The Way, La route ensemble News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Streaming VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 3,9 679 notes dont 107 critiques noter de voirRédiger ma critique Synopsis Tom Avery, médecin américain à l’existence confortable, se rend d’urgence en France où son fils Daniel vient de disparaître lors d’un accident en montagne. Il découvre sur place que ce fils qu’il n’a jamais compris avait entrepris le pèlerinage de Compostelle. Tom décide alors de prendre le camino ». Sur sa route, il croise Jack l’irlandais, Sarah la canadienne ou encore le hollandais Joost, pèlerins aux caractères bien trempés. D’abord fuyant, Tom s’ouvre pas à pas, à mesure qu’il apprend enfin à marcher ensemble ». Regarder ce film En SVOD / Streaming par abonnement Amazon Prime VideoAbonnement Voir toutes les offres de streaming Acheter ou louer sur CANAL VOD Canal VOD Location dès 2,99 € Orange Location dès 2,99 € Filmo Location dès 2,99 € Voir toutes les offres VODService proposé par The Way - La route ensemble DVD Voir toutes les offres DVD BLU-RAY Bande-annonce 124 124 Dernières news Acteurs et actrices Casting complet et équipe technique Critiques Presse La Croix Le Parisien Première Ecran Large L'Express Le Figaroscope Le Journal du Dimanche Studio Ciné Live Studio Ciné Live Télérama Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 12 articles de presse Critiques Spectateurs Explorant admirablement les zones d'ombre de son personnage principal qui n'est autre que son père dans la vraie vie, ce film magnifique qui est avant tout un film de famille est le sixième long-mètrage d'Emilio Estevez à qui l'on doit l'hilarant "Men at Work" en 1990 et dans un registre plus sèrieux, le film choral "Bobby" en 2006! Le sanctuaire de Saint-Jacques de Compostelle est certainement un nom èvocateur, mystique et mystèrieux et ... Lire plus Des choses bien et d'autres bof. Le + les acteurs, avec en tête Martin Sheen. Son évolution est bien jouée, son deuil et sa douleur sont palpables mais sans esbroufe. Sa volonté est bouleversante comme l'amour et la déclaration post mort à son fils. Le périple del Camino est l'autre atout. Un acteur à lui seul! C'est autant un cheminement sur ses sentiers superbes qu'un cheminement intime que recherchent tous ces voyageurs. ... Lire plus The Way est dans le fond un bon film avec une morale, on voyage avec les personnages parmi de supers paysages. Ce que je reproche cependant au film, c'est le fait qu'il soit un peu trop tire larme et surtout que les clichés s’enchaînent la scène avec les gitans est la meilleure illustration de cela. Je n'avais pas imaginé ce film ainsi. Je le voyais plus comme le chemin d'un homme. Finalement, j'ai dû "subir" les tribulations d'un groupe dont certains membres sont horriblement énervants et gâchent une histoire qui aurait pu être belle et touchante. L'ensemble reste pas mal mais malheureusement on s'ennuie parfois, on est agacé et je n'ai pas vu le côté 'comédie' de ce film !! 107 Critiques Spectateurs Photos Secrets de tournage Un fils à papa The Way marque les retrouvailles d'Emilio Estevez avec son père, Martin Sheen. Père et fils avaient en effet eu l'occasion de travailler ensemble sur Bobby 2006, The War at Home 1996, Objectif nucléaire 1989, In the Custody of Strangers 1982 et le film d'animation Les 3 rois mages 2003. Retrouvailles Pour ce film, Emilio Estevez a de nouveau choisi Tyler Bates, qui avait déjà composé la bande-originale d'un de ses précédents longs-métrages, Classé X 2000. Martin Sheen, quant à lui, retrouve James Nesbitt, avec lequel il avait travaillé sur le talk-show The Graham Norton Show. Inspiré de faits personnels Interrogé sur ce qui lui a donné envie de faire ce film, Emilio Estevez évoque le pèlerinage en direction de Saint-Jacques-de-Compostelle que son père, Martin Sheen, avait entrepris avec son fils, Taylor. Ce dernier, alors âgé de 19 ans, est tombé amoureux lors du voyage et a donc décidé de s'installer définitivement en Espagne. 12 Secrets de tournage Infos techniques Nationalités Espagne, Distributeur Condor Distribution Année de production 2010 Date de sortie DVD 19/02/2014 Date de sortie Blu-ray - Date de sortie VOD 19/02/2014 Type de film Long-métrage Secrets de tournage 12 anecdotes Box Office France 115 049 entrées Budget - Langues Anglais, Français, Espagnol Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa 137988 Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires
TheWay - La Route Ensemble Film complet en Vf, Streaming en Francais, voir The Way - La Route Ensemble film complet streaming 2010 Un père qui avait coupé leThe Way - La route ensemble par mr. edwardL'histoire du film est celle de Tom Avery Martin Sheen, une médecin américain, obligé de se rendre d'urgence en France suite au décès accidentelle de son fils Emilio Estevez. Ce dernier avait entrepris d'effectuer le pèlerinage de Compostelle. Tom décide donc de transporter les cendres de son fils jusqu'à Saint-Jacques-de-Compostelle. Au cours de son périple, il va croiser la route d'autres pèlerins et ouvrir les yeux sur la raison qui a poussé son fils à vouloir effectuer ce voyage. The Way est un film que j'ai aimé. Mais est-il bon pour autant ? La réponse tient en 3 lettres oui. Certes, le film a beaucoup de défauts et ceux-ci peuvent gêner le spectateur j'y reviendrais un peu plus tard, mais la première chose qui marque, c'est ce sentiment de mélancolie qui se dégage du récit. Logique me direz-vous, au vu du sujet traité. Pour autant, le film n'est pas plombant comme pouvait l'être l'excellent film "La Route" de John Hillcoat, avec Viggo Mortensen et Kodi Smit-PcPhee, traitant aussi de la relation père-fils, l'Apocalypse remplaçant le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. D'une certaine manière, The Way est une déclaration d'amour entre un père et son fils. Emilio Estevez n'a pas besoin d'en faire des tonnes, dans sa réalisation, pour qu'on y croit. Bien que ne jouant pas réellement l'un avec l'autre, l'alchimie entre les deux acteurs est naturel et crédible. Logique me direz-vous, et bien pas tant que cela, After Earth a prouvé que l'on pouvait être de la même famille et n'avoir aucune alchimie entre les deux interprètes Les Smith, père et fils, pour information car jouant très mal leur rôle respectif. Dans The Way, c'est l'un des grands points positif car, bien que Emilio Estevez ne soit pas décédé, la peine que ressent Martin Sheen est crédible et sincère. L'interprétation de ce dernier étant excellente, cela accentue ce sentiment. On constate d'ailleurs que le rôle de Tom Avery a été écrit spécialement pour celui-ci. Il tient le film sur ses épaules, malgré les bonnes interprétations de Deborah Kara Unger, Yorick Van Wageningen le monsieur gabardine de Millenium version Fincher et James Nesbitt, 3 personnages qui accompagneront Tom durant son périple. Le film ne se résume pas qu'à cette relation et à cette mélancolie latente. Il y a aussi beaucoup de générosités et d'échanges, notamment, à travers les personnes que rencontre Tom Avery. Certains diront, un peu trop. Et c'est là , d'ailleurs, l'un des défauts du film, il y a un peu trop de bons sentiments et de "tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes". Mais peut-être est-ce voulu, au vu du comportement renfrogné de Tom Avery au début du film, pour ainsi créer un décalage entre ces deux mondes celui de Tom et celui du pèlerinage ? Emilio Estevez veut rendre hommage à ce pèlerinage, mais pour un non-connaisseur, comme moi par exemple, je ne sais pas s'il ne montre que le bon côté du périple ou les deux faces de la pièce. On ne ressent pas ni ne voit la difficulté éprouvée, à effectuer ce voyage. L'accent est plus mis sur les paysages et sur cet homme effectuant ce périple pour son fils. D'ailleurs certains trouveront peut-être risible le fait que Tom ne semble pas fatigué à la fin, quand il arrive à Saint-Jacques-de-Compostelle, comme si l'amour de son fils avait été son moteur, mais il ne faut pas oublier que ce n'est que du cinéma et donc il faut parfois accepter la logique et/ou la vision du réalisateur et ce qu'il veut illustrer. Pour conclure, The Way est un bon petit film touchant émouvant et sincère, porté par la remarquable interprétation de Martin Sheen.
TheWay, La route ensemble De Emilio Estevez Avec Martin Sheen , Emilio Estevez , Deborah Kara Unger Titre original The Way Tom Avery, médecin américain à l’existence confortable, seLe projet arbore l’auréole de l’entreprise familiale bien intentionnée. Un jour de passage sur la terre de leurs ancêtres, la Galice espagnole, l’acteur américain Ramón Estevez, alias Martin Sheen, et son fils Emilio ont décidé de produire un film de fiction sur un pèlerinage vers Saint-Jacques de Compostelle. Motifs invoqués raconter une quête, un pays, un esprit… Oui, on sait, c’est mal de lire les dossiers de presse, et s’en empêcher nous éviterait d’écarquiller les yeux face aux écarts parfois abyssaux entre intentions et résultats. Dudit pèlerinage, Emilio Estevez ne semble avoir retenu que l’idée d’une longue randonnée à travers toutes sortes de points de passage touristiques du nord de l’Espagne, périple complété par tous les clichés tombés sous la main du l’intrigue de départ, mettant en abyme la relation entre l’acteur principal et le réalisateur, fleure bon la convention d’écriture qui jamais ne dépassera ce statut. Martin Sheen campe un Californien aisé venu à Saint-Jean-Pied-de-Port, au Pays basque français, identifier le corps de son fils baroudeur, tué accidentellement alors qu’il entreprenait le pèlerinage. Il finit par se lancer lui-même dans la longue marche, sans trop savoir pourquoi mais en cherchant à comprendre ce qui motivait cet enfant dont il était si éloigné, portant dans son paquetage les cendres de ce dernier mais ayant parfois l’illusion de le voir à ses côtés pour guider son âme égarée apparitions jouées par Emilio lui-même, muet mais très insistant. Cependant, ce poncif collant à la peau du protagoniste tout au long du voyage n’est presque rien comparé à la caricature infligée à ce qui l’entoure, au territoire étranger qu’il découvre. Il faut voir la folklorique compagnie que le film lui adjoint progressivement le Néerlandais bon vivant et fumeur de joints, la Canadienne en pendant désabusé de l’Américain, l’écrivain irlandais pédant et survolté. Et puis, il y a cette vision béate d’une Espagne apparemment si ouverte aux pèlerins qu’elle les accueille en touristes, leur offrant de quoi nourrir leur appétit de pittoresque et de bizarrerie distrayante seyant, paraît-il, aux pays étrangers ici un aubergiste jouant au torero, là un illuminé s’improvisant hôte d’étape en se parlant tout seul. Dans ce ramassis d’images d’Épinal, on sauvera un passage évoquant la discrimination envers les Tsiganes, mais le plaidoyer envers ce peuple y est articulé avec un tel ton de donneur de leçons qu’il en est presque aussi pénible que le reste. Miné par une telle complaisance dans le comique touristique, autant dire que dans le genre du road-movie, on tient là un des spécimens les plus creux vus depuis fragment de luciditéUne telle superficialité de traitement n’est pas si surprenante pour quiconque se souvient de la précédente réalisation d’Estevez, Bobby, film choral riche en stars mais pauvre en enjeux autour de l’assassinat de Robert Kennedy. Ce sont les mêmes petits bras qu’on retrouve à l’œuvre ici, à une échelle plus modeste une production indépendante, mais dans un contexte international qui rend encore plus accablante la courte portée de sa vision du monde. C’est d’autant plus regrettable que dans cette petitesse plus bête que méchante difficile de qualifier Estevez de xénophobe ou de bigot – tout au plus de cinéaste très inconséquent, on peut déceler une réelle modestie qui, animant un regard sur un pèlerinage religieux, pourrait bien s’avérer une vertu. Cela tient à ce prosaïsme dans lequel Estevez maintient ce qui s’apparente à un acte de foi qui s’ignore ce pèlerinage auquel se conforment – plus ou moins fidèlement – les quatre individus, tous venus là pour des raisons tout sauf spirituelles, reproduisant des gestes anciens avec le vague espoir d’en tirer quelque chose, des attentes progressivement dévoilées pour les uns, restant secrètes pour les autres. Une fois arrivés à destination, alors que l’heure du repos sera venue, une émotion indéfinie les gagnera, comme si, malgré les objectifs avoués, c’était autre chose qu’ils avaient atteint – quelque chose que le film aura le bon goût de ne pas prétendre éclaircir. Alors seulement, les personnages schématiques montreront de convaincants éclats d’humanité. De la présence d’un dieu, on n’aura que très peu parlé – à une seule occasion, en fait, celle d’un geste rituel comme un autre mais qui est aussi un signe des plus forts de la détresse sourde de chacun. Dans cet mystère-là réside une certaine vérité que The Way effleure celle d’une pratique religieuse qui, par la noblesse qu’elle invoque, la grandeur dont on la pare et les qualités qu’elle appelle, ne laisse pas insensibles ses exécutants, si peu croyants qu’ils puissent être. Il ne s’agit moins de prétendre célébrer que de montrer à quel point il affecte ceux qui, quels que soient leurs motifs, prennent la route. Dommage que pour entrevoir ce fragment de lucidité, il faille cheminer à travers un amas de stéréotypes gluants.
Theway : la route ensemble en Streaming. Disponible dans une option payante. Films - Adaptations - FilmoTV. Peu préparé à l'exercice, un médecin californien poursuit le périple jusqu'à Saint-Jacques-de-Compostelle, entamé à pied par son fils décédé dans les Pyrénées