pourles PS : remettre les lettres de son prĂ©nom dans l’ordre. pour les MS : lire les lettres de l’alphabet en MAJUSCULE. MS : En lien avec l’album « les 3 petits cochons » (vu en classe) possibilitĂ© de faire ces activitĂ©s : activites-MS-3-4 Etiquette-titre-livre ms-ecrire-cochon ms-ecrire-loup ms-ecrire-maison.

Le canard est un OISEAU AQUATIQUE Ă  pattes courtes, Ă  pieds palmĂ©s et aux ailes Ă©troites et pointues. Quelques espĂšces insulaires sont incapables de voler, mais la plupart sont de bons voiliers et sont migratrices voirMIGRATION. Le canard est un OISEAU AQUATIQUE Ă  pattes courtes, Ă  pieds palmĂ©s et aux ailes Ă©troites et pointues. Quelques espĂšces insulaires sont incapables de voler, mais la plupart sont de bons voiliers et sont migratrices voirMIGRATION. Le Canard pilet frĂ©quente les Ă©tendues d'eau peu profondes et les marais Corel Professional Photos.Le Canard branchu niche dans les troncs creux, souvent au bord de l'eau Corel Professional Photos.Le Canard malard est l'un des canards qui s'adaptent le mieux Corel Professional Photos. Pour entendre le cri du Malard, cliquez sur le bouton \u00ab Son \u00bb avec la permission de Monty Brigham, Bird Sounds of Canada.Le Harle couronnĂ© Lophodytes cucullatus nichent dans des cavitĂ©s dans les arbres photo by Brian M. Wolitski. Canard Le canard est un OISEAU AQUATIQUE Ă  pattes courtes, Ă  pieds palmĂ©s et aux ailes Ă©troites et pointues. Quelques espĂšces insulaires sont incapables de voler, mais la plupart sont de bons voiliers et sont migratrices voirMIGRATION. Une sous-espĂšce de l'Eider Ă  duvet Somateria mollissima, qui niche dans la baie d'Hudson et la baie James, est presque sĂ©dentaire puisqu'elle hiverne dans la baie d'Hudson. Le canard, tout comme l'oie et le cygne, appartient Ă  la famille des AnatidĂ©s, qui compte 158 espĂšces vivantes et quelques-unes Ă©teintes rĂ©cemment. On rencontre des canards partout dans le monde. Les 29 espĂšces qui nichent au Canada appartiennent Ă  4 tribus regroupĂ©es au sein de la sous-famille des AnatinĂ©s. Huit autres espĂšces appartenant Ă  cette sous-famille ont aussi Ă©tĂ© observĂ©es au Canada ainsi que deux espĂšces de dendrocygnes considĂ©rĂ©s parfois comme appartenant Ă  une autre famille. L'Eider du Labrador Camptorhynchus labradorius, est disparu. Il a Ă©tĂ© observĂ© pour la derniĂšre fois en 1878. Le Canard mandarin Aix galericulata, issu de souches domestiques, nicherait maintenant Ă  l'Ă©tat sauvage sur les cĂŽtes de la Colombie-Britannique, mais aucune couvĂ©e n'a encore Ă©tĂ© observĂ©e. Description À l'exception des harles dont le bec long et tubulaire a un rebord fortement dentelĂ©, toutes les espĂšces ont un bec large et plat, garni de lamelles. Le Canard souchet Anas clypeata possĂšde un bec spatulĂ©. Chez les mĂąles, le plumage nuptial est diffĂ©rent de celui des femelles et, aprĂšs la nidification, chez plusieurs espĂšces, le mĂąle revĂȘt un plumage Ă©clipse » au moment de la mue. Le plumage des mĂąles est souvent trĂšs colorĂ©, notamment chez le Canard branchu Aix sponsa. Chez les canards, les rĂ©miges primaires, aussi appelĂ©es plumes de vol, muent simultanĂ©ment, ce qui empĂȘche donc l'oiseau de voler durant cette pĂ©riode. Chez les canards barboteurs, les pattes sont situĂ©es au centre du corps, ce qui facilite l'envol et la marche. Chez les canards plongeurs, les pattes sont situĂ©es loin Ă  l'arriĂšre, ce qui est propice Ă  la plongĂ©e, mais rend la marche difficile et oblige l'oiseau Ă  courir sur l'eau au moment de l'envol, qui est pratiquement vertical chez les canards barboteurs. Nidification La plupart des canards sont grĂ©gaires. Ils s'alimentent en bandes et ils se regroupent aussi au moment de la mue ainsi que dans les aires d'hivernage. Chez plusieurs espĂšces, les mĂąles sont territoriaux au dĂ©but de la pĂ©riode de nidification mais la formation des couples est temporaire, puisque ce sont les femelles qui assument entiĂšrement l'incubation et qui s'occupent des canetons aprĂšs l'Ă©closion. Chez le Garrot d'Islande Bucephala islandica et parfois chez le Garrot Ă  oeil d'or B. clangula, la femelle est aussi territoriale. Chez la plupart des espĂšces, le nid est construit au sol avec des herbes. Souvent cachĂ© sous des buissons, il est habituellement situĂ© Ă  proximitĂ© de l'eau. Le Canard branchu, le Garrot Ă  oeil d'or, le Petit Garrot B. albeola et le Harle couronnĂ© Lophodytes cucullatus nichent dans des cavitĂ©s dans les arbres. Le Grand Harle et le Harle huppĂ© nichent parfois dans des amoncellements de roches ou d'autres cavitĂ©s semblables au sol. Le Canard colvert Anas platyrhynchos niche quelquefois dans les arbres ou dans certains bĂątiments. Plusieurs espĂšces qui nichent dans les marais construisent des nids au-dessus de l'eau, bien amarrĂ©s Ă  la vĂ©gĂ©tation environnante. L'HĂ©tĂ©ronette Ă  tĂȘte noireHeteronetta atricapilla, qui niche en AmĂ©rique du Sud, pond ses oeufs dans les nids d'autres espĂšces. Ce parasitisme est frĂ©quent, quoique moins rĂ©pandu chez le Fuligule Ă  tĂȘte rouge Aythya americana. On l'observe aussi parfois chez l'Érismature rousse Oxyura jamaicensis. Chez les espĂšces qui nichent au Canada, on compte habituellement de 4 Ă  16 oeufs par couvĂ©e. Les canetons quittent le nid Ă  peine quelques heures aprĂšs l'Ă©closion et ils sont alors capables de nager. Ils s'alimentent eux-mĂȘmes, en compagnie de la femelle, qui les couve et les protĂšge. RĂ©partition et habitat Au Canada, les canards nichent dans divers types de milieux aquatiques, que ce soit des marais, des Ă©tangs dissĂ©minĂ©s dans la toundra, des cours d'eau en montagnes ou de grands lacs. Les canards barboteurs abondent dans les Prairies; les canards marins s'aventurent trĂšs loin dans l'Arctique. Le Canard noir Anas rubripes, qui nichait autrefois dans l'Est de l'Ontario, est maintenant surtout concentrĂ© dans les Maritimes et au QuĂ©bec. La majoritĂ© des autres espĂšces se rencontrent partout au Canada, ou sont concentrĂ©es dans l'Ouest pour certaines. Chez le Garrot d'Islande et l'Arlequin plongeur Histrionicus histrionicus, on trouve des populations distinctes aux deux extrĂ©mitĂ©s du Canada. La population d'Arlequins plongeurs de l'Est du Canada a Ă©tĂ© dĂ©cimĂ©e par la chasse, et le ComitĂ© sur le statut des espĂšces menacĂ©es de disparition au Canada estime que l'espĂšce est en danger de disparition. La Sarcelle cannelle Anas cyanoptera, qui niche principalement dans le Sud-Est de la Colombie-Britannique et le Sud-Ouest de l'Alberta, est l'espĂšce canadienne qui a la rĂ©partition la plus restreinte. Le Canard chipeau Anas strepera, qu'on trouvait autrefois surtout dans l'Ouest, a Ă©tendu son aire vers l'est. En hiver, la plupart des espĂšces se rassemblent le long des cĂŽtes et dans la rĂ©gion des Grands Lacs, ou migrent vers le Sud. Les RÉSERVOIRS Ă  tempĂ©rature contrĂŽlĂ©e permettent Ă  un nombre croissant de canards d'hiverner au Canada, mĂȘme dans les Prairies. Deux espĂšces eurasiennes, le Canard siffleur Anas penelope et le Fuligule morillon Aythya fuligula, hivernent de plus en plus frĂ©quemment sur les cĂŽtes de la Colombie-Britannique et sont aussi plus souvent observĂ©es dans les rĂ©gions intĂ©rieures et dans l'Est. RĂ©gime alimentaire La majoritĂ© des canards se nourrissent de vĂ©gĂ©taux et d'invertĂ©brĂ©s. Plusieurs espĂšces de barboteurs s'alimentent parfois de cĂ©rĂ©ales dans les champs. Les harles s'alimentent essentiellement de poissons. Relations avec les humains L'Ă©levage, pour leur chair, du Canard colvert et du Canard musquĂ© Cairina moschata est fort rĂ©pandu. En Islande, l'Eider Ă  duvet est semi-domestiquĂ© afin de rĂ©colter son duvet. Les canards sont des oiseaux convoitĂ©s pour la CHASSE. Voir aussiGIBIER À PLUMES; ANIMAUX EN VOIE DE DISPARITION.

Ilsont une excellente vision, et comme leurs yeux sont sur les cĂŽtĂ©s de leur tĂȘte, ils ont un champ de vision de prĂšs de 340 degrĂ©s. En raison de la forme de leurs yeux, ils peuvent voir des objets de prĂšs et de loin, simultanĂ©ment. Enfin, les canards peuvent voir en couleur ! VIII. Ils ne peuvent pas avoir froid aux pieds. Si vous avez dĂ©jĂ  vu un canard se dandiner dans la
Canard carolin Aix sponsa Ordre des AnsĂ©riformes – Famille des AnatidĂ©s QUELQUES MESURES L 43-51 cm Env 70-76 cm Poids M 680gr – F 540 gr DESCRIPTION DE L’OISEAU Le Canard carolin est un canard de taille moyenne. MĂąle et femelle ont une crĂȘte sur la tĂȘte et une longue queue rectangulaire, l’abdomen blanc, et des rayures blanches sur l’arriĂšre des ailes. Le mĂąle est un peu plus gros que la femelle. Sa tĂȘte ornĂ©e d’une longue crĂȘte a des reflets verts, bleus et violets, et porte deux lignes blanches parallĂšles, qui vont, l’une de la base du bec Ă  l’arriĂšre des yeux, et l’autre jusqu’à l’arriĂšre de la tĂȘte. Il a les yeux rouges, avec un cercle orbital orange. Son bec est colorĂ© on distingue une fine ligne jaune Ă  l’extrĂȘme base, puis la base rouge, des traces de blanc sur les cĂŽtĂ©s, et une bande noire centrale qui va jusqu’à l’extrĂ©mitĂ©. La base du bec se projette vers les sourcils. Il a la poitrine roussĂątre finement tachetĂ©e de points blancs. Elle est sĂ©parĂ©e des flancs par une double barre blanche et noire. Les flancs sont jaunĂątre chamoisĂ©, sĂ©parĂ©s du dos par une ligne blanche. Le dos et la queue sont noirs avec des reflets bleus et verts. Le dessous des ailes est sombre, avec les couvertures tachetĂ©es de noir et blanc. Les pattes sont jaunes. En plumage d’éclipse, le mĂąle adulte ressemble Ă  la femelle mais son bec est de couleur diffĂ©rente. La femelle est plus terne. Son plumage est brunĂątre gris. Elle a une tache blanche autour de l’Ɠil et la base du bec gris est soulignĂ©e de blanc. La gorge et le menton sont blancs, la poitrine et les flancs sont gris-brun tachetĂ©s de blanchĂątre. Les parties supĂ©rieures sont brun grisĂątre avec des reflets bleus et pourpres. Les pattes sont gris jaune terne. Le juvĂ©nile ressemble Ă  la femelle en plus terne. Le bec est gris, les yeux sont bruns avec un cercle orbital indistinct jaune. Les nouveau-nĂ©s sont brun foncĂ© sur le dessus, avec de petites taches blanches sur les ailes et le dos. Le dessous est jaune pĂąle, et une bande noire va de l’Ɠil Ă  la nuque. Le bec est bleu gris, les doigts sont noirs. CRIS ET CHANTS SONS PAR XENO-CANTO Le Canard carolin femelle Ă©met un perçant oo-eek, oo-eek » quand elle est dĂ©rangĂ©e ou qu’elle s’envole. Le mĂąle a un sifflement tĂ©nu et ondulant jwiiip » ou swiiiooo, kip, kip, kip ». Le Canard carolin adulte possĂšde une douzaine de cris diffĂ©rents, les nouveau-nĂ©s en ont dĂ©jĂ  cinq. Les cris des adultes sont surtout utilisĂ©s en cas d’alerte ou pendant la parade. La femelle a des cris diffĂ©rents, pour appeler son partenaire, et pour appeler ses poussins. Les nouveau-nĂ©s Ă©mettent quelques cris 2 ou 3 jours aprĂšs l’éclosion, cri d’alarme, de contact et s’ils se sentent menacĂ©s. A trois mois, ils possĂšdent le mĂȘme rĂ©pertoire que les adultes. HABITAT Le Canard carolin est une espĂšce Nord AmĂ©ricaine. Il occupe une grande variĂ©tĂ© d’habitats, incluant les zones boisĂ©es le long des lacs. Il vit aussi sur les Ă©tangs d’eau douce, les riviĂšres tranquilles, et a besoin de paysages bien boisĂ©s pour nidifier. DISTRIBUTION GEOGRAPHIQUE AmĂ©rique du nord. La population de la cĂŽte Est se reproduit du sud du Canada Ă  la Floride, et celle de la cĂŽte Ouest, de la Colombie Britannique Ă  la Californie. Les deux populations hivernent au sud de leurs aires de nidification. COMPORTEMENTSDANS LA VIE SAUVAGE Le Canard carolin commence plus ou moins Ă  parader vers l’automne, mais la vĂ©ritable parade commence vraiment au printemps. Il est monogame et reste avec une seule et mĂȘme femelle pour une saison complĂšte, mais changera de partenaire l’annĂ©e suivante. Les mĂąles utilisent leur magnifique plumage pour attirer les femelles, alors que la femelle Ă©met un son perçant et sonore pour attirer le mĂąle. Celui-ci a plusieurs façons de parader. On peut d’abord observer un lissage mutuel des plumes. Le mĂąle exhibe ses ailes et sa queue en les agitant et en les relevant frĂ©quemment, montrant ses couleurs Ă  la femelle. Le lissage mutuel des plumes implique les deux partenaires qui se picorent mutuellement la tĂȘte et le cou. AprĂšs la reproduction, les mĂąles migrent vers d’autres lieux pour muer. Le Canard carolin se dĂ©place en marchant, en volant et en nageant. C’est un oiseau diurne, et Ă  l’exception des femelles accompagnĂ©es de petits, ils dorment sur l’eau. Ce sont des oiseaux grĂ©gaires, et souvent rassemblĂ©s le soir. Pour se nourrir, le canard carolin plonge sa tĂȘte dans l’eau pour saisir la vĂ©gĂ©tation aquatique. Il picore Ă  la surface en barbotant, mais il se nourrit aussi Ă  terre. Le Canard carolin migre en couple ou en petits groupes. Il n’est pas territorial. Leurs systĂšmes de dĂ©fense pour protĂ©ger leur partenaire incluent la poursuite, les coups de bec et les coups d’ailes. Les bagarres sont souvent brĂšves. Pour menacer un autre oiseau, ils agitent leur bec de façon saccadĂ©e et frappent d’un coup sec. Quand un prĂ©dateur est dans le secteur du nid, la femelle lance son cri d’alarme, et les petits s’élancent dans l’eau pour se protĂ©ger, tandis que leur mĂšre nage loin d’eux, en feignant d’avoir une aile cassĂ©e pour attirer le prĂ©dateur sur elle et l’éloigner des poussins. Les poussins meurent dans une proportion de 85 Ă  90% Ă  moins de deux semaines, Ă  cause des prĂ©dateurs. VOL Le Canard carolin a un vol rapide et agile, et il se faufile aisĂ©ment entre les arbres de son habitat. Sa tĂȘte est dressĂ©e mais le bec est inclinĂ© vers le bas. REPRODUCTION DE L’ESPECE Le Canard carolin niche isolĂ©ment dans les arbres, Ă  une hauteur variant de 6 Ă  15 m, prĂšs de l’eau, parfois directement sur l’eau, mais d’autres fois Ă  plus de 2 km. Le nid est construit dans une cavitĂ©. Il est tapissĂ© de copeaux de bois et de duvet. La femelle dĂ©pose 6 Ă  15 Ɠufs blanchĂątres. Elle couve ses Ɠufs pendant environ 30 jours. Les poussins naissent entre 6 et 18 heures aprĂšs la premiĂšre fissure de la coquille. Ils quittent le nid 24 h aprĂšs la naissance, et leur mĂšre les appelle hors du nid. Celle-ci s’assure que la voie est libre et qu’aucun prĂ©dateur ne se trouve dans les environs du nid. Ils sautent de toute la hauteur sĂ©parant le nid du sol, apparemment sans dommages. DĂšs qu’ils sont hors du nid, les petits commencent Ă  chercher leur nourriture. Ils deviennent indĂ©pendants au bout de 56 Ă  70 jours d’élevage. Le mĂąle ne participe pas Ă  leur Ă©ducation. Ils atteignent leur maturitĂ© sexuelle Ă  l’ñge de un an. Il n’est pas rare de trouver plus de 15 Ɠufs dans un nid. Parfois d’autres femelles pondent leurs Ɠufs dans un nid dĂ©jĂ  occupĂ©. Ce comportement porte le nom de nid de dĂ©pĂŽt ». ALIMENTATION Le canard carolin est omnivore, mais se nourrit Ă  90% de matiĂšres vĂ©gĂ©tales, lenticules et riz sauvage. Il consomme Ă©galement des noisettes, des fruits, des plantes aquatiques et leurs semences, quelques invertĂ©brĂ©s et insectes aquatiques. PROTECTION / MENACES / STATUTS Le Canard carolin a considĂ©rablement dĂ©clinĂ© au 19Ăšme siĂšcle, mais il a retrouvĂ© une population stable et croissante au 20Ăšme siĂšcle, grĂące Ă  l’installation de nichoirs, favorisant une bonne reproduction. La cause de ce dĂ©clin fut la beautĂ© de son plumage. Ses plumes Ă©taient trĂšs demandĂ©es, autant pour servir d’ornement que pour confectionner des mouches » pour la pĂȘche. Dans l’Est AmĂ©ricain, l’abattage des forĂȘts, le drainage et la chasse avaient entraĂźnĂ© sa quasi-disparition. Ses prĂ©dateurs sont les rapaces, les renards, les alligators, les reptiles et les grands poissons. Les Ɠufs sont dĂ©truits par les pics et les Ă©tourneaux, oiseaux qui nichent aussi dans des cavitĂ©s, et au mĂȘme niveau qu’eux.
RĂ©pandant"Bashkirok", le propriĂ©taire reçoit de beaux canards Ă  la viande en mĂȘme temps,sans dĂ©penser beaucoup d'argent en maintenance. La race a reçu deux variantes de coloration: noir et blanc et kaki. Canard Bachkir productif et immunisĂ© contre les maladies, ce qui simplifie le processus de reproduction.
Sans plus tarder, voici un petit inventaire des poissons d’étang gardon, perche, brochet, carpe, truite,
 Les riviĂšres dites de premiĂšre catĂ©gorie et les lacs de montagne dominent en salmonidĂ©s les truites, les ombles chevaliers,
. Les cours d’eau de deuxiĂšme catĂ©gorie, plus calmes et moins oxygĂ©nĂ©s, les plans d’eau comme les Ă©tangs abritent la grande famille des cyprinidĂ©s souvent nommĂ©s poissons blancs, on y trouve Ă©galement des prĂ©dateurs, les carnassiers. Ces eaux sont peuplĂ©es d’insectes aquatiques, d’amphibiens, de crustacĂ©s et la vĂ©gĂ©tation y est diversifiĂ©e. Table des L’ La brĂšme commune un plat poisson d’ Le Le La carpe L’esturgeon d’ Le gardon un poisson Le La loche d’ La perche La perche Le Le rotengle un autre grand classique poisson d’ La tanche – un superbe poisson d’étang1 Vous aimerez Ă©galement L’anguille Anguilla anguilla LinnĂ©, 1758Famille des AnguillidĂ©sEspĂšce menacĂ©e – RĂ©glementation particuliĂšre par rĂ©gion Anguille, 2007 La brĂšme commune un plat poisson d’étang Abramis brama LinnĂ©, 1758Famille des CyprinidĂ©sAutres noms plateau, plaquette La brĂšme commune a un corps Ă©levĂ© et plat, couvert de grandes Ă©cailles. La tĂȘte est petite par rapport au corps et prĂ©sente une bouche protractile, qui se dĂ©plie vers l’avant, mais n’a pas de barbillons. Ce poisson mesure gĂ©nĂ©ralement entre 30 et 50 cm pour un poids allant de 0,5 Ă  2,5 kg et peut atteindre jusqu’à 60 cm pour les gros spĂ©cimens. Il pourrait vivre une vingtaine d’ brĂšme affectionne les eaux calmes des Ă©tangs et lacs, des canaux et des lents cours d’eau. On ne la trouve pas en un poisson grĂ©gaire, qui vit en bancs, sur des fonds vaseux et mange tout ce qu’elle trouve sur le fond les mollusques, les crustacĂ©s, les larves d’insectes, les plantes aquatiques, 
La reproduction se produit entre mai et juin. La femelle dĂ©pose environ 30 000 oeufs dans les herbiers. Les mĂąles portent des boutons de noce, des excroissances blanches, sur tout le corps. L’incubation dure 3 Ă  12 jours. Technique de pĂȘche La brĂšme se pĂȘche au coup Ă  la longue canne, Ă  l’anglaise et au ver de terre, asticots, pinkies, blĂ©, maĂŻs, pain, pomme de terre BrĂšme, 2007 – Ă©tang de Wambrechies Le brochet Esox lucius LinnĂ©, 1758Famille des EsocidĂ©sAutres noms; Bec, Bec-de-CananrdEspĂšce classĂ©e comme Ă©tant en prĂ©occupation mineure Esox lucius– Drawing by Timothy Knepp, Public domain, via Wikimedia Commons Le brochet vit dans toutes les eaux douces, courantes et stagnantes d’Europe mais il prĂ©fĂšre les eaux claires aux eaux troubles. On ne le rencontre pas dans les torrents, ou rarement. C’est un prĂ©dateur solitaire qui chasse Ă  l’affĂ»t sur son brochet a un corps allongĂ©, fuselĂ© d’une robe brunĂątre, verdĂątre tachetĂ©e de jaune. Certains prĂ©sentent une robe dorĂ©e. La tĂȘte aplatie et large prend la forme d’un bec de canard, la gueule est Ă©norme, pourvue d’une mĂąchoire armĂ©e de dents acĂ©rĂ©es. On parle de 700 yeux du brochet sont situĂ©s Ă  fleur de tĂȘte et lui permet de voir ce qui se passe Ă  son niveau et au dessus, mais pas en dessous. Ceci explique pourquoi ce poisson se tient presque toujours au brochet est un carnassier et se nourrit de proies vivantes, notamment les poissons et parfois il lui arrive de consommer des crustacĂ©s et des grenouilles. La voracitĂ© du brochet est surfaite, il peut passer plusieurs jours Ă  digĂ©rer une grosse proie. Utile, il opĂšre une sĂ©lection naturelle en dĂ©vorant les poisson chĂ©tifs ou poisson mesure entre 50 Ă  150 cm et peut peser 15 reproduction a lieu de fĂ©vrier Ă  fin avril, lorsque la tempĂ©rature des eaux est comprise entre +9°C et +11°C. Le brochet fraie dans les herbiers prĂšs des berges et sur les prairies herbacĂ©es inondĂ©es lors des crues printaniĂšres. La femelle pond 10 000 Ă  20 000 oeufs par kg de poids. Peu d’oeufs arrivent Ă  maturitĂ© et l’incubation dure 15 jours environ. Technique de pĂȘche Ce poisson se pĂȘche au vif, au leurre, au poisson mort maniĂ©. Lorsque vous ĂȘtes amenĂ© Ă  dĂ©crocher l’hameçon fixĂ© dans la gueule du brochet, n’y mettez jamais les doigts, utilisez toujours un bĂąillon Ă©carteur et un dĂ©gorgeoir prĂ©vus pour le rĂ©glementation impose une pĂ©riode d’interdiction de la pĂȘche du brochet lors du poisson et leurre cuiller, poisson-nageur, leurre souple Brochet 77 cm 2,5 kg pris au poisson-nageur Le carassin Carassius carassius LinnĂ©, 1758Famille des CyprinidĂ©sAutres noms Carache, Meule Le carassin est un parent des poissons rouges corps ovale, tĂȘte courte, dos brun vert, flancs mordorĂ©s. Il mesure jusqu’à 30 cm et peut peser 1,5 poisson vit dans les eaux calmes, on le rencontre principalement dans les rĂ©gions du nord-est de la France. Rustique, il s’accommode d’eaux troubles et vaseuses, le manque d’oxygĂšne et la pollution ne lui font pas carassin mange tout ce qu’il trouve les plantes aquatiques, les graines, les larves d’insectes, les vers, 
La reproduction a lieu de mars Ă  juin. La femelle dĂ©pose dans la vĂ©gĂ©tation 300 000 Ɠufs, qui peuvent ĂȘtre fĂ©condĂ©s par un mĂąle d’une espĂšce voisine sans qu’il y ait d’hybridation. L’incubation dure 4 Ă  8 jours. Technique de pĂȘche Le carassin se pĂȘche au coup Ă  la longue canne et Ă  l’anglaise. C’est un poisson apprĂ©ciĂ© des pĂȘcheurs les vers de vase, vers de terre, les asticots, le blĂ©, le maĂŻs. On peut parfois le confondre avec la carpe. La carpe prĂ©sente des barbillons, pas le carassin. Un carassin La carpe commune Cyprinus carpioFamille des CyprinidĂ©s C’est un poisson de fond qui va exceller dans les Ă©tangs de plaine peu profonds oĂč l’eau est chaude et la vĂ©gĂ©tation croissance et l’alimentation de l’espĂšce exigent une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  10°C. Carpe au zoo d’Amiens, 2018 L’esturgeon d’Europe Acipenser sturio LinnĂ©, 1758Famille des AcipenseridĂ©sEn danger critique d’extinction L’esturgeon Ă©tait prĂ©sent dans toute l’Europe avant que l’on s’intĂ©resse Ă  ses Ɠufs caviar et Ă  sa chair. En France on pouvait observer une seule espĂšce d’esturgeon Acipenser sturio. C’est un poisson migrateur qui frĂ©quentait les eaux littorales et les estuaires de la cĂŽte Atlantique Ă  la Mer du Nord et rejoignait l’eau douce pour se montĂ©e des esturgeons en eau douce se produisait en fĂ©vrier-mars. C’était Ă  ce moment lĂ  qu’ils Ă©taient capturĂ©s au filet par les pĂȘcheurs europĂ©en est protĂ©gĂ© par la loi depuis 1982. C’est l’espĂšce de poissons la plus menacĂ©e d’Europe et fait depuis 2007, en France, l’objet d’un plan de rĂ©introductions d’ adulte peut atteindre 1 Ă  2 m de long. Technique de pĂȘche De nombreux plans d’eau privĂ©s, en no-kill obligatoire, introduisent ce poisson afin de proposer aux pĂȘcheurs un poisson de sport qui n’hĂ©site pas Ă  exĂ©cuter des sauts hors de l’eau et procure un combat sans pareil.. On pĂȘche l’esturgeon comme la pellets ou micro-bouillettes Ă  base d’huile de poisson, ver de terre. Esturgeon, 2010 Ă©tang de Wambrechies Nord Le gardon un poisson Ă©tang Rutilus rutilus LinnĂ©, 1758Famille des CyprinidĂ©s Le gardon est un poisson trĂšs commun dans les lacs, les canaux, les Ă©tangs et les riviĂšres au courant poisson vit en bancs, Ă  proximitĂ© de la corps est Ă©lancĂ© et peu comprimĂ© mais assez haut, entiĂšrement recouvert d’écailles brillantes. Le dos est gris verdĂątre voir gris bleuĂątre ou vert foncĂ© avec des nuances bleutĂ©es. Les nageoires sont d’une teinte rouge ou rouge-orangĂ© parfois jaunĂątre Ă  l’exception des nageoires dorsales ou pectorales lesquelles sont verdĂątres. La nageoire dorsale dĂ©bute sur le mĂȘme plan vertical que l’attache des nageoires ventrales. La bouche est rectiligne parfois un peu oblique, les yeux sont rouge cerclĂ© d’ gardon mesure 15 Ă  25 cm et peut atteindre 30~35 cm, rarement plus, et peut peser 1 gardon est herbivore et consomme les plantes aquatiques, les mousses mais, opportuniste, il ne rejette pas les larves d’insectes, mollusques, crustacĂ©s. En dĂ©finitif, son rĂ©gime est trĂšs reproduction demeure printaniĂšre, entre avril et juin, dĂšs que l’eau atteint les +15° C. Les mĂąles subissent une poussĂ©e de boutons de noces sur la tĂȘte et le dos petites excroissances blanchĂątres et perlĂ©es et les femelles pondent 50 000 Ă  100 000 oeufs sur les herbiers proches des berges. L’incubation dure entre une ou deux semaines selon la tempĂ©rature des eaux. Les larves Ă©closent et se fixent Ă  la vĂ©gĂ©tation pendant quelques jours avant de partir en pleine gardon s’hybride avec le rotengle, l’ablette, la grande brĂšme et la petite brĂšme bordeliĂšre. Il est par ailleurs parfois difficile de distinguer l’espĂšce, entre un gardon et un rotengle. Technique de pĂȘche Le gardon se pĂȘche au coup Ă  la longue canne ou Ă  la tĂ©lescopique mais Ă©galement Ă  l’anglaise. Il est utilisĂ© comme appĂąt pour la pĂȘche des blĂ©, chĂšnevis, maĂŻs, pain, pain d’épice, pomme de terre, mystic, ver de vase, asticot, pinkie, ver de terre. Gardon ou rotengle ? Le goujon Gobio gobio LinnĂ©, 1758Famille des CyprinidĂ©s goujon Gobio gobio Le goujon vit en bancs dans la plupart des riviĂšres et des lacs, on le trouve Ă©galement dans les Ă©tangs. Il frĂ©quente de prĂ©fĂ©rence les eaux limpides ni trop froides ni trop rapides et se tient toujours prĂšs du fond, dans les lits de graviers, de sable et d’argile. On ne le trouve pas sur les fonds goujon a un corps allongĂ©, une tĂȘte massive dont la bouche protractile est munie de 2 barbillons. Le dos est brun vert, les flancs plus clairs ponctuĂ©s de taches goujon mesure jusqu’à 15 cm et peut peser 50 grammes. Entre mai et juin, la femelle pond, par petits paquets, 1000 Ă  3000 Ɠufs sur des plantes ou des petits cailloux. Les mĂąles sont reconnaissables Ă  leurs petits boutons de noce blanchĂątres. La durĂ©e d’incubation varie entre 10 et 30 jours. A la naissance, les alevins restent sur le fond en bancs prĂšs du lieu de frai. Le goujon cherche sa nourriture sur le fond en fouillant le sable, il est attirĂ© par les brassages du fond qui dĂ©couvrent vers de vase, vers de terre, petits mollusques et larves d’ un poisson fouilleur. Technique de pĂȘche Le goujon se pĂȘche au coup Ă  la longue canne ou Ă  la tĂ©lescopique. Le goujon se pĂȘche toute l’annĂ©e mais, comme celui-ci craint la chaleur, les meilleures pĂȘches sont rĂ©alisĂ©es en automne, hiver et printemps. Il peut ĂȘtre utilisĂ© comme appĂąt pour la pĂȘche du Mystic, vers de vase, ver de terre, asticot, pinkie, pĂąte PĂȘchomĂštre La loche d’étang Misgurnus fossilis LinnĂ©, 1758Famille des CobitidĂ©sEspĂšce en danger La loche d’étang est un poisson serpentiforme qui vit dans les Ă©tangs, les marais, les fossĂ©s
 Les milieux peu profonds aux fonds vaseux. Le loche d’étang ne sort que la nuit. Le journĂ©e, elle reste enfouie dans la vase. Son activitĂ© augmente lorsque la pression atmosphĂ©rique baisse ce qui lui vaut le nom de poisson du temps ».C’est un poisson omnivore qui se nourrit de mollusques, de larves, de dĂ©bris de vĂ©gĂ©taux. La particularitĂ© de la loche d’étang est de pouvoir vivre dans des eaux pauvres en oxygĂšne car elle possĂšde une respiration branchiale est intestinale. Elle remonte Ă  la surface et avale de l’air, ses intestins digĂšrent l’ trouve la loche d’étang dans la partie Nord de la France. C’est un poisson rare et difficile Ă  rĂ©pertorier en raison de son mode de vie. Technique de pĂȘche On peut les prendre Ă  la ligne sur des esches animales et sur le fond mais ce poisson est sans intĂ©rĂȘt pour la pĂȘche. Misgurnus fossilis – George Chernilevsky, Public domain, via Wikimedia Commons La perche commune Perca fluviatilis LinnĂ©, 1758Familles des PercidĂ©s La perche est trĂšs commune en France. Elle frĂ©quente les eaux courantes et claires mais Ă©galement les eaux stagnantes ou faiblement courantes riches en vit en bancs. Lorsqu’elles sont trop nombreuses dans le plan d’eau, les perches sont atteintes de corps ovale, un peu comprimĂ©, est large, gris vert ou brun et couvert d’écailles rugueuses avec 5 Ă  7 larges bandes verticales d’un brun noirĂątre. Ses nageoires sont orangĂ©es, et la premiĂšre dorsale possĂšde des rayons perche mesure 25 Ă  30 cm et peut atteindre jusqu’à 50 cm et peut peser 1,5 poisson est un poisson carnassier. Elle se nourrit de vers, de larves d’insectes, de crustacĂ©s, de reproduction est printaniĂšre, de mars Ă  fin mai, dĂšs lors que la tempĂ©rature de leau atteint + 14 °C. La femelle dĂ©roule de longs cordons gĂ©latineux larges de 2 Ă  4 centimĂštres dans les herbiers et les bois immergĂ©s. Une femelle de 500 grammes pond 40 000 Ă  50 000 Ɠufs. Le mĂąle zigzague le long de ces rubans qu’il fĂ©conde. Environ 2 semaines plus tard, les Ɠufs Ă©closent et les alevins forment des bancs trĂšs compacts. Technique de pĂȘche La perche se pĂȘche au lancer, au vif, au ver, au leurre, Ă©galement au coup et Ă  la longue ver de vase, ver de terre, asticot, pinkie, poisson et leurre. Perche prise lors d’un concours au blanc, 2011 Photo APW Un Perco est le nom donnĂ© Ă  une petite perche La perche soleil Lepomis gibbosus LinnĂ©, 1758Familles des CentrarchidĂ©sEspĂšce invasive voir nuisible La perche-soleil est originaire de l’est du continent nord-amĂ©ricain et fut introduite en France dans les annĂ©es 1880~1890. Poisson extrĂȘmement vorace et actif, la perche-soleil se nourrit de larves et de vers mais mange abondamment Ă©galement les Ɠufs et les alevins des autres espĂšces de poissons. De petites taille en France, la perche-soleil une fois en surpopulation dans un plan d’eau prive de nourriture les autres espĂšces. Une perche-soleil Technique de pĂȘche Il est facile de prendre ce poisson au coup avec comme ligne celle que l’on utilise pour le goujon. La perche-soleil engame rapidement et profondĂ©ment tout ce qui lui semble comestible. Ce poisson est classĂ© comme nuisible et doit ĂȘtre dĂ©truit. Ci-dessous, un extrait de l’Article 4 de l’arrĂȘtĂ© relatif Ă  l’exercice de la pĂȘche en eau douce dans le dĂ©partement du Nord pour l’annĂ©e 2016. Poissons nuisibles Les perches soleils Le poisson-chat Ictalurus melas Rafinesque, 1820Famille des IctaluridĂ©sAutres noms chat, moustachu Ameiurus melas by Duane Raver Originaire de la cĂŽte Pacifique d’AmĂ©rique du nord, le poisson-chat a Ă©tĂ© acclimatĂ© en France dans les annĂ©es 1870 et continue Ă  coloniser toute l’Europe. Il s’adapte Ă  tous les habitats mĂȘme s’il affectionne plutĂŽt les eaux lentes et poissons vivent en bancs, envahissent les plans et cours d’eau au dĂ©triment des espĂšces indigĂšnes. C’est une espĂšce de poisson invasive pouvant modifier le cycle alimentaire des cours d’eau. Depuis 1985, en France, il est interdit de le relĂącher et de le transporter vivant. Les Black-bass, les anguilles, les sandres et les silures europĂ©ens silure glane peuvent dans une certaine mesure lutter contre les poisson-chat est massif. La tĂȘte volumineuse, plate et forte, prĂ©sente une large bouche munie de 8 barbillons. La tĂȘte reprĂ©sente les 50% du poids de l’animal. Le dos et les flancs sont sombres, le ventre est jaunĂątre, robe nue et sans Ă©cailles. Attention, les nageoires pectorales et dorsale possĂšdent un aiguillon poisson-chat mesure 15 Ă  20 cm et peut atteindre jusqu’à 35 cm et peut peser 300 poisson est trĂšs vorace et mange tout ce qu’il trouve invertĂ©brĂ©s, oeufs de poissons, insectes, reproduction a lieu en mai-juin, lorsque la tempĂ©rature des eaux atteint +18°C. La ponte est rĂ©alisĂ©e dans une sorte de nid creusĂ© sur le fond, prĂšs des berges. La femelle pond 5000 Ă  7000 oeufs. L’incubation des oeufs est protĂ©gĂ©e par les gĂ©niteurs et dure entre 7 et 10 jours. Technique de pĂȘche Le poisson-chat se pĂȘche au coup et au posĂ© .Tout comme la perche soleil, le poisson-chat est classĂ© nuisible dans le Nord de la France et doit ĂȘtre dĂ©truit sur blĂ©, maĂŻs, pain, ver de terre, ver de vase, asticot, pinkie, teigne. Le rotengle un autre grand classique poisson d’étang Scardinus erythrophtalmus LinnĂ©, 1758Famille des CyprinidĂ©s Le rotengle se rencontre dans toute la France, dans les Ă©tangs, les eaux calmes des grandes riviĂšres et des fleuves. Il vit en bancs dans toutes les hauteurs d’eau, proche de la surface l’étĂ©, prĂšs du fond l’hiver. Le rotengle Ă  un corps ovale avec une nageoire dorsale nettement en arriĂšre de la verticale joignant le dĂ©part des nageoires ventrales. La mĂąchoire infĂ©rieure dĂ©passe lĂ©gĂšrement la mĂąchoire supĂ©rieure. L’oeil est corp est dorĂ©, avec une prĂ©dominance pourprĂ©, avec des nageoires rougeĂątres. Il est trĂšs souvent confondu avec le gardon Il en diffĂšre par sa coloration plus vive, un dos plus Ă©levĂ©, plus bombĂ© et par la position de ses nageoires ventrales. La forme de la bouche est trĂšs oblique, pointant vers le haut. Le rotengle mesure 12 Ă  25 cm et peut atteindre 30 Ă  35 cm et pour un poids de 1 un poisson omnivore qui mange indiffĂ©remment des plantes aquatiques, des larves d’insectes, des mollusques
La ponte du rotengle a lieu le plus souvent en avril et juin, selon la tempĂ©rature, qui doit atteindre au moins les +15°C. La femelle dĂ©pose 100 000 Ă  200 000 oeufs sur diverses plantes immergĂ©es. L’éclosion intervient au bout de 1 ou 2 rotengle s’hybride avec gardon et l’ablette. Technique de pĂȘche Le rotengle se pĂȘche comme le gardon au un vif trĂšs utilisĂ© pour la pĂȘche des carnassiers. Un poisson d’étang le rotengle La tanche – un superbe poisson d’étang Tinnca tinca LinnĂ©, 1758Famille des CyprinidĂ©s La tanche est rĂ©pandues partout en France. Elle frĂ©quente les riviĂšres calmes, les lacs et les Ă©tangs riches en vit en groupe, Ă  proximitĂ© des herbiers et des nĂ©nuphars et ne quitte guĂšre le fond, fouillant le limon Ă  la recherche de corps est trapu, sa robe est vert sombre Ă  jaune dorĂ© recouverte d’une Ă©paisse couche de mucositĂ©.. Ses nageoires sont grandes et arrondies, les Ă©cailles trĂšs petites. La bouche est oblique avec deux petits barbillons de chaque cĂŽtĂ© de la commissure des lĂšvres tanche mesure jusque 50 cm et peut peser 3 un poisson fouisseur et se nourrit de plantes aquatiques, de larves d’insectes, de mollusques, de crustacĂ©s, 
La tanche se reproduit plusieurs fois gĂ©nĂ©ralement de mai Ă  juillet. Chaque femelle peut pondre 300 000 Ɠufs qu’elle dĂ©pose sur la vĂ©gĂ©tation. L’incubation dure 4 Ă  8 jours, les larves naissent et se fixent sur les plantes aquatiques. Technique de pĂȘche La tanche se pĂȘche au coup Ă  la longue canne, Ă  l’anglaise, au feeder et au posé  C’est un poisson qui dispose d’une belle MaĂŻs, blĂ©, pain, pain d’épice, pomme de terre, ver de vase, ver de terre, asticots, pinkie. Une tanche capturĂ©e au coup 1 kg, 2018 Vous aimerez Ă©galement Cet article vous a plu ? N’hĂ©sitez pas Ă  le partager pour informer vos proches. Cet article a Ă©tĂ© modifiĂ© le 06 aoĂ»t 2018, publiĂ© initialement en 2014Il constitue un outil de documentation pour la pĂȘche de loisirs et n’engage pas la responsabilitĂ© du site.
Sonplumage peut ĂȘtre bleu, blanc, acajou, noir ou bien Ă  la fois bleu et blanc. Le canard de Barbarie possĂšde une longue queue de plumes, une tĂȘte rose surmontĂ©e d’un petit plumet. On appelle mulard un individu nĂ© du croisement entre un canard (ou une cane) de Barbarie et une cane (ou un canard) europĂ©en, mais cet oiseau est stĂ©rile.
3 Ɠufs sur la tĂȘte d’un canard est un jeu d’éloquence. Chaque joueur pioche 6 cartes Ă  papa et 4 mots de merde, faces cachĂ©es et placĂ©es de maniĂšre alĂ©atoire. Quand vient votre tour, vous piochez une carte situation et vous l’expliquez en citant les mots prĂ©sents sur vos cartes. L’objectif raconter l’histoire la plus drĂŽle et la plus convaincante ! 3 joueurs minimum – Peut se jouer Ă  partir de 18 ans – DurĂ©e de 15 Ă  60 min Articles similaires
Sapoitrine est de couleur chĂątain. La cane est beige orangĂ©e avec du bleu pĂąle sur les ailes. Sur la tĂȘte, elle a des deux cĂŽtĂ©s deux lignes de couleur blanche. Le mĂąle peut atteindre 3,5 kg et la femelle 3 kg. La cane est une bonne pondeuse de gros Ɠufs blancs. Le canard de Saxe est un canard calme et familier qui aime fouiller dans l
Accueil Jeux de sociĂ©tĂ© et Puzzles Jeux d'ambiance 3 Ɠufs sur la tĂȘte d'un canard Chargement en cours... Le produit sous toutes ses coutures RACONTE MOI UNE HISTOIRE DĂ©couvrez "3 Ɠufs sur la tĂȘte d'un canard", le jeu d'Ă©loquence et d'improvisation par excellence ! Ce jeu d'apĂ©ro pour adultes est rĂ©servĂ© Ă  tous ceux qui savent rire de tout ! Un jeu trash avec des cartes, des mots, de l'imagination et c'est principe A haute voix, improviser un discours avec des mots imposĂ©s. 1 cartes "situation", et 10 mots Ă  intĂ©grer dans son speech. Certains sont simples, d'autres dĂ©jantĂ©s, voire carrĂ©ment carton rouge. Le joueur dĂ©couvre les mots imposĂ©s au fur et Ă  mesure et doit donner du sens Ă  son histoire. Le joueur le moins Ă©loquant devient le Canard. Attention, celui qui finit canard se verra ou pas casser 3 Ɠufs sur la tĂȘte !Contenu 80 cartes "Situation", 210 cartes "Mots Ă  Papa", 140 cartes "Mots de merde", 2 cartes "canard", 1 livret de rĂšgles du jeu. CARACTÉRISTIQUES = = = = RÉFÉRENCES CODE INTERNE 866526 CODE EAN 3770015340008 RÉFÉRENCE FABRICANT 130011676
LatĂȘte gĂ©ante vous donne un pouvoir pour rĂ©ussir Prenez les oeufs, vous aurez un canard supplĂ©mentaire par oeuf pour vous aidez Ă  affronter les poissons et autres. Prenez les bombes, vous les dĂ©posez avec le bouton gauche de la souris. Attention, Ă  la fin de chaque niveau, vous aurez Ă  affronter un chef qui tire fort et qui a Ă©normĂ©ment de points de vie, mais bon, c'est un Accueil Listes AnsĂ©riformes AnatidĂ©s Fiche Distribution Photos Hymenolaimus malacorhynchos - Blue Duck SystĂ©matique Ordre AnsĂ©riformes Famille AnatidĂ©s Genre Hymenolaimus EspĂšce malacorhynchos Descripteur BiomĂ©trie Taille 54 cm Envergure - Poids 680 Ă  1077 g Distribution Description de la famille Les AnatidĂ©s sont des oiseaux de taille moyenne Ă  grande, occupant tous les continents, exceptĂ© l'Antarctique. La famille est forte de quelque 165 espĂšces. Ils sont trĂšs liĂ©s Ă  l'eau, majoritairement aux eaux douces. Leurs pattes courtes sont palmĂ©es, ce qui constitue une adaptation Ă  la n... lire la suite Description identification adulte Le Canard bleu doit son nom Maori "whio" Ă  son chant. C'est une espĂšce emblĂ©matique des riviĂšres tumultueuses et claires de Nouvelle-ZĂ©lande. Trois espĂšces d'anatidĂ©s dans le monde vivent toute l'annĂ©e sur des riviĂšres torrentueuses le Canard bleu, les deux autres espĂšces se trouvent en AmĂ©rique du Sud Merganette des torrents et Nouvelle-GuinĂ©e Canard de Salvadori. La prĂ©sence de ce canard est un indicateur de la qualitĂ© des eaux des riviĂšres qu'il frĂ©quente. Les adultes des deux sexes sont semblables, uniformĂ©ment gris-bleu-ardoise avec des taches marron sur la poitrine, un bec gris pĂąle avec un rabat noir visible Ă©largi Ă  son extrĂ©mitĂ©, pattes gris foncĂ©, pieds partiellement jaunĂątres, les yeux sont jaunes. Au cours d'interactions agressives, ou lorsque les oiseaux sont soudainement effrayĂ©s, l'Ă©pithĂ©lium du bec alors fortement irriguĂ© par le sang devient rose. Les mĂąles sont plus grands que les femelles, les taches de poitrine sont plus importantes, l'iridescence verdĂątre est plus marquĂ©e sur la tĂȘte, le cou et le dos chez le mĂąle. Les juvĂ©niles sont semblables aux adultes, Ă  partir de la fin de l'Ă©tĂ©, leurs yeux sont sombres, leur bec est gris foncĂ©, la poitrine est couverte de taches clairsemĂ©es et sombres. Indications subspĂ©cifiques 2 sous-espĂšces Hymenolaimus malacorhynchos malacorhynchos New Zealand Hymenolaimus malacorhynchos hymenolaimus Noms Ă©trangers Blue Duck, Pato azul, pato-azul, Saumschnabelente, karimĂĄscsƑrƱ rĂ©ce, Blauwe Eend, Anatra blu, blĂ„and, Kaskadeand, vahia modrĂĄ, kachna měkkozobĂĄ, Newzealandsk StrĂžmand, vuorisorsa, Ă nec blau, krzywonos, ĐĄĐžĐœŃŃ утĐșа, ケă‚Șăƒ€ăƒžă‚Źăƒą, 汱鞭, ć±±è—éŽš, Voix chant et cris Le mĂąle Ă©met un sifflement aigu et poussif. Ce sifflement dissyllabique aigu, "whi-o" a donnĂ© le nom Maori de "l'oiseau whio". Habitat adulte Il est principalement confinĂ© aux riviĂšres rapides de montagnes, de l'Ăźle du Nord et de l'Ăźle du Sud, et infĂ©odĂ© presque exclusivement aux riviĂšres tumultueuses partiellement boisĂ©es, avec de la vĂ©gĂ©tation sur les berges. Comportement traits de caractĂšre Le Canard bleu ne migre pas, il est trĂšs sĂ©dentaire. Les couples s'Ă©tablissent sur un territoire qu'ils occupent tout au long de l'annĂ©e et tout au long de leur vie. Ils sont trĂšs territoriaux et dĂ©fendent vigoureusement ce territoire toute l'annĂ©e. Celui-ci couvre de 1 Ă  2 kilomĂštres de riviĂšre. Leurs habitudes sont marquĂ©es, quotidiennes et rĂ©guliĂšres. Ils se nourrissent 1 heure Ă  1 heure et demie, avant un repos Ă  l'aube pour recommencer Ă  nouveau jusqu'en milieu de matinĂ©e, puis ils restent inactifs jusqu'en fin d'aprĂšs-midi et s'alimentent Ă  nouveau avant la nuit. Alimentationmode et rĂ©gime L'alimentation occupe environ un quart de l'activitĂ© journaliĂšre de l'oiseau. Parfois ils se nourrissent la nuit. La nourriture est recherchĂ©e surtout dans des eaux peu profondes sur les bords de riviĂšre. Ils recherchent des invertĂ©brĂ©s capturĂ©s sur les rochers, fouillent les galets du lit de la riviĂšre et rĂ©coltent larves et insectes en surface. Leur rĂ©gime alimentaire se compose principalement d'invertĂ©brĂ©s Ă©phĂ©mĂšres, plĂ©coptĂšres, larves de chironomes, phryganes, cĂ©cidomyies et trichoptĂšres. Ils se nourrissent aussi de biomasse algale Ă  proximitĂ© des berges. Reproduction nidification Le Canard bleu niche dans des cavitĂ©s, des crevasses, des trous d'arbres, ou sous une vĂ©gĂ©tation dense, dans des sites isolĂ©s sur les berges des riviĂšres et jusqu'Ă  30 m de celles-ci. Ils peuvent se reproduire dĂšs leur premiĂšre annĂ©e. Les Ɠufs, de 3 Ă  7, gĂ©nĂ©ralement 6, sont pondus de fin aoĂ»t Ă  octobre recoquetage en dĂ©cembre si la premiĂšre couvĂ©e Ă©choue. Les Ɠufs blancs sont incubĂ©s par la femelle durant 33 Ă  35 jours. La rĂ©ussite de la nidification est d'environ 54 %. La prĂ©dation et les inondations peuvent conduire Ă  l'Ă©chec de cette nidification. Environ 60% des canetons arrivent Ă  l'envol. Les deux parents s'occupent des jeunes durant 70 Ă  82 jours jusqu'Ă  leur envol. Distribution C'est une espĂšce endĂ©mique de Nouvelle-ZĂ©lande. Il se reproduit sur l'Ăźle du Nord et l'Ăźle du Sud. Menaces - protection Statut de conservation IUCN Eteint MenacĂ© PrĂ©occupationmineure ÉteintĂ  l'Ă©tat sauvage QuasimenacĂ© NonĂ©valuĂ© EX EW CR EN VU NT LC NE L'estimation de la population du Canard bleu est extrĂȘmement difficile a Ă©tablir compte tenu de l'habitat souvent inaccessible, dans lequel il vit. La derniĂšre estimation de population est estimĂ©e Ă  2 500-3 000 individus avec un maximum de 1 200 couples, mĂȘme si en 2005 Williams a Ă©valuĂ© cette population Ă  600 couples. Par contre une estimation rĂ©cente a donnĂ© environ 640 couples pour l'Ăźle du Nord et 700 couples pour l'Ăźle du Sud Young 2009. La fragmentation des populations rĂ©duit la recolonisation et empĂȘche le mixage gĂ©nĂ©tique avec d'autres oiseaux Williams, 1988. Il subit un dĂ©clin rapide en raison d'autres facteurs. Cette rĂ©gression est due Ă  de la perte d'habitat, la prĂ©dation et l'activitĂ© humaine. Les mammifĂšres introduits jouent un rĂŽle important dans le dĂ©clin du Canard bleu. L'hermine, par sa prĂ©dation, est certainement l'espĂšce la plus menaçante pour les femelles lors de la couvaison, les Ɠufs et les canetons. Les rats et opossums sont Ă©galement susceptibles de prĂ©dation sur les Ɠufs. Chats harets, chiens domestiques et furets sont aussi des prĂ©dateurs. L'activitĂ© humaine peut porter atteinte aux populations de Canard bleu. Lors de l'utilisation des cours d'eau kayak, pĂȘche, chasse. L'introduction de truites peut entraĂźner une baisse d'accĂšs Ă  la nourriture Heather et Robertson, 1997 ; des oiseaux pris dans des lignes de pĂȘche abandonnĂ©es ont Ă©tĂ© signalĂ©s Young 2009. La perte de l'habitat due Ă  la dĂ©forestation pour l'agriculture, entraĂźne une pollution des riviĂšres, une baisse de la qualitĂ© de l'eau. Quelques riviĂšres sont modifiĂ©es pour la production hydro-Ă©lectrique ou l'irrigation ce qui modifie aussi les caractĂ©ristiques de ces cours d'eau et entraĂźne de fait une perte d'habitat pour le Canard bleu. RĂ©fĂ©rences utilisĂ©es Vol. 1 - Handbook of the Birds of the World, Josep del Hoyo-Andrew Elliot-Jordi Sargatal Blue Duck Whio Hymenolaimus malacorhynchos recovery plan., Adams, J.; Cunningham, D.; Molloy, J.; Phillipson, S. Fast and furious. Forest and Bird, Young, D. Threatened birds of the world, Barcelona and Cambridge, UK Ducks, Geese and Swans, Kear, J The Blue Duck of New Zealand., Kear, J The Food and Feeding Apparatus of the Blue Duck Hymenolaimus. Ibis, Kear, J and Burton, PJK Aspects of Social Behaviour in the Blue Duck., Kear, J and Steel Wildfowl An identification guide to the ducks geese and swans of the world, Madge, S and Burn, H Whio Saving New Zealand’s Blue Duck., Young, D Blue Duck Whio Hymenolaimus malacorhynchos recovery plan., Adams, J.; Cunningham, D.; Molloy, J.; Phillipson Roost habitat of a North Island blue duck Hymenolaimus malacorhynchos population. , Baillie, B. R.; Glaser, A. B. Operation Ark success four years on., Bain, H. Blue ducks breed on Mt Taranaki., Biswell, S. Translocation of blue duck Hymenolaimus malacorhynchos to Egmont National Park. Progress report 2005-2006. unpublished, Caskey, and Peet, Conservation breeding and avian diversity chances and challenges, Collar, N. J.; Butchart, S. H. M. Factors affecting the distribution of Blue Duck Hymenolaimus malacorhynchos., Collier, K. J.; Moralee, S. J.; Wakelin, M. D. Whio/blue duck Hymenolaimus malacorhynchos recovery plan 2009-2019., Glaser, A.; van Klink, P.; Elliott, G.; Edge, K-A. The field guide to the birds of New Zealand., Heather, B. D.; Robertson, H. A. An attempt to establish a new, viable population of Blue Duck Hymenolaimus malacorrhynchos in Egmont National Park., Hutchinson, World Bird List Gill, F and D Donsker Eds. 2022. Fiche créée le 03/04/2015 par Yann Cambon publiĂ©e le 03-04-2015 - modifiĂ©e le 08-03-2016 © 1996-2022 Accipitriformes AnsĂ©riformes Apodiformes AptĂ©rygiformes BucĂ©rotiformes Caprimulgiformes Cariamiformes Casuariiformes Charadriiformes Ciconiiformes Coliiformes Columbiformes Coraciiformes Cuculiformes Eurypygiformes Falconiformes Galliformes Gaviiformes Gruiformes Leptosomiformes Mesitornithiformes Musophagiformes Opisthocomiformes Otidiformes PassĂ©riformes PĂ©lĂ©caniformes Phaethontiformes PhoenicoptĂ©riformes Piciformes PodicipĂ©diformes Procellariiformes Psittaciformes Pterocliformes RhĂ©iformes SphĂ©nisciformes Strigiformes Struthioniformes Suliformes Tinamiformes Trogoniformes
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Ilse distingue du canard de PomĂ©ranie par ses primaires blanches. La coloration bleue du canard suĂ©dois bleu Ă  crĂȘte est due Ă  l'hĂ©tĂ©rozygotie dans un gĂšne de dilution. Incubation: 28 jours. Couleur de l'Ɠuf: principalement blanc avec parfois un Ɠuf teintĂ© de bleu ou de gris. Production d'oeufs: peut produire 100 Ă  130 par an.
Le canard siffleur description et comportement DESCRIPTION GENERALE DU CANARD SIFFLEUR Le canard siffleur, appelĂ© Ă©galement canard siffleur d’Europe, est une espĂšce d’oiseau appartenant Ă  l’ordre des ansĂ©riformes et Ă  la famille des anatidĂ©s. Il vit, en fonction des migrations, du Nord de l’Europe nidification jusqu’au sud du continent saison hivernale. Son nom de siffleur » vient du mĂąle dont le chant ressemble Ă  un sifflement. CLASSIFICATION SCIENTIFIQUE DE L’ESPECE RĂšgne Animal Embranchement ChordĂ© vertĂ©brĂ© Classe Oiseau Ordre AnsĂ©riforme Famille AnatidĂ© Genre Anser EspĂšce penelope Nom latin Anas penelope CARACTERISTIQUES PHYSIQUES DU CANARD SIFFLEUR Taille 45 Ă  50 cm Envergure 75 Ă  85 cm les ailes dĂ©ployĂ©es Poids 500 Ă  900 g CaractĂ©ristiques du corps Silhouette arrondie, tĂȘte ronde, bec aplati, queue courte, pattes palmĂ©es CaractĂ©ristiques du vol Vol rapide et direct ; battements d’ailes rapides Couleur du plumage MĂąle en pĂ©riode nuptiale corps gris, tĂȘte rousse avec une bande jaune, poitrine rosĂ©e, bec gris-bleu avec l’extrĂ©mitĂ© noire, ventre blanc, croupion noir et blanc Femelle plumage gĂ©nĂ©ral brun-roux Cri / bruit / chant Chez le mĂąle le cri ressemble Ă  un sifflement ; sorte de wiyuu-wiyuu-wiyuu. La cane pousse des cris plus rauques HABITAT ET ALIMENTATION DU CANARD SIFFLEUR RĂ©partition gĂ©ographique Europe, Russie, SibĂ©rie, Afrique du Nord Lieu de vie Le canard siffleur vit dans les zones humides, le long des Ă©tangs et des lacs, dans les prairies, les marĂ©cages, le long du littoral. En pĂ©riode de nidification, il prĂ©fĂšre les zones boisĂ©es toundra, taĂŻga, steppes.RĂ©gime alimentaire Omnivore Ă  prĂ©dominance herbivore Type de nourriture Le canard siffleur mange toutes sortes de plantes herbe, algues, feuilles, tiges, des graines qu’il broute dans l’eau ou dans les prairies. En Ă©tĂ©, l’oiseau se nourrit Ă©galement d’insectes aquatiques et d’insectes terrestres. STRUCTURE SOCIALE DU CANARD SIFFLEUR Vie sociale Le canard siffleur est un oiseau migrateur. Les populations migrent vers des rĂ©gions plus chaudes en hiver sud de l’Europe et retournent vers le nord et l’est du continent au moment de la pĂ©riode de nidification. Les canards siffleurs sont des oiseaux grĂ©gaires ; ils Ă©voluent la plupart du temps en groupe composĂ© de plusieurs individus et frĂ©quentent souvent d’autres espĂšces d’oiseaux. L’oiseau est monogame le temps de la saison des amours. PrĂ©dateurs Les renards, les mustĂ©lidĂ©s belette, blaireau, loutre
, les certains corvidĂ©s et certains rapaces sont ses principaux prĂ©dateurs. Nom de la femelle La cane Nom du bĂ©bĂ© / petit Le caneton REPRODUCTION DU CANARD SIFFLEUR MaturitĂ© sexuelle 1 Ă  2 ans PĂ©riode de nidification Printemps avril Ă  juin Lieu de ponte / nid / naissance Nid placĂ© sur le sol, cachĂ© dans la vĂ©gĂ©tation et Ă  proximitĂ© de l’eau. Le nid est construit Ă  l’aide de vĂ©gĂ©taux herbe, tiges. Le fond du nid est recouvert d’herbe fine, de plumes et de duvet. Nombre de couvĂ©es annuelles 1 Ă  2 couvĂ©es par an Nombre d’oeufs par ponte 8 Ă  10 oeufs par couvĂ©e DurĂ©e de l’incubation / couvaison 24 Ă  26 jours ; seule la femelle couve les oeufs Sevrage Les petits canetons sont nidifuges et quittent le nid juste aprĂšs l’éclosion des oeufs. Ils suivent leurs parents sur l’eau et commencent alors Ă  se nourrir. L’envol des juvĂ©niles se fait au bout de 5 Ă  7 semaines. LONGEVITE DU CANARD SIFFLEUR EspĂ©rance de vie La durĂ©e de vie du canard siffleur est de 15 Ă  18 ans Ă  l’état sauvage. CONSERVATION – PROTECTION – MENACES DE L’OISEAU Statut de conservation IUCN PrĂ©occupation mineure LC Mesures de protection Le canard siffleur n’est pas une espĂšce menacĂ©e au niveau mondial. L’oiseau est cependant vulnĂ©rable Ă  la dĂ©gradation de son habitat naturel. Taille de la population NC ESPECES D’OISEAUX SIMILAIRES Articles sur le mĂȘme sujet Suivez-nous sur les rĂ©seaux sociaux !
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