Publié le 17/08/2022 1111 France 2 Article rédigé par A. Delcourt, E. Prigent, T. Germain, C. Rigeade - France Télévisions Les prix à la pompe sont en baisse. Le ralentissement de l’économie chinoise joue, ainsi que la ristourne du gouvernement. D’un côté, la Suisse, où les litres de gazole et de sans-plomb s’affichent à environ 2,5 euros le litre. De l’autre, la France, avec quasiment 0,80 centimes d’euros de moins à la pompe. Résultat, en ce moment, les plaques genevoises sont de plus en plus nombreuses à passer la frontière. "On viendra le chercher avec des brouettes pour en avoir plus", confie un automobiliste. Dans le détail, en France, le gazole vaut aujourd’hui 1,79 euros le litre en moyenne, en chute de 4,93 centimes en une semaine. Une baisse remarquable, jamais ce niveau n’avait été aussi bas depuis février. Après s’être envolés en début d’année avec la fin des confinements et la guerre en Ukraine, les prix baissent à nouveau sur fond de ralentissement de l’économie chinoise. Autre ajustement spécifique à la France, la ristourne financée par l’État 18 centimes d’euros par litre et ce sera 30 centimes à partir du premier septembre. Le dispositif doit durer jusqu’à la fin de l’année mais tombera en novembre à 10 centimes d’euros par litre.
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Les prix des carburants sont en hausse et atteignent des records depuis des semaines, dans le sillage des cours du pétrole. Les prix des carburants sont en hausse et atteignent des records depuis des semaines, dans le sillage des cours du pétrole. PHOTO PHILIPPE PAUCHET LA VOIX DU NORD - VDNPQR Publié 6 Mars 2022 à 09h40 Temps de lecture 3 min En fin de semaine, vendredi, on a trouvé du gazole et du SP95 à plus de 2 € dans des dizaines de stations services du Nord et du Pas-de-Calais. Leur flambée a été alimentée ces derniers mois par la reprise économique mondiale, après deux ans de Covid et de crise sanitaire, et une offre toujours limitée des grands pays producteurs de pétrole. Découvrir plus de vidéos Puis cette tendance a été exacerbée après le début de l’invasion de l’Ukraine la Russie étant le deuxième pays producteur de pétrole au monde derrière les États-Unis et le deuxième exportateur au monde derrière l’Arabie Saoudite, la guerre engagée contre l’Ukraine a plongé les marchés pétroliers dans une tension jamais vue depuis 2014, avec un baril repassé au-dessus des 120 dollars. Le pire, c’est que cet impact ne s’est vraisemblablement pas encore totalement reflété dans les prix à la pompe. Selon le PDG de Système U, Dominique Schelcher, invité sur BFMTV, il faut s’attendre à une hausse brutale du carburant dans les jours à venir ». En cause, la valeur de l’Euro, qui est aussi en train de s’affaiblir. Donc le carburant qu’on [les commerçants] achète ce matin coûte au moins une dizaine de centimes de plus par litre », ce qui se répercute sur l’automobiliste qui fait son plein. Découvrir plus de vidéos D’ailleurs, dans d’autres pays européens, la barre des deux euros le litre a été franchie en début de semaine déjà , fait remarquer Auto Plus. Aux Pays-Bas, le SP95 s’échangeait en moyenne pour 2,061 € par litre, voire même 2,094 € par litre en Norvège, lundi 28 février… Le diesel n’est pas beaucoup mieux positionné, et dépassait même les 2,10 € le litre en moyenne en Suède. À prix coûtant ça se termine ce dimanche chez Leclerc La hausse des prix à la pompe est une problématique sensible pour le gouvernement français à l’approche de l’élection présidentielle et sur fond de renchérissement du coût de la vie. Des mesures d’accompagnement ont déjà été annoncées pour les ménages augmentation de l’indemnité kilométrique, indemnité inflation…, tandis que certains distributeurs consentent des ristournes à leurs clients. Pour rappel, l’opération de carburant à prix coûtant chez Leclerc, qui a commencé le samedi 5 février et se termine ce week-end. Les regards sont aujourd’hui tournés vers l’Iran, qui pourrait augmenter sa production pour soulager les marchés. Ce qui ne se fera pas sans concession probablement… Tel un accord sur le nucléaire. L’envolée des cours met sous pression les gouvernements occidentaux, en particulier les Américains », souligne dans une note Henry Rome, chez Eurasia Group. Car si Washington réintègre le JCPOA, quitté en 2018 sous la présidence de Donald Trump, les sanctions internationales visant Téhéran seraient alors levées, et les exportations iraniennes de pétrole débloquées. L’afflux sur le marché mondial de cet or noir supplémentaire changerait totalement la donne et freinerait considérablement les prix à la pompe, dont la hausse préoccupe aussi la Maison Blanche. À l’inverse, l’Iran pourrait être moins pressé de conclure, fort des revenus pétroliers accrus tirés de ses ventes à la Chine, ajoute M. fait, la République islamique prend son temps et insiste depuis plusieurs jours sur ses lignes rouges », à savoir l’étendue des sanctions à lever et la question centrale des garanties. Lire aussi L’apaisement ne viendra pas de la politique Gironde un jeune pompier volontaire avoue une trentaine d’incendies Grippe aviaire 10 600 canards abattus dans un élevage de l’Ain Poursuivez votre lecture sur ces sujets Russie Ukraine Pétrole et gaz naturel - Secteur primaire Carburant diesel Norvège États-Unis Pays-Bas Arabie Saoudite Donald Trump On reproche souvent aux français de ne pas faire preuve d'assez d'hospitalité vis à vis de l'accueil des réfugiés à leur domicile mais pour avoir trav ...Lire plus
Quatremois plus tard, ce n’est pas trop la fête dans le milieu de la recherche océanographique française. Car entre-temps, la Russie a
A Gaza, le prix de l'essence est l'un des plus élevés du Moyen-Orient et la population l'une des plus pauvres. Pour remédier à cette crise, Mahmoud al-Kafarneh et ses frères ont eu une idée faire brûler des bouteilles de plastique pour en extraire du solution économique et pratique, comme il y en a beaucoup dans l'enclave sous strict blocus israélien depuis 15 ans, mais qui représente aussi une potentielle "catastrophe" environnementale et sanitaire, s'alarment les un terrain poussiéreux de Jabalia, dans le nord frontalier d'Israël, Mahmoud allume des bûches sous une cuve métallique remplie d'une tonne de plastique afin de distiller le pétrole qui le cuve -recouverte de boue pour conserver la chaleur- est reliée à un tuyau faisant passer ces émanations dans un réservoir d'eau qui condense la vapeur et la refroidit pour obtenir un carburant "Made in Gaza", non sans causer des fumées noirâtres et travailleur palestinien trie des produits en plastique dans un atelier dans le nord de la bande de Gaza, le 23 août 2022 / AFP "Nous avons commencé nos expérimentations en 2018. Nous cherchions sur internet. Nous avons fait beaucoup d'essais et d'erreurs et, après huit mois de tests, nous avons réussi à extraire notre premier carburant", explique Mahmoud, 25 cuvée produit près de litres de carburant, dit-il à l'AFP. Mais entre chaque opération, son équipe doit attendre huit heures pour que le réservoir se refroidisse puis soit nettoyé. Le plastique y fond à plus de 200 degrés, selon Mahmoud."Notre méthode est vraiment rudimentaire avec uniquement des équipements locaux. L'extraction dure de 12 à 14 heures", employés portent gants et masques et d'autres non. "Il n'y a pas de risques et cette zone, industrielle, n'est pas habitée", soutient Mahmoud. Mais Ahmed Hillis, directeur de l'Institut national pour l'environnement et le développement à Gaza, s'alarme lui d'un phénomène "catastrophique" car dépourvu de tout ouvrier palestinien prépare le plastique avant de la faire fondre pour en extraire du pétrole dans un atelier dans la bande de Gaza, le 23 août 2022 / AFP "La méthode utilisée est rudimentaire et nuit beaucoup aux travailleurs", explique-t-il à l'AFP, notamment en raison de l'inhalation de gaz toxiques. Et le réservoir, rouillé, est "une bombe à retardement car il peut finir par exploser" sous la chaleur, à Gaza, micro-territoire peuplé de 2,3 millions de Palestiniens, l'enjeu sanitaire se fait doubler par la réalité "Moitié prix" -Contrôlée par les islamistes du Hamas depuis 2007, la bande de Gaza a une économie exsangue. Le taux de chômage avoisine 50% et le salaire horaire moyen avoisine les deux le litre de fioul acheminé depuis Israël est passé autour de 2,45 euros dans le sillage de la guerre en Ukraine, la situation est devenue difficilement le carburant artisanal de Mahmoud a fait tourner bien des têtes. Sur le port de Gaza, Abd al-Muti al-Habil, 23 ans, l'utilise pour remplir le réservoir de son ouvrier palestinien verse du carburant produit par du plastique dans la bande de Gaza, le 23 août 2022 / AFP "Elle coûte la moitié du prix de son équivalent israélien. Elle n'a aucun défaut, elle est de même qualité, n'affecte pas le moteur et a même un rendement élevé", dit-il à l' nuit ou presque, les pêcheurs partent pour des heures en Méditerranée à bord de rafiots tractés par des moteurs. "Nous avons besoin d'environ 900 litres de fioul par jour et je ne peux pas compter sur le carburant venu d'Israël car il coûte trop cher. Malheureusement, les quantités de carburant artisanal livrées ne suffisent pas. Je ne reçois que 500 litres tous les deux jours", Glaneurs de plastique -Bercée par la Méditerranée mais sans capacités suffisantes de désalinisation, Gaza est le royaume des bouteilles d'eau en plastique. Dans un garage de l'est de la ville de Gaza, des hommes trient des piles de plastique de plusieurs mètres de haut, glanées dans les rues avant d'être transformées par Mahmoud réservoir relié à une cuve permet l'extraction de carburant de produits en plastique dans la bande de Gaza, le 23 août 2022 / AFP "Nous achetons le plastique, le trions et le broyons dans une machine pour le rendre doux comme des grains de riz. Puis nous l'emballons dans des sacs et le revendons", détaille l'un d'eux, Imad cette machine aussi à besoin d'énergie. Or à Gaza, l'unique centrale ne suffit pas pour répondre à la demande et les pannes d'électricité s'étirent sur 11 heures par jour."On s'arrête quand le courant coupe. On doit travailler la nuit parfois, s'il y a de l'électricité", soupire-t-il. Et pour alimenter en fioul la centrale de Gaza, le petit atelier de Mahmoud et ses frères ne suffit définitivement pas.
Surun litre de sans-plomb 95 vendu 1,50 €, la fiscalité dépasse 57 % (TVA et TICPE), selon le ministère de l’Economie. Au Pas-de-la-Case, où la fiscalité est plus basse, le litre de
Publié26 août 2022, 0924GazaIl brûle du plastique pour en extraire du carburant pas cherLe blocus israélien combiné à la guerre en Ukraine a fait s’envoler le prix du baril. L’essence artisanale Made in Gaza» devient essentielle pour la population. Les gaz toxiques seraient dangereux pour les travailleurs selon les experts. AFPA Gaza, le prix de l’essence est l’un des plus élevés du Moyen-Orient et la population l’une des plus pauvres. Pour remédier à cette crise, Mahmoud al-Kafarneh et ses frères ont eu une idée faire brûler des bouteilles de plastique pour en extraire du carburant. Une solution économique et pratique, comme il y en a beaucoup dans l’enclave sous strict blocus israélien depuis 15 ans, mais qui représente aussi une potentielle catastrophe» environnementale et sanitaire, s’alarment les un terrain poussiéreux de Jabalia, dans le nord frontalier d’Israël, Mahmoud allume des bûches sous une cuve métallique remplie d’une tonne de plastique afin de distiller le pétrole qui le compose. La cuve – recouverte de boue pour conserver la chaleur – est reliée à un tuyau faisant passer ces émanations dans un réservoir d’eau qui condense la vapeur et la refroidit pour obtenir un carburant Made in Gaza», non sans causer des fumées noirâtres et toxiques. Nous avons commencé nos expérimentations en 2018. Nous cherchions sur internet. Nous avons fait beaucoup d’essais et d’erreurs et, après huit mois de tests, nous avons réussi à extraire notre premier carburant», explique Mahmoud, 25 cuvée produit près de 1000 litres de carburant, dit-il à l’AFP. Mais entre chaque opération, son équipe doit attendre huit heures pour que le réservoir se refroidisse puis soit nettoyé. Le plastique y fond à plus de 200 degrés, selon Mahmoud. Notre méthode est vraiment rudimentaire avec uniquement des équipements locaux. L’extraction dure de 12 à 14 heures», toxiquesCertains employés portent gants et masques et d’autres non. Il n’y a pas de risques et cette zone, industrielle, n’est pas habitée», soutient Mahmoud. Mais Ahmed Hillis, directeur de l’Institut national pour l’environnement et le développement à Gaza, s’alarme lui d’un phénomène catastrophique» car dépourvu de tout contrôle. La méthode utilisée est rudimentaire et nuit beaucoup aux travailleurs», explique-t-il à l’AFP, notamment en raison de l’inhalation de gaz toxiques. Et le réservoir, rouillé, est une bombe à retardement car il peut finir par exploser» sous la chaleur, ajoute-t-il. Mais à Gaza, micro-territoire peuplé de 2,3 millions de Palestiniens, l’enjeu sanitaire se fait doubler par la réalité plastique est trié avant d’être fondu. AFPMoitié prix»Contrôlée par les islamistes du Hamas depuis 2007, la bande de Gaza a une économie exsangue. Le taux de chômage avoisine 50% et le salaire horaire moyen avoisine les deux euros. Quand le litre de fioul acheminé depuis Israël est passé autour de 2,45 euros dans le sillage de la guerre en Ukraine, la situation est devenue difficilement le carburant artisanal de Mahmoud a fait tourner bien des têtes. Sur le port de Gaza, Abd al-Muti al-Habil, 23 ans, l’utilise pour remplir le réservoir de son bateau. Elle coûte la moitié du prix de son équivalent israélien. Elle n’a aucun défaut, elle est de même qualité, n’affecte pas le moteur et a même un rendement élevé», dit-il à l’AFP. Chaque nuit ou presque, les pêcheurs partent pour des heures en Méditerranée à bord de rafiots tractés par des moteurs. Nous avons besoin d’environ 900 litres de fioul par jour et je ne peux pas compter sur le carburant venu d’Israël car il coûte trop cher. Malheureusement, les quantités de carburant artisanal livrées ne suffisent pas. Je ne reçois que 500 litres tous les deux jours», de plastiqueBercée par la Méditerranée mais sans capacités suffisantes de désalinisation, Gaza est le royaume des bouteilles d’eau en plastique. Dans un garage de l’est de la ville de Gaza, des hommes trient des piles de plastique de plusieurs mètres de haut, glanées dans les rues avant d’être transformées par Mahmoud Al-Kafarneh. Nous achetons le plastique, le trions et le broyons dans une machine pour le rendre doux comme des grains de riz. Puis nous l’emballons dans des sacs et le revendons», détaille l’un d’eux, Imad cette machine aussi à besoin d’énergie. Or à Gaza, l’unique centrale ne suffit pas pour répondre à la demande et les pannes d’électricité s’étirent sur 11 heures par jour. On s’arrête quand le courant coupe. On doit travailler la nuit parfois, s’il y a de l’électricité», soupire-t-il. Et pour alimenter en fioul la centrale de Gaza, le petit atelier de Mahmoud et ses frères ne suffit définitivement pas.AFP
PRIXDES CARBURANTS, DE QUOI PARLE-T-ON ? Le prix des carburants est une source majeure de tensions pour les salariés français. Sous le double choc de la hausse du baril de pétrole sur les marchés mondiaux et de l’alourdissement de la fiscalité écologique, le gazole a bondi de 23 % sur un an et l’essence de 15 %, tandis que le pouvoir d’achat a baissé en moyenne de 0,6 % sur le
MaisAndorre, qui connaît aussi une hausse régulière des prix du carburant (1,35 euro/litre de SP95 et 1,20 euro/litre de gazole en janvier) n’a
ViaMichelinvous facilite la tâche. Pour vous aider à maîtriser vos coûts de déplacement, ViaMichelin vous indique le prix des carburants de plus de 9700 stations-services en France. Des tarifs mis à jour quotidiennement sur le site et l’application, de quoi faire jouer la concurrence. Voici comment procéder :
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