĂšre. Ça explose, c’est joli, puis ça se termine. C’était probablement la raison pour laquelle nous n’étions pas parvenus Ă  nous sĂ©parer, Ă  nous lever aprĂšs l’amour. Parce qu’on savait ce que cela engendrerait. Le ciel s’éclaircissait en mĂȘme temps que les effets du Kiwicot se dissipaient sans nous laisser la chance de l’en empĂȘcher. Cette saletĂ© de graine malicieuse qui avait un goĂ»t de reviens-y. Juste parce que j’avais envie de conserver cette illusion, fermer les yeux. Le soleil matinal se rĂ©veille, le rythme cardiaque ralentit, le vent refroidit ma peau. Je tremble. L’illusion disparaĂźt. Les visages perdent de leur lumiĂšre Ă  chaque tic-tac inaudible, mais bien prĂ©sent quelque part. Retour brutal Ă  la du RP Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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Harry Potter 2005 ~€~ Londres ~€~ Rues de Londres 21, Eagle PlaceCronosPoufsouffle Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2Cronos, le Ven 19 DĂ©c - 1512 Sur le toit, dans l'Ă©pais brouillard rien ne laissait entrevoir son adversaire, sauf peut ĂȘtre parfois une ombre indistincte qu'il croyait voir dans la nappe. La rafale de vent se dirigea droit vers l'opposĂ© du bĂątiment, et si son adversaire Ă©tait bien lĂ ; il l'entendrait forcĂ©ment. Il entendit faiblement un "Dimuendo tralala" ĂȘtre murmurer. Cela ne lui permit pas de trouver son adversaire, mais une brĂšche de faible courant se forma dans la vague tourbillonnante, offrant une stabilitĂ© prĂ©caire Ă  son formateur. Peu Ă  peu les vents se dissipĂšrent et la couche de brouillard s'estompa. Se relevant de sa position dormante, Mione lui apparue pour la premiĂšre fois distinctement. La recrue et la chef se faisait face, non pas sĂ©rieusement comme il serait de rigueur dans un vrai duel, mais cependant avec assez de concentration pour ne pas laisser croire Ă  une rĂ©crĂ©ation. Une quarantaine de mĂštres carrĂ© tout au plus leur laissait la possibilitĂ© de se battre sur le toit; aprĂšs il faudrait passer par une chute de cinq mĂštres de haut s'ils souhaitaient visiter l'extĂ©rieur Ă  leur disposition...Mione lui fit remarquer son originalitĂ© et sa discrĂ©tion dĂ©concertante, d'une rĂ©plique qui aurait pu ĂȘtre sarcastique, mais d'un ton qui montrait ce qu'ils faisaient; le maĂźtre apprenait Ă  l'Ă©lĂšve. J'espĂšre que tu as compris qu'elle Ă©tait une des difficultĂ©s majeures dans un combat? Le Poufsouffle eut un hochement de tĂȘte et s'apprĂȘtait Ă  rĂ©pondre. Mais en bon naĂŻf qu'il Ă©tait, Mione n'Ă©tait pas lĂ  pour faire la discute - bien au contraire - et elle allait lui prouver Ă  la suite. Alors qu'il allait rĂ©pondre Cronos compris rapidement, pour l'avoir dĂ©jĂ  subi, que la chef de l'Ordre venait de lui offrir un gentil Bloclang informulĂ©. Il pensa intelligemment que si elle avait Ă©tĂ© mĂ©chante elle aurait pu aussitĂŽt ajouter " et reste sur tes gardes... ". La jeune femme enchaĂźna immĂ©diatement avec Rictusempra, mais le Poufsouffle cette fois sur ses gardes rĂ©ussit Ă  Ă©viter le jais de lumiĂšre en plongeant sur le se releva rapidement et tendit sa baguette droit vers Mione en prononçant Expelliarmus ! Mais rien ne se produisit. * Mer**, saletĂ© de Bloclang * Il n'Ă©tait pas un spĂ©cialiste des sortilĂšges informulĂ©s, lacune qu'il devrait combler; mais heureusement pour lui il s'y habituer quand mĂȘme Ă  force de subir les attaques ennemies en informulĂ©s. Il pointa sa baguette sur lui en prononçant intĂ©rieurement Finite incantatem. Ah enfin ! put-il prononcer Ă  son grand soulagement. Il poursuivit immĂ©diatement en direction de son adversaire Impedimenta ! Il regarda le trait de lumiĂšre prendre la direction de Mione et ajouta Locomotor Mortis ! MĂȘme si ses attaques n'avaient rien de dangereuses pour son adversaire, elles auraient au moins le mĂ©rite de la paralyser si elle touchaient leur but... Cela lui laissait le temps de se prĂ©parer pour la contre attaque... et pourquoi pas pour surprendre son adversaire... Claire WilsonGryffondor Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2Claire Wilson, le Mer 31 DĂ©c - 1717 Peyton Ă©tait une bonne combattante, Clicli en Ă©tait sĂ»r Ă  prĂ©sent. Inutile de continuer indĂ©finiment cet entrainement. La jeune banquiĂšre avait un coup spĂ©cial en tĂȘte qui risquait fortement de marchĂ© en vue de sa position actuel. ProtĂ©ger par un canapĂ© imposant, la Gryffondor venait de voir entrĂ© Peyton sans grande difficultĂ©. Pour dire vrai, la jeune fille n'avait pas vraiment poser de piĂšge, il fallait bien que son adversaire rĂ©ussise Ă  la retrouver. Quoi que, un mangemort prenait plus facilement la fuite par on ne sait quel miracle ces dernier temps. Bref, Clicli observait la Serdaigle qui venait de se diriger vers le coin de la piĂšce, mĂȘme si l'envie de sauvĂ©e la poupĂ©e n'Ă©tait pas trĂšs prĂ©sent, c'Ă©tait le but de la jeune femme et il ne fallait pas qu'elle oublie que, dans un combat, la prioritĂ© et de faire Ă©vacuer les personnes qui ne peuvent pas se au aguets, la jeune femme entendait chacun des pas de son adversaire malgrĂ© le faite qu'elle donnait tout son mal pour les dissimulĂ©. Mais, Ă©tant accroupis, Clicli avait l'impression de ressentir les secousses plus ou moins violente que le sol ressentait. Elle Ă©tait Ă  cĂŽtĂ© de la piĂšce et c'Ă©tait surement pas son genre de ne rien faire et en bref, en deux trois mouvements Clicli n'avait plus de canapĂ© pour se protĂ©ger et elle se retrouvait en face d'une Peyton Ă  moitiĂ© cachĂ©. Les yeux rivĂ©s sur son adversaire, la banquiĂšre n'hĂ©sita pas un seul instant Ă  lui lancĂ© deux sorts Ă  la suite "Boclang ! Crache Limace !"Le premier sort permettait de faire taire Peyton qui avait un lĂ©ger handicap et le deuxiĂšme, si son l'ancienne Serdaigle se le prenait, elle risquait fortement de perdre le combat ne pouvant pas alignĂ© deux syllabe sans cracher une limace visqueuse et baveuse.[Hj > DĂ©solĂ©e pour le RP, Peyton, si tu te prend le deuxiĂšme sorts le duel est fini] Atana MarkoffSerpentard Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2Atana Markoff, le Jeu 1 Jan - 625 Atana fut comme satisfaite d'avoir rĂ©ussit Ă  toucher Jaren avec son sortilĂšge. Elle le regarda voler et n'eut pas vraiment de pitiĂ© ou de regret en voyant le corps du jeune homme retomber sur le sol avec une certaine agilitĂ©. Elle le regarda prĂȘte Ă  riposter Ă  la moindre attaque. Elle regarda Jaren les sourcils froncĂ©s lĂ©gĂšrement inquiĂšte de la formule qui lui reservait. Et elle eut bien fait d'apprĂ©hender le sort, en effet une vague [de destruction on pouvait bien l'avouer] dĂ©ferla sur elle Ă  grands pas rĂ©duisant en morceau chacun des objets qu'elle trouvait sur son passage... Atana la fixa, Ă  vrai dire elle ne savais pas trop comment rĂ©agir face Ă  la puissance du sortilĂšge... Elle tenta le tout pour le tout et Ă©rigea devant elle Ă  tout allure un mur en brique qui, l'espĂ©rait-elle, tiendrait face Ă  au choc de la vague. Elle resta donc les bras tendu sur ses appuis attendant l'impact du sortilĂšge qui ne tarda d'ailleurs pas Ă  venir. Il ne fut pas aussi fort que la jeune fille l'attendait et elle pu l'arrĂȘter avec plus de facilitĂ© qu'elle ne l'attendait. Elle recula tout de mĂȘme sous la force du sortilĂšge mais le maintint. Elle ne donna toutefois pas cher de l'Ă©tat de son mur mais elle s'en fichait elle avait rĂ©ussit Ă  arrĂȘter l'attaque de Jaren. Elle dĂ©fit le mur et se retrouva ainsi face au jeune homme. Elle lui adressa un sourire victorieux et dĂ©fiant. Elle agita sa baguette dĂ©jĂ  levĂ© et s'Ă©cria Accio... !!!Toutefois la suite du sort resta bloquĂ© dans sa gorges. Elle regarda Jaren dans les yeux avant de finalement redire Accio caleçon de Jaren !Chose peu commune et pas vraiment utile dans un combat... La premiĂšre pensĂ©e d'Atana fut Accio Coeur de Jaren mais sans vouloir sombrer dans le cĂŽtĂ© gore ni dans le douloureux ele s'Ă©tait retenue avant et s'Ă©tait rabattut sur quelque chose de basique et surtout indolore. Elle ne savais pas exactement l'impact qu'aurait pu avoir son sortilĂšge mais dans tous les cas elle ne voulait pas envoyer Jaren Ă  St mangouste... Elle le regarda et haussa lĂ©gĂšrement les Ă©paules. AprĂšs tout elle se contenterait bien de son caleçon ... PeytonSerdaigle Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2Peyton, le Jeu 1 Jan - 1623 [Je vois pas ce que je peux faire de plus....]MalgrĂ© son camouflage, Clicli avait rĂ©ussi Ă  savoir prĂ©cisĂ©ment oĂč elle Ă©tait... Si bien que lorsque le canapĂ© disparu de devant la banquiĂšre, cette derniĂšre n'hĂ©sita pas Ă  lui envoyer deux sorts Ă  la suite... Le premier fut facile Ă  dĂ©tourner, Ă  l'aide d'un simple Protego... En revanche, elle se prit le deuxiĂšme en plein ventre. Le deuxiĂšme Ă©tait naturellement le plus pĂ©nible, celui du crache-limaces. Peyton avait horreur des limaces.... c'Ă©tait l'un des sorts qu'elle avait le moins envie de recevoir. Mais sur ce coup lĂ , elle n'avait pas maitrisĂ©! Surtout que maintenant, elle allait devoir passĂ© le restant de la journĂ©e avec un seau, afin de faire sortir les bestioles..- Tu m'as eu lĂ ... Dit Peyton avant de cracher d'affreuses limaces, courbĂ©e en deux. Le sortilĂšge de dĂ©sillusion prit fin et la serdaigle retrouva son aspect ne savait pas oĂč on Ă©tait les autres, quoiqu'il en soit, elle venait de perdre le combat... NĂ©anmoins elle pensait ne pas s'en ĂȘtre trop mal tirĂ©e, mĂȘme si la poupĂ©e n'Ă©tait pas sauvĂ©e, Clicli mit fin Ă  son entrainement... Les limaces l'empĂȘchaient de faire pas mal de chose... MĂȘme si Peyton pensait qu'elle aurait pu continuer, aprĂšs tout, c'Ă©tait Ă  Clicli de dĂ©cider. Elle attendit le verdict avec impatience, elle voulait connaĂźtre le rĂ©sultat de son premier entrainement.... Un seau trainant dans un coin de la cuisine, elle l'appela Ă  l'aide d'un "Accio seau" afin de regrouper les limaces en un lieu donnĂ©. Encore une fois, elle eut un rejet de choses On fait quoi de la poupĂ©e main... [tenant?] Peyton ne pu finir sa phrase, des limaces surgissants une nouvelles limaces... SaletĂ©es! Jura la jeune fille. InvitĂ© Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2InvitĂ©, le Dim 4 Jan - 1831 *Comment ça, mon caleçon ?* Pensa Jaren tandis qu'un son strident façon "alarme moldue" retentissait dans sa tĂȘte. Heureusement pour Jaren l'accio fait partit des enchantements les plus basiques qui existent, et un simple "finite incantatum" mit fin Ă  la tentative d'Ă©vasion du caleçon. Jaren leva sa baguette, planta son regard froid et calculateur dans les yeux d'Atana, puis il commença Ă  emmaganiser son Ă©nergie magique dans sa baguette. Il s'agissait d'un sortilĂ©ge primaire et ancien, probablement un des premiers créés. Comme tout Ă  chacun le sait, la magie d'un sorcier provient de son "aura", c'est Ă  dire un champs d'Ă©nergie autour de sa personne mĂȘme les moldus en ont un, mais trop faible pour qu'il serve Ă  quoi que ce soit et le rĂŽle de la baguette consiste Ă  canalyser cette Ă©nergie, pour ensuite la modeler afin d'aboutir Ă  des rĂ©sultats aussi variĂ©s que surprenant. La magie actuelle, aussi qualifiĂ© de "magie supĂ©rieure" ou de "magie civilisĂ©e" est donc une magie reposant essentiellement sur le contrĂŽle d'un sorcier sur sa magie. Mais la magie ancienne s'appuyait principalement sur la magie brute, non modulĂ©. C'est d'ailleurs cette forme de magie qui apparait le plus souvent naturellement aux enfant, qui sont par nature "chaotique" durant leurs petites enfances. Ainsi, le sortilĂ©ge que Jaren s'apprĂ©tait Ă  lancer ne ressemblait en rien aux sortilĂ©ges habituels au lieu d'un "fragment d'Ă©nergie contrĂŽlĂ©", il s'apprĂ©tait Ă  simplement libĂ©rer sa puissance magique au sein d'un dĂ©ferlement d'Ă©nergie pure. Tandis que l'Ă©nergie se concentrait dans la baguette, la faisant chauffer entre ses doigts, Jaren fut prit de deux doutes parviendrait t'il Ă  contrĂŽler la quantitĂ© d'Ă©nergie libĂ©rĂ©e, ne risquait t'il pas de tout faire exploser et de s'exposer Ă  une mort certaine, tandis que son corp serait dĂ©truit par la puissance de sa propre magie ? Et quand bien mĂȘme, cette attaque n'Ă©tait t'elle pas un peu trop dangereuse dans le cadre d'un simple entrainement, ne risquait t'il pas de provoquer la mort de son adversaire par erreur ? Lentement, tandis que ces doutes faisaient leurs chemin, l'Ă©nergie qu'il avait accumulĂ©e commença Ă  refluer, quittant sa baguette pour revenir dans le corps de Jaren. Jaren lança un regard Ă  Atana et souria est finit pour vous, j'en ais assez vu. La prochaine fois, essayait de faire preuve d'un peu plus d'inventivitĂ© car il serait dommage que vous perdiez un combat simplement parceque votre adversaire aurait devinĂ© votre prochain mouvement. Vous pouvez disposer, quand Ă  moi j'ai des choses Ă  s'allua respectueusement la jeune femme en inclinant sa tĂȘte, puis il transplana dans sa chambre. Une fois lĂ , il commença Ă  s'inquiĂ©ter pourquoi avait t'il faillit lancer ce sortilĂ©ge ? Ça ne lui ressemblait pas d'agir ainsi, sans se soucier des consĂ©quences possibles. A l'Ă©vidence, il avait beaucoup changĂ© ces derniĂšres annĂ©es, mĂȘme si au fond il restait toujours le mĂȘme. Mais certaines de ces convictions avaient flanchĂ©s, remplacĂ©s par d'autres. Il s'Ă©tait endurcit et avait perdu cette naĂŻvetĂ© qu'il avait en intĂ©grant l'Ordre. DorĂ©navant, il n'avait plus de scrupule Ă  violer la loi pour combattre les forces du mal, partant du principe que les mangemorts ne la respectant pas non plus il ne devait pas s'ajouter des handicaps pour les combattre. NĂ©anmoins, depuis quand avait t'il commencer Ă  considĂ©rer sĂ©rieusement la violence pure comme solution ?*Depuis la mort d'Octavia .... C'est depuis ce moment que j'ai vraiment comprit ce que c'Ă©tait de haĂŻr. Avant, j'avais espoir de raisonner les mangemorts, j'avais foi en l'ĂȘtre humain. Maintenant, je ne dĂ©sire plus que de les Ă©radiquer, comme on exterminerait de vulgaires rats.*Jaren fit prit d'un dĂ©gout pour lui-mĂȘme par cette simple pensĂ©e, car elle le faisait correspondre parfaitement au type d'individu qu'il ne voulait pas ĂȘtre. Mais il ne baisserait pas les bras si cette haine ne vout pas disparaitre, alors il la dominera. Il se fit la promesse de toujours faire le maximum pour rester lucide et ne pas pĂ©ter les plombs en combat Ă  cause de sa colĂ©re envers les mangemorts. Il ne leur laisserait pas cette ultime joie. ÉpuisĂ©e mentalement par son esprit tourmentĂ©, et physiquement par l'entrainement, il se laissa tomber sur son lit et s'endormis aussitĂŽt.[Bon, y a une grande partie sans aucun rapport avec l'entrainement, mais fallait que je recadre mon perso par rapport au passĂ©, histoire qu'il "colle" Ă  l'histoire en cours, et j'ai dĂ©cidĂ© de le mettre vite fait dans ce post. DĂ©solĂ© pour ce mini hors-sujet, mais je me voyait pas trop faire un post juste pour ça xDBon, aprĂšs relecture je m'aperçoit que ça n'a rien Ă  voir du tout avec l'entrainement finallement, Ă  part que j'y met fin, ce qui Ă©tait le but principal Ă  la base. Pardonnez moi cette digression, je recommencerais plus, promis ... ou pas ] MionePoufsouffle Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2Mione, le Jeu 8 Jan - 1721 Le combat avait rĂ©ellement dĂ©butĂ©, mais ce prĂ©ambule un peu long ne gĂȘnait en rien la jeune chef. Dans les combats auxquels elle avait pu participer, les cagoulĂ©s n'Ă©taient pas toujours terriblement pressĂ©s d'en finir...et c'Ă©tait tant mieux. Visiblement, Cronos avait compris que la concentration Ă©tait plus que de rigueur et Mione l'observa d'un regard apprĂ©ciateur Ă©viter le Rictusempra qu'elle venait de lui jeter, mĂȘme s'il avait mit un peu trop de temps Ă  son goĂ»t avant de se dĂ©barrasser du prĂ©cĂ©dent sortilĂšge d'entrave. Un autre adversaire aurait su amplement profiter de la situation Ă  son avantage. Elle pu cependant constater qu'il avait retrouvĂ© toute sa rapiditĂ© lorsque l'Impedimenta lui frĂŽla suffisamment le bras pour dĂ©chirer son t-shirt sur une bonne dizaine de centimĂštres *Merlin, un de mes prĂ©fĂ©rĂ©s ! Toi mon ptit bonhomme tu va m'le payer... * Roulant Ă  terrepour Ă©viter le second jet de lumiĂšre, la jeune femme profita de son Ă©lan pour se relever Ă  quelques centimĂštres de son adversaire. - Ne contrarie jamais une femme Cronos...Profitant de cette brusque proximitĂ© et pointant sa baguette vers le sol, lĂ©gĂšrement tournĂ©e vers les pieds deCronos, elle lança un sort informulĂ© qu'elle Ă©trennait et qui Ă©tait censĂ© transformer le sol en sables mouvants, assez lentement toutefois pour permettre Ă  la jeune fille de s'en aller. Se penchant vers lui comme pour parler Ă  voix basse, elle avisa une branche particuliĂšrement pointue d'un arbre proche et, lui lançant un Accio toujours informulĂ©, termina -...surtout lorsqu'elle sait se servir d'une baguette...Puis Mione plongea du toit, non sans avoir jeter sur elle-mĂȘme un puissant sortilĂšge de ralentissement afin de lui permettre d'atterrir comme une plume sur l'herbe en contrebas. CronosPoufsouffle Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2Cronos, le Sam 24 Jan - 1126 Le premier sort de Cronos partit droit dans la direction de la poitrine de la chef de l'Ordre. A la derniĂšre seconde ... il sembla dĂ©vier vers le bras de la jeune femme qui esquiva de justesse le sortilĂšge.... mais pas son magnifique T-shirt qui laissa quelques fibres sur le carreau... Le visage que la rouquine prit aussitĂŽt n'augurait rien de bon pour le sourire qu'arborait le Poufsouffle. Il aurait dĂ©truit un Picasso qu'elle n'aurait pu faire paraĂźtre plus de consternation sur son visage. Une chose Ă©tait certaine pour Cronos, quelques instants plus tard, ce serait lui qui ressemblerait Ă  un Picasso... Dans la parfaite imitation d'une masse qui s'Ă©crase sans grĂące aucune, Mione s'Ă©tala sur le sol dans ce qu'elle essaya maladroitement de dissimuler comme une roulade... Ce qui malgrĂ© tout lui permis d'Ă©viter le second sort de Cronos. Quand son visage se releva de terre, son expression de furie semblait encore plus prĂ©sente. L'orage Ă  l'horizon se dessinait et la foudre ne tarderait plus Ă  tomber....Cependant Cronos comprit qu'elle s'Ă©tait en fait relever Ă  quelques centimĂštres de lui; pas de sa faute le narrateur relisait le post au fur et Ă  mesure et n'avait pas retenu ce dĂ©tail assez tĂŽt. Soit le Poufsouffle devrait faire avec, il avait l'habitude d'ĂȘtre dirigĂ© comme un boulet...- Ne contrarie jamais une femme Cronos, lui dit-elle les dents serrĂ©es. Il se rendit compte Ă  cette phrase de plusieurs chose. DĂ©jĂ  il allait prendre un sort "Ă lacon", ensuite il ne pourrait pas l'esquiver - parce que c'est une quiche qui ne prĂ©vois et ne distingue l'informulĂ© - et ensuite le combat allait se finir rapidement, puisque le narrateur l'avait informĂ© que Mione mettrait fin au combat peu aprĂšs l'avoir ridiculisĂ©. Bref revenons en Ă  nos moutons.* Oh j'en connais Ă  ne pas contrarier, t'inquiĂštes pas grand-mĂšre * pensa sentit au moment ou une bĂȘtise lui passer par la tĂȘte que le sol se dĂ©rober sous ses pieds. Une chose Ă©tait certaine; ce n'Ă©tait pas le poids de son cerveau qui l'attirait dans les Surtout lorsqu'elle sait se servir d'une baguette, acheva Poufsouffle ne rĂ©agit que trop tard. Lorsqu'il pointa sa baguette sur la rousse; elle s'extrayait dĂ©jĂ  par l'ouverture du bĂątiment, en direction de l'extĂ©rieur. Le Poufsouffle avait l'air C** pour ne pas trop changer de ses habitudes. Il n'eut aucun mal Ă  se dĂ©barrasser des sables mouvant. Il subissait frĂ©quemment ce sortilĂšge, Ă  chaque entraĂźnement qu'il avait eu, mĂȘme avec sa soeur dans la forĂȘt. Il rejoignit Ă  l'extĂ©rieur ses formateurs et amis qui attendaient dĂ©jĂ . L'entraĂźnement n'avait certainement pas Ă©tĂ© glorieux, mais bon ils auraient certainement l'occasion de se rattraper...[dsl pour le rp de Mer**, promis un jour on fera un vrai combat, quand tu auras fini tes Ă©tudes Mdr ] PeytonSerdaigle Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2Peyton, le Sam 30 Mai - 038 [ENTRAINEMENT DE SHANNON ET DE ELADORARp combinĂ© Gyal et Pey - Eladora, Shannon, vous pouvez poster Ă  la suite] Combien de temps s'Ă©tait-il passĂ© depuis son entrainement? Des mois... Peyton, Ă  l'Ă©poque, Ă©tait encore avec Cronos, et elle avait eut un peu le stress, si bien que son copain de l'Ă©poque avait du la rĂ©conforter.... aujourd'hui, les rĂŽles avaient changĂ© et c'Ă©tait elle qui allait entrainer les deux nouvelles recrues, en compagnie de Gyaltsen. Peyton avait dors et dĂ©jĂ  choisi Eladora, aprĂšs s'ĂȘtre mise d'accord avec son collĂšgue. Comme l'avait fait Mione Ă  l'Ă©poque, les deux phĂ©nix s'Ă©taient retrouvĂ©s dans un lieu isolĂ©, aux alentours de Loustry, afin de dĂ©limiter la zone d'entraĂźnement... A l'Ă©poque, elle s'Ă©tait retrouvĂ©e dans une Ă©norme maison, entourĂ©e d'un bois. Aujourd'hui, ils avaient changĂ© un peu de dĂ©cor et avaient simplement dĂ©cidĂ© de se rendre dans un champs de Bon, on fait comme on a dit? demanda Peyton Ă  son ami...Depuis quelques temps, les deux phĂ©nix avaient dĂ©cidĂ© de mettre en place un nouveau plan de combat... c'Ă©tait l'une des raisons pour laquelle Peyton et Gyal avaient voulu entraĂźner les deux nouvelles recrues, afin de voir comment ils pouvaient s'y prendre..- Comme on a dit, oui...- Elles risquent d'ĂȘtre surprise de voir que nous combattons en Ă©quipe, non?- Tous les PhĂ©nix ne combattent-ils pas en Ă©quipe Peyton ? lui lança-t-il avec un sourire se rappela alors de l'un de ses derniers combats... avec un phĂ©nix qu'elle avait beaucoup aimĂ©e, sauf lors de cette Non. - Dans ce cas... TĂąchons de montrer l' J'espĂšre simplement qu'elles ne seront pas dĂ©bousollĂ©e en face d'un Ă©goiste mangemort... mais elles semblent ĂȘtre douĂ©es... elles abritent un fort potentiel Ă  dĂ©velopper bien Au combat, un mangemort n'est pas Ă©goĂŻste Peyton. Ils sont fidĂšles entre eux, Je voulais dire qu'ils n'emploient pas le mĂȘme type de plan que nous allons tenter d'utiliser... se Avant de l'affirmer, voyons d'abord s'il fonctionne, dit-il avec un J'ai bien dis "tenter d'utiliser" mon ami.... Je crois qu'elles arrivent, rĂ©pondit Peyton avec un petit clin d'oeil. InvitĂ© Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2InvitĂ©, le Dim 31 Mai - 1901 Eladora s'Ă©veilla dans l'une des chambre du QG de l'Ordre, avec une furieuse envie de se rendormir, qu'elle repoussa tant bien que mal. RĂąlant, elle retira ses draps et posa ses pieds nus sur le sol. Elle les regarda cinq secondes, prise d'un vertige. Elle s'Ă©tait levĂ© trop rapidement. La piĂšce tourna quelques instants sur elle-mĂȘme, puis retrouva son apparence normale, immobile. La jeune femme tira nĂ©gligement sur l'Ă©lastique qui pendait au bout de sa chevelure, celle-ci s'en Ă©tant peu Ă  peu dĂ©gagĂ©e durant la nuit. Elle le passa Ă  son poignet et attrapa une brosse qu'elle avait glissĂ© la veille dans son sac, comme Ă  chaque fois qu'elle ne savait pas vraiment oĂč elle allait passer la nuit. Elle brossa ses cheveux, passa dedans les petites pointes qui lui piquaient la peau du crĂąne Ă  chaque mouement de la brosse dans sa tignasse emmĂ©lĂ©e. Une fois qu'elle eĂ»t rĂ©ussi Ă  se faire une tĂȘte convenable, elle se prĂ©para pour aller Ă  l'entrainement. Elle attacha ses cheveux en une natte bien serrĂ©e qui lui retombait sur l'Ă©paule, et passa des vĂȘtements confortable. Elle enfila ses tennis brunes, puis sortit de la chambre, son sac lĂąchement jetĂ© sur son Ă©paule. -Eladora arriva tĂŽt Ă  l'endroit qui avait Ă©tĂ© dĂ©signĂ© auparavant pour son entraĂźnement, ainsi que celui de Shannon. La jeune femme fĂ»t surprise de constaster que l'endroit en question n'Ă©tait qu'un immense champs de maĂŻs. Le lieu Ă©tait plutĂŽt original, mais elle n'y fit pas attention, plus intriguĂ©e par ce que Peyton et Gyaltsen allait "leur faire subir". Elle s'Ă©tonna en comprenant qu'elle Ă©tait anxieuse, confrontrĂ©e Ă  l'inconnu, pour la deuxiĂšme fois en mĂȘme pas 24 heures. Le bruit de ses pas sur le sol terreux Ă©tait Ă©touffĂ©, sans doute par la vĂ©gĂ©tation et les cultures abondantes. De ce fait, on ne l'aurait pas entendu approcher, mis Ă  part si l'on Ă©tait vraiment trĂšs attentif. Eladora essaya de distinguer au loin ses entraĂźneurs, ou bien mĂȘme Shannon, bref, une trace de vie autre que des insectes. MalgrĂ© le fait qu'elle Ă©tait plutĂŽt grande, son regard ne portĂąt pas assez loin pour qu'elle puisse apercevoir quelqu'un, ou quelque chose. Elle manqua de se tordre la cheville plus d'une fois, trĂ©buchant comme une gamine dans les crevasses. Au bout de plusieurs chutes Ă©chappĂ©es belles, Eladora finit par percevoir un bruit de conversation. Tout heureuse d'avoir enfin atteint le point de rendez-vous, elle accĂ©lĂ©ra le pas et arriva bientĂŽt auprĂšs de Peyton et Bonjour !Elle marqua une courte pause et regarda autour d'elle, s'attendant Ă  voir Shannon. Elle Ă©tait apparement la premiĂšre Ă  ĂȘtre arrivĂ©e, mais sa "coĂ©quipiĂšre" allait certainement bientĂŽt arriver. Eladora interrogea silencieusement du regard son entraĂźneuse, Peyton, ne sachant comment allait se dĂ©rouler la suite de la matinĂ©e.[court... /] InvitĂ© Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2InvitĂ©, le Dim 31 Mai - 2107 [ Rp extrĂȘmement court mais je n'ai pas du tout le temps.] La nuit avait Ă©tĂ© courte. Shannon avait trĂšs peu dormi et le manque de sommeil se faisait ressentir. Elle finit par se redresser entiĂšrement du lit, dĂ©froissant inutilement les plis de son vĂȘtement de nuit occasionnĂ© par son rude sommeil. Faisant courir une main dans ses cheveux noirs et dĂ©peignĂ©s, d’un geste las, Shannon se dirigea alors lentement vers la porte de la salle de bain et la poussa fĂ©brilement. Ses jambes Ă©taient lourdes et peinaient Ă  tenir debout. Quand Ă  ses yeux, ils semblaient vouloir se fermer tout seuls Ă  chaque minute qui dĂ©filait. Shannon savait pourtant qu'aujourd'hui Ă©tait un jour important pour elle. Son entraĂźnement commençait dans trĂšs peu de temps et il fallait absolument qu'elle se remette sur pied si elle ne voulait pas tomber au premier sortilĂšge lancĂ©. La grande bassine avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© remplie lorsque Shannon s'y glissa. L'eau Ă©tait douce et parfumĂ©e. Elle garda les yeux ouverts, dĂ©cidĂ©e Ă  ne pas trop profiter de cet instant de calme au risque de se rendormir. Dans la piĂšce blanche, on n'entendait que le lĂ©ger clapotis de l'eau, le tintement des flacons et le froissement des Ă©toffes. Elle se lava puis, aprĂšs le bain, revĂȘtit sa robe de sorcier. Enfin habillĂ©e, elle sortit un peigne et une brosse et se dĂ©mĂȘla les cheveux dĂ©licatement. Elle Ă©tait partie du bas de sa chevelure et Ă©tait remontĂ©e jusqu'au crĂąne qu'elle massait dĂ©licatement pour se dĂ©tendre. Lorsqu'elle sortit de sa chambre, l'angoisse lui tordait le ventre et un goĂ»t amer emplissait sa bouche. Lorsque Shannon arriva sur les lieux oĂč devait se dĂ©rouler l'entraĂźnement, la surprise l'a saisit. Une vaste Ă©tendue jaune dominait la vue. Un champs de maĂŻs ? Shannon avait envie de rire d'un seul coup mais elle repoussa brusquement ce dĂ©sir. Ce n'Ă©tait pas le meilleur moment pour se fendre la poire. Elle vit les deux membres de l'Ordre du PhĂ©nix, Peyton et Gyaltsen qui patientaient en attendant leurs arrivĂ©es. Bonjour. »Shannon leur adressa Ă  tous les deux un sourire chaleureux, mais lĂ©gĂšrement crispĂ© par l’apprĂ©hension. Elle savait qu’elle devrait montrer ses preuves dans cet entraĂźnement et qu’elle ne devait en aucun cas montrer qu’elle avait peur. Respirant un grand coup, la jeune fille serra durement sa baguette dans sa main. C'est alors qu'elle aperçut Eladora. Cette derniĂšre avançait difficilement Ă  travers le champs, se prenant les pieds dans des trous. Avec un sourire amusĂ©, Shannon s'approcha de la jeune fille. Salut Eladora. PrĂȘte pour l'entraĂźnement alors ? »Shannon s'arrĂȘta Ă  quelques pas de la jeune fille et lui fit la bise. AprĂšs tout, elles allaient s'entraĂźner ensemble. Puis, Shannon se tourna vers Peyton et Gyaltsen attendant une rĂ©action de leurs parts. Gyaltsen KunkhyabSerdaigle Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2Gyaltsen Kunkhyab, le Mar 2 Juin - 2328 [Accord de Peyton pour mouvoir son personnage.]SpoilerKHSuivant les dires de son amie, les deux jeunes femmes ne tardĂšrent pas Ă  faire leur apparition ; l'une aprĂšs l'autre, Ă  quelques dizaines de secondes d'intervalle. Tous se saluĂšrent tour Ă  tour et lorsque les deux nouvelles PhĂ©nix eurent terminĂ© leur conversation amicale, Gyaltsen prit la parole en leur demandant de les suivre, Peyton et lui. GKMarchant quelques pas au travers de la forĂȘt de maĂŻs, ils dĂ©bouchĂšrent enfin dans un espace dĂ©gagĂ©, Ă  l'abri des regards indiscrets. Devant eux se trouvait une vaste passerelle de terrain circulaire oĂč les pieds de maĂŻs avaient Ă©tĂ© couchĂ©s sur le sol, comme dans les crop circles. ArrivĂ©s en son centre, Gyaltsen s'arrĂȘta et se retourna en direction des deux jeunes filles aprĂšs avoir adressĂ© un sourire Ă  Peyton. Lorsqu'il ne la remuait pas au rythme de ses explications, sa baguette magique en bronze tournait lentement entre ses doigts qui se jouaient de sa pointe effilĂ©e telle une flĂšche. GK- Shannon, Eladora, bienvenue sur ce qui sera votre terrain d'entraĂźnement, dit-il d'un ton calme en dĂ©signant le terrain vague qui s'Ă©tendait autour d'eux. Aujourd'hui, vous avez la chance de pouvoir vous entraĂźner en binĂŽme, sachez saisir cette chance, car en rejoignant la noble cause de l'Ordre du PhĂ©nix, vous vous exposerez Ă  de nombreux dangers - silence -. Durant un combat oĂč vous serez amenĂ©es Ă  affronter plusieurs adversaires, la rĂ©ussite et la victoire appartiennent Ă  tout le monde. Mais c'est au travail d'Ă©quipe qu'en revient le mĂ©rite. Lorsque vos propres capacitĂ©s ne suffisent plus, ayez toujours foi en vos coĂ©quipiers. Au combat, il vous faudra garder votre place, tenir ferme votre baguette magique devant vous, vos arriĂšres Ă©tant protĂ©gĂ©s par la baguette de votre voisin PhĂ©nix. Laissez tomber la vĂŽtre, fuyez le combat et c'est la vie de vos coĂ©quipiers que vous mettrez en pĂ©ril - nouveau silence -. Bien, la sĂ©ance d'aujourd'hui consistera, pour Peyton et moi-mĂȘme, Ă  vous mettre dans des situations dĂ©licates dont vous vous devrez de vous en extirper, car votre rĂŽle Ă  vous sera d'essayer de nous mettre hors d'Ă©tat de combattre. Donnez le meilleur de vous-mĂȘmes et souvenez-vous, vous n'ĂȘtes pas seules... Il leur adressa un sourire de sympathie. Peyton, nous pouvons commencer, lui dit-il en lui adressant un sourire auquel elle jeune femme recula alors de quelques pas et les deux PhĂ©nix saluĂšrent le binĂŽme nouvellement formĂ©. Sans perdre de temps et sitĂŽt aprĂšs, Gyaltsen disparut suite Ă  un transplanage pour rĂ©apparaĂźtre plusieurs mĂštres plus loin sur la gauche. Baguette levĂ©e vers le ciel, il lança en informulĂ© un * Aguamenti Maxima ! *. Un puissant et long jet d'eau sortit alors de sa baguette et s'Ă©leva trĂšs haut dans le ciel, au-dessus des deux jeunes filles. Semblant avoir anticipĂ© le sortilĂšge de son ami, Peyton en fit de mĂȘme et s'Ă©cria" Glacio ! " en direction de la masse d'eau qui se formait, ce qui eut pour consĂ©quence de la geler. GKDe suite aprĂšs, dans le prolongement de son premier geste, Gyaltsen jeta un * Wingardium Leviosa Maxima ! * afin de maintenir Ă  la mĂȘme hauteur durant une fraction de seconde la lourde glace amorphe qui se tenait dans le ciel, permettant ainsi Ă  Peyton d'ajuster son tir et de modifier la forme de l'amas de glace en une Ă©paisse soucoupe circulaire de plusieurs mĂštres de diamĂštre Ă  l'aide d'un sortilĂšge de ProtĂ©iforme. Cela fait, Gyaltsen abaissa son bras d'un coup sec sa baguette du centaure fendit l'air dans un sifflement sinistre. Le bloc de glace s'abattait maintenant sur Shannon et Eladora... GKSi elles ne voulaient pas finir Ă©crasĂ©es, elles se devaient de rapidement quitter leurs positions, en courant notamment. Afin de rendre la tĂąche plus ardue, Peyton appliqua aux pieds des deux jeunes filles un * Abyssum Appa ! * informulĂ©, ce qui eut pour effet de crĂ©er tout autour d'elles des crevasses, rendant le terrain difficilement deux PhĂ©nix Ă©changĂšrent alors un regard satisfait.[Si vous avez des questions, nos messageries vous sont ouvertes avec plaisir. ] InvitĂ© Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2InvitĂ©, le Mer 3 Juin - 1920 [Un petit post pour passer le temps, prouver que Jaren n'est pas mort et le prĂ©senter un peu, Ă  la fois pour les nouveaux mais aussi pour les anciens qui n'auraient pas suivit son changement de personnalitĂ©]Jaren, fidĂ©le Ă  ses habitudes, se leva alors que le soleil commençait Ă  peine Ă  poindre Ă  l'horizon. Ses pas rĂ©sonnĂ©rent lugubrement dans la maison tandis qu'il gagnait la cuisine alors que toutes les autres personnes Ă©taient soit assoupies, soit en train de se prĂ©lasser dans leurs lits. Il dĂ©jeuna assez sommairement, tout en regardant la lumiĂšre du jour s'Ă©tendre petit Ă  petit sur le paysage, les oiseaux se mettant alors Ă  chanter et gazouiller. Petit Ă  petit, sous ses yeux se rĂ©veillait la nature. Son esprit hĂ©sitait entre Ă©merveillement et tristesse car aussi beau que fut ce spectacle, il Ă©tait depuis longtemps convaincu que tout cela disparaitrait un jour. Peu importe la volontĂ© des hommes, il arrivera forcĂ©ment, tĂŽt ou tard, une guerre qui dĂ©vastera tout sur son passage, dĂ©truisant et anĂ©antissant tout ce qui rendait le monde beau et la vie digne d'ĂȘtre vĂ©cue. Comme toujours, son esprit fut de nouveau assaillit de sombres pensĂ©es mĂ©lancolie du passĂ©, haine du prĂ©sent, inquiĂ©tude pour le futur. Depuis qu'Octavia avait Ă©tĂ© tuĂ©, depuis ses mĂ©saventures durant son voyage autour du monde, il avait créé une coquille autour de son esprit pour se protĂ©ger des agressions extĂ©rieures plus d'amitiĂ© profonde, plus d'attachement ... seulement cette haine dĂ©vorante et obsĂ©dante envers les mangemorts, seulement ce vide, ce creux au plus profond de son ĂȘtre, de son Ăąme. Autour de lui, des bruits commençaient Ă  se rĂ©pendre, signe que d'autres membres commençaient Ă  se lever. Silencieux comme un spectre, Jaren rangea la cuisine rapidement, puis aussi discret qu'une ombre il regagna sa chambre avant que quiconque ne puisse le voir. EnfermĂ© dans son lieu de vie, lequel comprennait un lit tout ce qu'il y a de plus banal, un bureau impeccablement rangĂ© et des Ă©tagĂ©res remplies de livres en tout genre, la plupart traitant de sujet totallement incomrĂ©hensibles pour quiconque n'avait pas consacrĂ© sa vie Ă  l'Ă©tude de la magie. Jaren Ă©tait de ceux-lĂ , un de ces esprits torturĂ©s mais nĂ©anmoins gĂ©niaux, capables de trouver une rĂ©ponse lĂ  oĂč les autres ne verraient que tĂ©nĂ©bres, capables de remettre les certitudes en doutes et d'en tirer des connaissances plus grandes encore. Il avait engrangĂ© une connaissance Ă©norme dans les enchantements, devenant un vĂ©ritable expert au fil des ans. AprĂšs tant de sacrifices, il Ă©tait entrĂ© dans la cour des grands, se mesurant Ă  d'autres personnes comme lui. A une Ă©poque, tandis qu'il Ă©tait chef de l'Ordre avant de dĂ©lĂ©guĂ© ses pouvoirs Ă  Mione, il avait crut avoir atteint le sommet de son art, la perfection. Mais il l'avait rencontrĂ© ... ELLE. Cette femme, dont il ignorait le nom, l'avait dĂ©fait aussi facilement qu'un loup dĂ©vore un nourisson. Elle avait dĂ©viĂ© et contrĂ© chacune de ses attaques avec une aisance incroyable, et elle avait rĂ©pliquĂ© en utilisant une force et une ingĂ©niositĂ© terrifiante. Depuis ce jour, Jaren avait reprit sa quĂȘte de la connaissance. Contrairement Ă  autrefois, il avait dĂ©cidĂ© de ne plus laisser aucune branche de la magie en marge de ses Ă©tudes, et il s'Ă©tait mĂȘme plongĂ© jusqu'au cou dans la comprĂ©hension de la magie noire. Cette Ă©tape avait faillit lui faire perdre son Ăąme, ses croyances et convictions, et en vĂ©ritĂ© il s'en Ă©tait fallut de peu pour qu'il devienne exactement ce qu'il avait jurĂ© de combattre un mage noir. Mais Jaren Ă©tait parvenu Ă  garder son intĂ©gritĂ© morale, et il Ă©tait revenu de ce pĂ©riple. Non plus comme le mage immaculĂ© qu'il avait Ă©tĂ© et qu'il ne redeviendrait jamais mais comme mage sombre, gardien des arcanes noires et des secrets oubliĂ©s, maitre enchanteur et archĂ©ologue. Il Ă©tait enfin devenu ce pour quoi il semblait ĂȘtre nĂ©, l'incarnation mĂȘme de la force de la volontĂ©, cette mĂȘme volontĂ© qui brille continuellement au fond de ses yeux bleus-acier et lui donne la force nĂ©cessaire pour avancer, toujours et encore, et vaincre les obstacles sur sa temps plus tard, il sortit de nouveau de sa chambre, l'air lugubre. EnvellopĂ© dans sa robe de sorcier noire, il sortit de la maison et sentit les rayons du Soleil effleurer arĂ©ablement sa peau. Il rejetta la tĂȘte en arriĂšre, ferma les yeux et se laissa bercer par cette douce chaleur et, l'espace d'un instant, il oublia ses tortures intĂ©rieures et s'autorisa Ă  apprĂ©cier l'instant prĂ©sent. Un sourire naquit mĂȘme sur ses lĂ©vres, sourire que les gens de l'Ordre n'avaient pas vu depuis longtemps, mais personne n'Ă©tait lĂ  pour le marcha un peu, puis rejoignit le terrain d'entrainement oĂč les deux nouvelles recrues devaient ĂȘtre formĂ©es. Il s'installa Ă  la lisiĂ©re de la zone de combat, croisa les bras et fixa les personnes regard glissa un instant sur la jeune Poussoufle qu'il avait apperçut la veille, et il s'interrogea sur ses capacitĂ©s ... elle lui avait parut si impressionnable, si dĂ©munie, qu'il avait des rĂ©serves sur ses forces mentales et sur sa capacitĂ© Ă  tenir le stress qu'engendrait la guerre contre les mangemorts. Mais aprĂšs tout, il avait Ă©tĂ© un peu comme elle par le passĂ©, alors il avait dĂ©cidĂ© de ne pas porter de jugement avant de l'avoir vu Ă  l' regarda ensuite la seconde recrue, venant elle de Serdaigle. Pour cette raison, il lui accorda une attention plus grande. En effet, il avait lui-mĂȘme Ă©tĂ© Ă  Serdaigle mais il en avait de plus Ă©tĂ© le directeur. Cependant, ce n'Ă©tait pas par sentimentalisme qu'il s'interessait Ă  elle, mais par simple intĂ©rĂȘt pratique Serdaigle Ă©tant la maison des Ă©lĂ©ves intelligents quoique, cela pourrait se discuter, il se demandait naturellement si elle Ă©tait "juste" intelligente ou "trĂšs" intelligente ou bien "surdouĂ©e".*On va voir ça tout de suite.*Pensa t'il alors que le combat commençait. Jaren effectua un petit mouvement de baguette pour s'entourer d'un puissant charme protecteur, afin d'Ă©viter de recevoir d'Ă©ventuels sortilĂšges perdus, puis il porta toute son attention sur le combat, afin de se forger une opinion sur les nouvelles.[Je ne posterais plus avant un moment, c'est juste pour faire agir mon personnage et dĂ©velloper encore deux-trois trucs sur sa personnalitĂ©, comme je l'avais dĂ©ja expliquĂ© Ă  certains sur msn. Vous pouvez, ou non, tenir compte de ma prĂ©sence, mais Jaren n'interviendra pas dans l' tout le monde, et bienvenus aux deux nouvelles ! N'oubliez pas de participer sur le forum SA, et n'ayez pas peur de poser des questions au plus vieux membre de l'Ordre avec Nathalie, la terrible chĂ©vre-serpent xD ... le Jaren actuel est peut-ĂȘtre sombre et peu sociale, mais moi je suis bien plus sympathique, enfin j'espĂšre ] InvitĂ© Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2InvitĂ©, le Ven 5 Juin - 1527 Shannon Ă©tait arrivĂ©e. Elle s'Ă©tait approchĂ©e de la Serdaigle, et lui avait fait une bise amicale, en lui demandant si elle se sentait prĂȘte pour leur entraĂźnement. Ce faible geste d'affection fit plaisir Ă  Eladora, qui se sentait anxieuse. Rien de tel qu'un peu de sympathie pour se calmer les nerfs. La jeune femme semblait avoir remarquĂ© les chutes incessantes de sa coĂ©quipiĂšre, car elle vint vers elle, ses lĂšvres Ă©taient Ă©tirĂ©es en un sourire. Eladora lui avait rendu sa bise et ses salutations, puis, lui avait tout simplement jetĂ© un regard pĂ©trifiĂ© accompagnĂ© un sourire gentil, mais faussĂ© par l' fois arrivĂ©e, en compagnie de Shannon, prĂšs de Peyton et Gyaltsen, la jeune femme regarda avec suspicion autour d'elle. Que leur prĂ©paraient donc leurs entraĂźneurs ? Elle se posait cette question avec aprĂ©hension, ne sachant Ă  quoi elle devait se prĂ©parer. Au bout de quelques instants de rĂ©flexion comateuse, Eladora crut entendre la voix de Gyaltsen leur dire de les suivre. PrĂšs de Shannon, elle avança parmi le maĂŻs en suivant des yeux ses entraĂźneurs. Au bout de quelques minutes de marche, ils dĂ©bouchĂšrent sur un lieu particulier, diffĂ©rent du paysage prĂ©sent jusqu'Ă  cet endroit, les Ă©pis Ă©taient couchĂ©s, applatis sur le sol. Gyaltsen continua son chemin, Eladora en dĂ©duisit donc qu'ils n'Ă©taient pas encore arrivĂ©s. Pourtant, il s'arrĂȘta, une fois au centre du champ applati, et se retourna vers les deux jeunes filles. Sa baguette tounait entre ses doigts avec une rapiditĂ© impressionnante. - Shannon, Eladora, bienvenue sur ce qui sera votre terrain d'entraĂźnement. Aujourd'hui, vous avez la chance de pouvoir vous entraĂźner en binĂŽme, sachez saisir cette chance, car en rejoignant la noble cause de l'Ordre du PhĂ©nix, vous vous exposerez Ă  de nombreux dangers. Durant un combat oĂč vous serez amenĂ©es Ă  affronter plusieurs adversaires, la rĂ©ussite et la victoire appartiennent Ă  tout le monde. Mais c'est au travail d'Ă©quipe qu'en revient le mĂ©rite. Lorsque vos propres capacitĂ©s ne suffisent plus, ayez toujours foi en vos coĂ©quipiers. Au combat, il vous faudra garder votre place, tenir ferme votre baguette magique devant vous, vos arriĂšres Ă©tant protĂ©gĂ©s par la baguette de votre voisin PhĂ©nix. Laissez tomber la vĂŽtre, fuyez le combat et c'est la vie de vos coĂ©quipiers que vous mettrez en pĂ©ril. Bien, la sĂ©ance d'aujourd'hui consistera, pour Peyton et moi-mĂȘme, Ă  vous mettre dans des situations dĂ©licates dont vous vous devrez de vous en extirper, car votre rĂŽle Ă  vous sera d'essayer de nous mettre hors d'Ă©tat de combattre. Donnez le meilleur de vous-mĂȘmes et souvenez-vous, vous n'ĂȘtes pas seules... Peyton, nous pouvons coeur de la jeune femme fit un bon nerveux dans sa poitrine. Elle jeta un coup d'oeil vers celle qui Ă©tait sa coĂ©quipiĂšre, d'autant plus durant cet entraĂźnement. Son esprit fut soudain alarmĂ© par un mouvement trop rapide, non loin d'elle. Gyaltsen venait de transplaner, pour rĂ©apparaĂźtre Ă  quelques dizaines de pas de sa place initiale. Sans mĂȘme qu'Eladora ait eĂ»t le temps de rĂ©agir, plusieurs changements opĂ©rĂšrent, et les sortilĂšges fusĂšrent Ă  une vitesse vertigineuse. Gyaltsen fit apparaĂźtre un jet d'eau au-dessus des deux jeunes filles. Peyton, elle, le fit se transformer en glace avant mĂȘme qu'elles n'aient pĂ»t rĂ©agir. Une courte pause, de moins de trois secondes, permit Ă  Eladora de se faire un pas sur le cĂŽtĂ©, puis de se mettre Ă  courir. Durant sa course effrayĂ©e, elle ne remarqua pas que le bloc de glace avait changĂ© de forme, ni qu'il se dirigeait droit sur elle et sa coĂ©quipiĂšre. Toute son attention retenue par le tas de glace, elle manqua de s'Ă©crouler de tout son long parmi les Ă©pis. Le sol Ă©tait soudain parsemĂ© de trous et de crevasses, qui le rendaient presque impraticable. Evitant les creux avec une adresse nouvelle, Eladora courut jusqu'Ă  l'endroit oĂč les crevasses Ă©taient moins profondes, en priant pour que Shannon ait eĂ»t le mĂȘme rĂ©flexe qu'elle. Les paroles de Gyaltsen lui revinrent soudain Ă  l'esprit... *...la rĂ©ussite et la victoire appartiennent Ă  tout le monde... c'est au travail d'Ă©quipe qu'en revient le mĂ©rite.* La jeune femme comprit immĂ©diatemment que son geste n'Ă©tait pas le bienvenu dans cette situation. MalgrĂ© que son action Ă©tait guidĂ©e par son seul instinct de survie, elle aurait dĂ»t penser d'abord Ă  Shannon. Elles ne se connaissaient que depuis peu, mais aujourd'hui, elles dĂ©pendaient chacune l'une de l'autre... comme Gyaltsen l'avait dit plus tĂŽt. Eladora releva la tĂȘte et chercha des yeux sa coĂ©quipiĂšre. Elle leva ses pupilles vers le bloc de glaces, qui n'Ă©tait toujours pas arrivĂ© au sol. Elle leva sa baguette, la main tremblante malgrĂ© elle. Elle repassa dans sa tĂȘte la liste de tous les sortilĂšges qu'elle connaissait... et ils Ă©taient trĂšs peu. Soudain, une idĂ©e lui traversa l'esprit. La glace. La glace qui fond quand il fait chaud. Le feu. Le feu qui est chaud. Levant sa baguette vers le bloc de glace, elle cria de toute ses forces, comme si cela pouvait rendre son sortilĂšge plus efficace - Flambios !Une ligne de flammes apparut dans les airs. Eladora se concentra de toutes ses forces pour faire tenir le sortilĂšge, aussi longtemps que possible. Elle se rendit soudain compte que ce ne serait pas comme elle rĂ©ussirait Ă  le faire, elle Ă©tait obligĂ©e de faire tenir ce sort, tant que toute la glace n'aurait pas fondu. Elle rouvrit les yeux et aperçut Shannon Ă  des dizaines de mĂštres d'elle. Dirigeant ses flammes vers le bloc de glace Ă  un vitesse vraiment lente, comparĂ©e Ă  celle que prenait le bloc, elle les fit faire un cercle tout autour de la masse glacĂ©e. Elle ressera aussi Ă©troitement que possible l'Ă©treinte des flammes, pour qu'elles touchent presque le rocher de glace. Celui-ci semblait soudain rapetisser. Eladora pria pour que ce ne soit pas juste son imagination...[A vous deux ou Ă  Shannon de dĂ©cider si mon pitoyable sortilĂšge fera son effet...] InvitĂ© Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2InvitĂ©, le Lun 8 Juin - 1758 AprĂšs avoir saluĂ© Eladora, Shannon tourna la tĂȘte en direction de Peyton et de Gyaltsen. Les deux PhĂ©nix semblaient patiemment attendre que l’entraĂźnement dĂ©bute. La Poufsouffle observa discrĂštement Eladora, celle-ci paraissait lĂ©gĂšrement anxieuse et lorsqu’elle perçut son regard sur elle, Eladora lui adressa un regard paniquĂ©e. Surprise, Shannon lui adressa un sourire, espĂ©rant y faire passer toute son aide et lorsque Gyaltsen leur ordonna de le suivre, elle serra furtivement l’épaule d’Eladora dans un geste encourageant. Marchant sur les pas du seul homme prĂ©sent, ils se frayĂšrent un passage Ă  travers les immenses brins de maĂŻs et lorsqu’ils s’arrĂȘtĂšrent tous sur une surface plane, Shannon fut soulagĂ©e de ne plus sentir les Ă©pis de blĂ©s lui griffer le visage et les jambes. Elle jeta un regard peu rassurĂ© sur les alentours, examinant chaque endroit susceptible de lui causer des tords. Un cercle les entourait, oĂč les pieds de maĂŻs avaient Ă©tĂ© aplatis sur le sol terreux. Elle se doutait que l’entraĂźnement aurait lieu ici mĂȘme et anxieuse, Shannon dĂ©tourna les yeux et dĂ©visagea silencieusement leurs entraĂźneurs. Peyton ne disait rien, leur adressant parfois un bref sourire. Quand Ă  Gyaltsen, il tournait lentement sa baguette magique entre ses longs doigts fins. Shannon avait Ă  prĂ©sent remarquĂ© que ce geste Ă©tait assez rĂ©pĂ©titif chez lui et elle s’en amusa, un sourire sur les lĂšvres. Soudain, il prit la parole. Son ton Ă©tait d’un calme surprenant et de sa baguette, il indiquait le terrain qui se dĂ©ployait autour d’eux. - Shannon, Eladora, bienvenue sur ce qui sera votre terrain d'entraĂźnement. Aujourd'hui, vous avez la chance de pouvoir vous entraĂźner en binĂŽme, sachez saisir cette chance, car en rejoignant la noble cause de l'Ordre du PhĂ©nix, vous vous exposerez Ă  de nombreux dangers. Durant un combat oĂč vous serez amenĂ©es Ă  affronter plusieurs adversaires, la rĂ©ussite et la victoire appartiennent Ă  tout le monde. Mais c'est au travail d'Ă©quipe qu'en revient le mĂ©rite. Lorsque vos propres capacitĂ©s ne suffisent plus, ayez toujours foi en vos coĂ©quipiers. Au combat, il vous faudra garder votre place, tenir ferme votre baguette magique devant vous, vos arriĂšres Ă©tant protĂ©gĂ©s par la baguette de votre voisin PhĂ©nix. Laissez tomber la vĂŽtre, fuyez le combat et c'est la vie de vos coĂ©quipiers que vous mettrez en pĂ©ril. Bien, la sĂ©ance d'aujourd'hui consistera, pour Peyton et moi-mĂȘme, Ă  vous mettre dans des situations dĂ©licates dont vous vous devrez de vous en extirper, car votre rĂŽle Ă  vous sera d'essayer de nous mettre hors d'Ă©tat de combattre. Donnez le meilleur de vous-mĂȘmes et souvenez-vous, vous n'ĂȘtes pas seules... Peyton, nous pouvons leurs laisser la moindre chance d’ajouter quelque chose, les anciens reculĂšrent de quelques pas et s’inclinĂšrent un court instant pour les saluer. ImmĂ©diatement, Gyaltsen transplana et rĂ©apparut quelques mĂštres plus loin. Shannon eut tout juste le temps d’apercevoir Jaren qui venait d’arriver prĂšs de la zone d’entraĂźnement que sous leurs yeux admiratifs, un long et puissant jet d’eau sortit de la baguette de Gyaltsen et survola les airs. Sans attendre, Peyton s’écria - Glacio ! A l’instant mĂȘme oĂč Shannon entendit ses mots, la Poufsouffle comprit et une alarme se dĂ©clencha en elle. Le sortilĂšge atteignit l’eau et se transforma instantanĂ©ment en immense bloc de glace. Ce dernier se dirigeait notamment dans leurs directions et Shannon en eut le souffle coupĂ©. Ils voulaient les brusquer mais elle n’allait pas se laisser faire. Elle s’apprĂȘta Ă  courir dans une autre direction quand des crevasses se formĂšrent sous ses pieds. Shannon ouvrit de grands yeux Ă©bahis et jura silencieusement. Reprenant ses esprits, la jeune fille recula brusquement mais elle buta contre une craquelure sur le sol et bascula lamentablement vers le sol, sa baguette lui Ă©chappant des mains. La Poufsouffle ferma vivement les yeux, attendant l’écroulement de son corps sur le sol dur et froid de lĂ©tendue dherbes. Lorsque Shannon rouvrit les yeux, une douleur s’infiltra dans son corps avec de plus en plus d’intensitĂ© mais elle essaya malgrĂ© tout de se contrĂŽler et de ne pas perdre courage. Elle releva les yeux vers le ciel et aperçut le bloc de glace qui ne tarderait pas Ă  tomber. Il fallait absolument qu’elle agisse. C’est alors qu’elle vit des gerbes de flammes s’élever dans les airs et qu’une image s’illumina dans son esprit. Avec la prĂ©cipitation, elle avait complĂštement oubliĂ© Eladora et Shannon se gifla mentalement pour cette inattention. La jeune fille rampa de quelques mĂštres pour ramasser sa baguette magique et sans mĂȘme prendre le temps de se redresser, Shannon inclina celle-ci en direction du sol en criant Finite Incantatem. »Les crevasses se refermĂšrent petits Ă  petits, redevant telle qu’elles l’étaient auparavant, bien avant que le sortilĂšge de Peyton ne les atteigne. RĂ©flĂ©chissant Ă  toute vitesse, Shannon se releva. Elle ne pouvait pas aider Eladora Ă  dĂ©truire le bloc glacial, Gyaltsen et Peyton pourraient en profiter pour les attaquer et ce n’était pas trĂšs prudent. Elle devait surveiller leurs arriĂšres, Ă  toutes les deux. Un sourire sur les lĂšvres, elle dirigeait sa baguette vers le ciel oĂč le bloc blanc survolait l’air et alors qu’elle s’apprĂȘtait Ă  lancer un sortilĂšge pour le dĂ©truire, Shannon dĂ©via la trajectoire de son malĂ©fice. Elle pointa brutalement sa baguette sur Peyton et s’écria StupĂ©fix ! »Une boule de lumiĂšre rouge jaillit de sa baguette et se dirigea Ă  toute allure vers la jeune femme. Shannon courut alors en direction d’Eladora, souhaitant Ă  prĂ©sent lui apporter son aide. [A vous de jouer et libre Ă  vous de dĂ©cider si mon sortilĂšge fonctionne ou pas. Eladora, je n’ai pas fait marcher ton enchantement comme tu as pu le voir dans mon Rp. DĂ©solĂ©e, mais vu l’ampleur du bloc de glace et ton charme Ă©tant des plus minimes, il n’aurait pas pu faire beaucoup d’effets. Je ne t’ai pas non plus aidĂ© et si tu te demandes pourquoi, ma boĂźte de Mp t’est ouverte. ] PeytonSerdaigle Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2Peyton, le Lun 8 Juin - 1936 [RP combinĂ© - RP court, j'ai pas bien le temps, j'Ă©diterai surement]L'entraĂźnement avait commencĂ©. Un entraĂźnement pour Shannon, Eladora, mais aussi pour Gyaltsen et Peyton. Gyal avait lancĂ© en premier les hostilitĂ©s contre les deux nouvelles recrues. Appliquant leur plan Ă  la lettre, Peyton avait enchaĂźner les sorts sur ceux de Gyal, crĂ©ant ainsi un combo. Les deux phĂ©nix se dĂ©fendirent comme elles purent et dĂ©jĂ  Peyton pouvait porter un jugement... et elle savait que son ami aussi. Shannon s'Ă©tait dĂ©jĂ  occupĂ©e du sol, grĂące au sortilĂšge le plus appropriĂ© Ă  la situation, mais Eladora avait un peu plus de mal avec le bloc de glace... La phĂ©nix espĂ©rait qu'elles allaient s'entre aider un peu plus, mĂȘme si le fait de se dĂ©fendre chacune contre une attaque n'Ă©tait pas une mauvaise technique. Shannon la visa de sa baguette et prononça un StupĂ©fix qui fila droit vers elle. A l'aide d'un simple Protego, elle rĂ©ussi Ă  le contrer puis se concentra sur Eladora... celle-ci avait Ă©vitĂ© de justesse le bloc de glace et Shannon venait de la rejoindre. Pointant sa baguette sur la jeune serdaigle, aprĂšs avoir jetĂ© un coup d'Ɠil Ă  Gyal, elle prononça - Super Tum Culum!Un sortilĂšge totalement ridicule mais qui lui permettait d'effectuer une diversion, alors que Gyal lançait un StupĂ©fix, informulĂ©, en direction de Shannon. Se concentrant sur ses propres sorts, Peyton choisit un sortilĂšge informulĂ© pour enchaĂźner sur son sort du balai dans les fesses. Les sortilĂšges informulĂ©s Ă©taient souvent avantageux, entrainant la surprise et parfois, si le sorcier avait de l'expĂ©rience, plus de puissance. *Electrocorpus* pensa-t-elle, sa baguette pointĂ©e vers Eladora. Un "Krac" sonore se fit entendre du cĂŽtĂ© de Gyal. Le phĂ©nix venait de transplaner derriĂšre la poufsouffle et Ă©tait en train de pointer sa baguette sur elle, visant son dos.*Une fois Ă  l'arriĂšre, une fois Ă  l'avant... la pauvre... je crois que je prĂ©fĂšrerai les balais dans le c*l*Gyaltsen envoya Ă  nouveau un sortilĂšge informulĂ©, "Incarcerem"... Des cordes, de couleur amĂ©thyste, celle du sagittaire, sortirent de sa baguette et filĂšrent en direction de la poufsouffle. Peyton profita du moment oĂč Eladora allait se dĂ©fendre pour juger de la situation. Gyal et elle allait avoir beaucoup de travail durant cet entraĂźnement, qui ne faisait que commencer. Les deux phĂ©nix n'allaient lancer plus que trois sorts chacun avant de laisser les deux recrues montrer de quoi elles Ă©taient capable lorsqu'elles s'affronteraient l'une contre l'autre. Son regard s'arrĂȘta un instant sur Gyaltsen qui venait de lancer ses deux sorts... elle se demandait comment il faisait pour combattre Ă  ce niveau et elle se dit qu'elle aussi avait encore beaucoup Ă  apprendre... Souriant Ă  elle mĂȘme, Peyton regarda comment allait s'en sortir Eladora. InvitĂ© Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2InvitĂ©, le Jeu 11 Juin - 1821 Ce qui Ă©tait censĂ© ĂȘtre un entraĂźnement tournait au combat. MalgrĂ© le fait qu'elle sache que cela Ă©tait tout Ă  fait normal, Eladora Ă©tait perplexe. Le niveau de Peyton et Gyaltsen Ă©tait Ă©levĂ©, ce qui Ă©tait logique, mais Shannon et elle allaient devoir se donner Ă  fond. Des perles de sueur ruisselaient dĂ©jĂ  sur les cĂŽtĂ©s de son visage. Sa coĂ©quipiĂšre Poufsouffle se dĂ©battait avec les crevasses, un peu plus loin d'elle. Elle tomba, et lĂącha sa baguette, qui roula parmi les crevasses. Eladora s'apprĂȘtait Ă  courir vers elle pour la protĂ©ger des Ă©ventuels sortilĂšges lançés par leurs entraĂźneurs en remarquant qu'elle s'Ă©tait laissĂ©e tomber, les yeux fermĂ©s. Elle crut d'abord qu'elle s'Ă©tait cognĂ© la tĂȘte et que Shannon s'Ă©tait Ă©vanouie, mais la Poufsouffle se releva trĂšs vite et la ramassa. Une fois sa baguette retrouvĂ©e, elle la pointa vers le sol, et lui fit reprendre sa forme initiale. La Serdaigle la vit pointer sa baguette vers le bloc de glace, mais au dernier moment, elle dĂ©via sa trajectoire et envoya un StupĂ©fix vers Peyton, qui l'Ă©vita facilement. A peine avait-elle dĂ©viĂ© ce sortilĂšge, que Peyton lança un sort dans sa direction. Eladora virevolta vers elle et vit ses lĂšvres bouger sur la prononciation de son sortilĂšge. Elle ne parvint pas Ă  le saisir, mais en comprit bien vite l'utilitĂ© et l' balai vint soudain se planter dans son arriĂšre-train, sortant de nul part. Elle pensa d'abord Ă  l'attraper et Ă  le "retirer" de son "emplacement", mais elle remarqua que Peyton la fixait toujours de sa baguette. Plissant les yeux, elle trouva cette pratique plutĂŽt anormale, et prĂ©fĂ©ra Ă©viter un autre sortilĂšge. - Protego !Elle maintint son sortilĂšge en action et se fĂ©licita intĂ©rieurement d'y avoir pensĂ©, quand une dĂ©charge s'abbatit avec un fracas sur son bouclier. Ainsi, elle comprit que Peyton avait tentĂ© un Electrocorpus. Une fois protĂ©gĂ©e correctement, elle passa une main derriĂšre son dos et retira le balai quelque peu dĂ©rangeant de son arriĂšre-train. Elle le jeta nĂ©gligement par-terre et regarda en direction de Shannon, en espĂ©rant qu'elle allait bien. De son cĂŽtĂ©, elle Ă©tait assaillie par Gyaltsen, qui Ă©tait entrain de la malmener. Il commença par la stupĂ©fixier, puis, aprĂšs avoir transplanĂ© derriĂšre elle, l'immobilisa Ă  l'aide du sortilĂšge de cordes enchantĂ©es. Eladora jeta un coup d'oeil Ă  Peyton, qui semblait s'ĂȘtre calmĂ©e, mĂȘme si son avalanche de sort ne tarderait pas Ă  recommencer. S'Ă©tant assurĂ©e qu'elle ne subirait pas d'autre sorts durant un moment, Eladora pointa sa baguette sur Gyaltsen et tenta de l'empĂȘcher de s'en prendre encore plus Ă  Shannon, d'un Petrificus Totalus formulĂ© Ă  voix aussi basse que possible, histoire qu'il ne l'entende pas et que son sortilĂšge le prenne par surprise. Eladora regarda ensuite Shannon, immobilisĂ©e par des cordes qui l'empĂȘchait de se dĂ©placer. Lui venant en aide, elle brandit sa baguette et la libĂ©ra d'un simple Diffindo. Elle se concentra pour ne pas entailler sa peau, ou ses vĂȘtements et les cordes finirent par se couper en deux. Shannon put s'en dĂ©barrasser. AprĂšs lui avoir vaguement sourit, Eladora se retourna vers Peyton, prĂȘte Ă  subir une autre attaque. En position de dĂ©fense, sa baguette dans la main, les jambes lĂ©gĂšrement Ă©cartĂ©es, prĂȘte Ă  courir ou Ă  se protĂ©ger dĂšs le moindre mouvement suspect.[TrĂšs court, moi aussi, dĂ©solĂ©e.] Re {SS} Salle d'EntraĂźnement n°2Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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Dansun grand entretien, et au nom du Parlement de Loire, Camille de Toledo a acceptĂ© de rĂ©pondre aux questions de Diacritik pour nous prĂ©senter cette autre Vie nouvelle, Ă  l'Ă©chelle des Ă©cosystĂšmes, qu'est Le Fleuve qui voulait Ă©crire. À l'origine du collectif, il a animĂ© les auditions du parlement avant de mettre en rĂ©cit

DerniĂšre mise Ă  jour le 31 Dec 2020 Cette page du guide pour CodyCross vous donne la solution du 24e groupe dans l'univers Sous l'ocĂ©an. RĂ©ponses Grille 1 Esquisse premier jet du dessinateur EBAUCHE Coiffeur pour hommes BARBIER Inconnu ANONYME Bloc de glace qui flotte a fait couler le Titanic ICEBERG ProvoquĂ© par un sĂ©isme sous-marin TSUNAMI Le cycliste a les pieds dessus PEDALES Puissance nĂ©cessaire pour effectuer une tĂąche ENERGIE Bart et Marge font partie de la famille __ SIMPSON Cheval lĂ©gendaire Ă  une corne LICORNE Amande coupĂ©e en fines lamelles EFFILEE Jeu dans lequel nos mains et pieds s'entrelacent TWISTER Objet vidĂ©oludique de salon ou portable CONSOLE Support vertical pilier dĂ©coratif COLONNE ActivitĂ© sous-marine avec des bouteilles PLONGEE Être avare c'est en avoir dans sa poche OURSINS Mot mystĂšre BANCS DE POISSONS. RĂ©ponses Grille 2 Boisson Ă  base d'eau et de jus de citron LIMONADE AprĂšs la montĂ©e DESCENTE EmpĂȘcher d'ĂȘtre Ă  l'heure RETARDER Oiseau de mer Ă  l'envergure la plus large ALBATROS VĂ©hicule agricole Ă  moteur TRACTEUR Vote oĂč on exprime son opinion SUFFRAGE Extermination d'un peuple GENOCIDE Entre le rez-de-chaussĂ©e et le 1er Ă©tage ENTRESOL CompĂ©tition entre plusieurs personnes pour un prix CONCOURS Agatha __ maĂźtresse du polar anglais CHRISTIE Ville espagnole accueillant le musĂ©e de Dali FIGUERAS Mot mystĂšre ANDREA DORIA. RĂ©ponses Grille 3 UnitĂ©s de mesure de la tempĂ©rature DEGRES L'un des 5 sens avec le nez ODORAT Terrain gagnĂ© sur la mer protĂ©gĂ© par des digues POLDER Caramel anglais fait avec du sucre et du beurre TOFFEE Oiseau capable de renaĂźtre de ses cendres PHENIX Sert Ă  couper les poils trĂšs court RASOIR Serpent venimeux ; langue de __ VIPERE L'une de deux parts Ă©gales MOITIE Petite piĂšce sans fenĂȘtre servant au rangement CAGIBI Chanteuse prĂ©nommĂ©e Lara qui a chantĂ© Je t'aime FABIAN L'acolyte de Clyde BONNIE Moines bouddhistes BONZES Ensemble des journaux publications etc. PRESSE Mot mystĂšre GOLFES ET BAIES. RĂ©ponses Grille 4 Petite chanson pour les enfants COMPTINE Jeune qui se bat lors des matchs de foot HOOLIGAN PropriĂ©taire de bateaux de commerce ARMATEUR SĂ©paration l'inverse de la multiplication DIVISION Religion indienne moins connue que l'hindouisme JAINISME Fromage Ă  trous EMMENTAL Toutes les lettres ALPHABET Petite Ă©chelle marchepied ESCABEAU Peinture faite de deux tableaux qui se rabattent DIPTYQUE Toucher terre pour un bateau ACCOSTER VĂȘtement que l'on met pour empĂȘcher de bouger CAMISOLE Qui trop __ mal Ă©treint EMBRASSE Sylvester __ a jouĂ© Rocky Balboa STALLONE RĂ©gion du sud-est de la France PROVENCE Mot mystĂšre PLAINE ABYSSALE. RĂ©ponses Grille 5 Famille d'animaux de la grenouille BATRACIEN Amateur de cinĂ©ma CINEPHILE Bateau Ă  deux coques CATAMARAN Objet qui protĂšge de la pluie PARAPLUIE Oeufs remuĂ©s souvent mangĂ©s au petit-dĂ©jeuner BROUILLES Ils ont chantĂ© MĂ©lissa non ne pleure pas MINIKEUMS Profession du coq sur un navire CUISINIER PrĂ©cĂšde le Mercredi des Cendres MARDIGRAS Retenue dans l'expression RETICENCE Surnom de Jack le tueur en sĂ©rie de Londres EVENTREUR Donner c'est donner __ c'est voler REPRENDRE Appareil pour faire du cafĂ© CAFETIERE Pulsation cardiaque BATTEMENT Plus grand youtuber du monde en nombre d'abonnĂ©s PEWDIEPIE Mot mystĂšre CHALLENGER DEEP.
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