Conseilsde rĂ©daction pour sa lettre de motivation. Pour bien valoriser votre dossier de candidature, vous adapterez notre modĂšle de lettre de motivation pour intĂ©grer une licence HG afin qu'il corresponde Ă  votre parcours d'Ă©tudes, vos meilleurs atouts, vos qualitĂ©s et vos ambitions professionnelles. Vous pouvez mettre en avant votre Objectif Savoir quels rĂŽles jouent les mĂ©moires dans la construction de l’histoire. Savoir comment l’historien utilise le mĂ©moire pour connaĂźtre le passĂ©. Points clĂ©s Le passĂ© peut se rappeler aux sociĂ©tĂ©s sous un aspect subjectif, Ă©motionnel et sĂ©lectif, c’est ce que l’on appelle la mĂ©moire ou plutĂŽt les mĂ©moires d’un Ă©vĂ©nement. Au cours du XXe siĂšcle, l’utilisation de la mĂ©moire par les historiens est devenue un enjeu majeur dans la connaissance de l’histoire. 1. Histoire et mĂ©moire, deux outils pour transmettre le passĂ© a. La mĂ©moire, les mĂ©moires un passĂ© qui ne passe pas Le passĂ© peut se rappeler aux sociĂ©tĂ©s sous un aspect subjectif, Ă©motionnel et sĂ©lectif, c’est ce que l’on appelle la mĂ©moire ou plutĂŽt les mĂ©moires d’un Ă©vĂ©nement. Il y a autant de mĂ©moires que de groupes d’individus, et cette vision du passĂ© ne retient que des fragments de l'Ă©vĂ©nement selon l’intĂ©rĂȘt, l’enjeu ou l’émotion suscitĂ©e. Certaines mĂ©moires vivantes de guerres et de conflits ont disparu avec la mort des derniers survivants. C’est le cas des tĂ©moins de la PremiĂšre Guerre mondiale. Pour ce qui est de la Seconde, les derniers tĂ©moins sont en train de disparaĂźtre Ă  leur tour. BientĂŽt, le tĂ©moignage direct de ce conflit aura disparu. Pour que la mĂ©moire se perpĂ©tue des commĂ©morations sont organisĂ©es autour de lieux de mĂ©moire. Elles prennent l’aspect de cĂ©rĂ©monies officielles dans lequel se retrouvent des responsables politiques, des reprĂ©sentants de la sociĂ©tĂ© civile unis dans le devoir de mĂ©moire. Ces moments mĂ©moriels se dĂ©roulent autour de lieux de mĂ©moires qui cĂ©lĂšbrent le passĂ© et rendent hommage aux victimes. La France et l’Europe comportent de nombreux lieux de mĂ©moire qui sont autant de cicatrices mal refermĂ©es desquelles s’échappent les cris des disparus. Exemple En rĂ©gion parisienne, Le Mont ValĂ©rien, oĂč de nombreux rĂ©sistants ont Ă©tĂ© fusillĂ©s par les nazis, est devenu un lieu de mĂ©moire. La cĂ©lĂ©bration des mĂ©moires peut donner lieu Ă  des conflits mĂ©moriels. Avec la multiplication des mĂ©moires, des groupes s’opposent et accusent les autoritĂ©s ou les mĂ©dias de favoriser une mĂ©moire plutĂŽt qu’une autre. b. L'histoire la science face Ă  l'Ă©tude du passĂ© Le passĂ© peut ĂȘtre Ă©tudiĂ© de maniĂšre plus objective et scientifique, sans prendre parti, en Ă©tudiant l'Ă©vĂ©nement dans sa globalitĂ©. Cette Ă©tude du passĂ© s’appelle l’Histoire. Cela reste difficile car la discipline historique est une science humaine et reste confrontĂ©e Ă  la sensibilitĂ© du chercheur. L’historien se nourrit pour construire son rĂ©cit des mĂ©moires. Elles constituent un tĂ©moignage prĂ©cieux, direct et sensible. Il joue le rĂŽle de collecteurs de mĂ©moires. Celles-ci constituent un document historique qui vient s’ajouter aux autres outils qui permettent au chercheur d’écrire l’histoire comme les archives par exemple. Toutefois cette source utilisĂ©e pour connaĂźtre le passĂ© est bien plus sensible car elle est subjective. En effet, il s’agit de transformer des tĂ©moignages souvent difficiles de survivants ou de tĂ©moins des menĂ©es gĂ©nocidaires du XXe siĂšcle en un rĂ©cit objectif et prĂ©cis. Ainsi, dans son documentaire Shoah 1985, Claude Lanzmann collecte plus de 9 heures de tĂ©moignages sur les survivants et les tĂ©moins de la Shoah dans l’Est de l’Europe. Il recueille les mĂ©moires des derniers tĂ©moins en 1979, avant leur disparition. Les historiens doivent utiliser cette documentation pour faire progresser la connaissance scientifique du gĂ©nocide des juifs de l’est-europĂ©en, comme ceux de Pologne, dont 99 % de la population a disparu. Ces deux modes de connaissances du passĂ© se croisent, se nourrissent l’une et l’autre et parfois s’opposent. Shoah Terme hĂ©breu signifiant catastrophe », utilisĂ© en France depuis un documentaire de Jacques Lanzmann en 1985 ; il Ă©voque le gĂ©nocide subi par les Juifs pendant la seconde guerre mondiale. On estime entre 5 et 6 millions le nombre de morts. D’autres mots sont aussi employĂ©s pour cette tragĂ©die holocauste, gĂ©nocide juif, solution finale. 2. Les violences de masse et les pratiques gĂ©nocidaires du XXe siĂšcle L’utilisation de la mĂ©moire par les historiens est devenue un enjeu majeur dans la connaissance de l’histoire au XXe siĂšcle. La multiplication des massacres de masses, la brutalisation des forces armĂ©es pendant les guerres mondiales et les trois gĂ©nocides reconnus du siĂšcle font de la mĂ©moire un tĂ©moignage, un outil de connaissance du passĂ© en donnant la parole aux victimes et aux tĂ©moins. Les populations civiles paient un lourd tribut lors des guerres et conflits. La guerre n’est plus uniquement rĂ©servĂ©e aux militaires mais se tournent contre les populations non combattantes. Elles deviennent un enjeu et une cible pour les gouvernements. La terreur devient une arme, il s’agit de frapper Ă©galement des cibles civiles afin d’écraser l’adversaire et ce qu’il reprĂ©sente. Des groupes entiers sont visĂ©s, la notion de crimes gĂ©nocidaires apparaĂźt avant mĂȘme la PremiĂšre Guerre mondiale. GĂ©nocide Massacre systĂ©matique d'un peuple pour l'Ă©liminer totalement. a. Le massacre des HĂ©rĂ©ros et des Namas Les HĂ©rĂ©ros et Namas sont les premiĂšres victimes de pratiques gĂ©nocidaires menĂ©es par les Allemands dans l’actuelle Namibie, lors de la conquĂȘte coloniale. En 1904 les colons et l’armĂ©e allemande rencontrent une forte rĂ©sistance des populations locales dans leur entreprise de spoliation de territoires et d’exploitation des ressources du pays. La violence de l’armĂ©e se traduit par des massacres de masse Ă  l’encontre des populations qui aboutit Ă  l’extermination d’environ 80 % du groupe hĂ©rĂ©ros et 50 % de l’ethnie Namas. Ces groupes meurent par les armes, la faim et les mauvais traitements. Les Allemands massacrent sans distinction enfants, hommes et vieillards. Des camps de concentration sont créés pour parquer les populations et en rĂ©duire le nombre. Des mĂ©decins pratiquent des expĂ©riences mĂ©dicales qui annoncent la barbarie nazie dans les camps du IIIe Reich. Le tout est guidĂ© par une idĂ©ologie racialiste qui perçoit ces groupes comme des indigĂšnes non civilisĂ©s et infĂ©rieurs aux peuples europĂ©ens. C’est un avant-goĂ»t des actions gĂ©nocidaires Ă  venir. b. La PremiĂšre Guerre mondiale et le concept de brutalisation des sociĂ©tĂ©s La premiĂšre partie du XXe siĂšcle est marquĂ©e par la guerre moderne, celle qui touche les populations civiles en ayant recours Ă  des outils industriels. La PremiĂšre Guerre mondiale inaugure un cycle de violences qui se perpĂ©tue tout au long du siĂšcle. Plus de dix millions de personnes meurent dans ce conflit, appelĂ© dans les annĂ©es 1920 la Grande Guerre. Jamais dans l’histoire un affrontement armĂ© n'a Ă©tĂ© aussi violent et meurtrier. Les armĂ©es, emportĂ©es dans une spirale meurtriĂšre, utilisent tous les moyens disponibles pour annihiler l’adversaire. Celui-ci est dĂ©shumanisĂ© par la propagande, taillĂ© en piĂšce par l’armement, humiliĂ© dans la dĂ©faite. Les historiens utilisent le terme de brutalisation ou de barbarisation pour qualifier cette violence anormale, mĂȘme en temps de guerre. La Grande Guerre constitue un moment de violence inĂ©dit dans l’histoire des conflits puisque c’est en pleine guerre que les Ottomans entreprennent d’attaquer les populations armĂ©niennes de l’Empire. ConsidĂ©rĂ©es comme proches des occidentaux, les chrĂ©tiens d’ArmĂ©nie sont la cible d’exactions et de massacres de masse par les turcs Ă  partir de 1915. AssassinĂ©s, dĂ©portĂ©s dans des rĂ©gions dĂ©sertiques ou les civils meurent de faim et de soif, prĂšs d’un million de personnes sont assassinĂ©es alors que dans le mĂȘme temps, les soldats meurent en masse dans les tranchĂ©es qui s’étirent de l’Europe occidentale au front d’Orient. c. La Seconde Guerre mondiale, une guerre d'anĂ©antissement La Seconde Guerre mondiale marque l’apogĂ©e des actions gĂ©nocidaires commis contre les civils. Les populations deviennent la cible des systĂšmes totalitaires. Ces rĂ©gimes implacables s’engagent dans des massacres sans nom emportĂ©s dans leur idĂ©ologie destructrice et profitant du chaos de la guerre pour transgresser toutes les rĂšgles internationales. Avec l’invasion de l’Est de l’Europe, le rĂ©gime criminel nazi mĂšne des opĂ©rations de grande ampleur qui ont pour but de faire disparaĂźtre des groupes entiers de population. Les Slaves, les Tziganes et les Juifs deviennent des groupes cibles vers lesquelles se concentrent des actions d’une violence extrĂȘme. À la confĂ©rence de Wannsee, en janvier 1942, les responsables nazis dĂ©cident de la solution finale du problĂšme juif ». La dĂ©cision est prise de faire disparaĂźtre l’intĂ©gralitĂ© de la population juive europĂ©enne. Le plus grand gĂ©nocide de l’histoire se met en marche, les populations civiles sont mĂ©ticuleusement exterminĂ©es en suivant un processus industriel. C’est la Shoah, qui massacre par balles, par gaz, par la privation de nourriture plus de 6 millions de personnes en l’espace de 6 ans. 3. Juger, condamner et rĂ©parer le rĂŽle de la justice internationale Les actions gĂ©nocidaires depuis 1945 et les procĂšs de Nuremberg qui condamnent les responsables du IIIe Reich pour crimes de guerre et crimes contre l’humanitĂ© retiennent dĂ©sormais l’attention de la communautĂ© internationale. Dignitaires nazis lors des ProcĂšs de Nuremberg, 1945-1946 © Look and Learn / Bridgeman Images En 1993 et 1994, le gĂ©nocide Tutsi et les crimes de masse commis par les Serbes de Bosnie contre les musulmans ont rĂ©activĂ© la gouvernance judicaire mondiale. Deux tribunaux internationaux se mettent en place le TPIY Tribunal pĂ©nal international pour la Yougoslavie et le TPIR Tribunal pĂ©nal international pour le Rwanda. Les responsables sont jugĂ©s et certains sont condamnĂ©s Ă  l’image de Mladik ou de Milosevic, commanditaires serbes de massacres commis contre les civils. Pour le Rwanda les organisateurs du gĂ©nocide sont poursuivis, Ă  l’image de Kabunga, qui a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© en 2020 en rĂ©gion parisienne prĂšs de 25 ans aprĂšs la fin de la guerre civile rwandaise. Le retour de la paix est particuliĂšrement difficile dans le cadre des nouvelles conflictualitĂ©s. Si, au cours du XXe siĂšcle, des armistices suivis de confĂ©rences pour la paix permettaient d’ouvrir une nouvelle Ăšre de stabilitĂ©, la situation a changĂ©. Face Ă  la difficultĂ© d’identifier des acteurs, de les rĂ©unir, de satisfaire des revendications, le retour Ă  la paix n’est pas aisĂ©. Elle nĂ©cessite des trĂ©sors de diplomatie, des concessions souvent trop importantes, l’interventions des organisations de la gouvernance mondiale et des acteurs rĂ©gionaux. RĂ©unir des acteurs institutionnels et des groupes protĂ©iformes est trĂšs complexe car les intĂ©rĂȘts de chacun divergent. Ainsi, dans le cas de l’ex-Yougoslavie, les haines sĂ©culaires entre les groupes ne peuvent s’éteindre si aisĂ©ment. Pour garantir le retour Ă  la paix, des troupes d’interposition onusienne restent prĂ©sentent au Kosovo. Les Serbes n’ayant pas acceptĂ© l’indĂ©pendance de cet État, la tension est persistante. Au Rwanda, le million de morts rend long et difficile le retour Ă  la paix, les cicatrices et les mĂ©moires restent vives. La rĂ©conciliation sera longue et le risque d’un retour des conflictualitĂ©s reste bien rĂ©el. Vous avez dĂ©jĂ  mis une note Ă  ce cours. DĂ©couvrez les autres cours offerts par Maxicours ! DĂ©couvrez Maxicours Comment as-tu trouvĂ© ce cours ? Évalue ce cours ! Fiche de cours VidĂ©os Profs en ligne Jidentifie dans le document des informations, des allusions Ă  j’explique par mes connaissances (n’hĂ©sitez pas Ă  en faire une analyse critique et Ă  montrer les limites du/des documents).. Si deux documents sont proposĂ©s, vous devez les confronter : identifiez et expliquez les liens, les points communs et les diffĂ©rences 04h48 Les Nuits de France Culture carrĂ© Les Nuits de France Culture Pierre Reverdy "La poĂ©sie est dans la transmutation des choses opĂ©rĂ©e par la vertu des mots"06h20 Les Nuits de France Culture carrĂ© Les Nuits de France Culture Rencontre entre le peintre Georges Braque et le poĂšte Pierre Reverdy06h30 Les Nuits de France Culture carrĂ© Les Nuits de France Culture Rencontre sur la poĂ©sie entre Pierre Reverdy, AndrĂ© Breton et Francis Ponge07h00 Les Matins d'Ă©tĂ© Les Matins Par Nicolas Herbeaux, Jean Leymarie Chine un gĂ©ant Ă©conomique vulnĂ©rable / Joni Mitchell, une icĂŽne folk et rĂ©voltĂ©e Afficher les chroniques 09h00 Marcel Proust, cousu main, une grande traversĂ©e signĂ©e Christine Lecerf et rĂ©alisĂ©e par Anne Perez Franquini Grande TraversĂ©e Marcel Proust, cousu main 1. Marcel Proust, le manteau des apparences 10h00 MĂ©caniques MĂ©caniques de la politique Par Elise Karlin MĂ©caniques de la politique François Hollande face au terrorisme islamiste 5/4 François Hollande face au terrorisme islamiste11h00 La culture change le monde carrĂ© La culture change le monde Les Ɠuvres d'art qui ont changĂ© le monde 1/5 Les raisins de Zeuxis12h00 La SĂ©rie musicale La SĂ©rie musicale Par Fred Charbaut, Didier Varrod, Romain Boulet, David Unger, Simon Rico, Sophian Fanen Françoise Hardy, messages personnels 1/5 MĂ©lancolie yĂ©yĂ©12h30 Journal de 12h30 Journal de 12h30 GĂ©rald Darmanin veut durcir l'attribution de la nationalitĂ© française aux enfants nĂ©s Ă  Mayotte12h45 La Grande Table d'Ă©tĂ© La Grande Table d'Ă©tĂ© Lionel Baier & Isabelle CarrĂ©, Ă  la dĂ©rive ?13h30 Les Pieds sur terre carrĂ© Les Pieds sur terre Louanne et les motards contre le harcĂšlement scolaire 14h00 Affaires culturelles carrĂ© Affaires culturelles CĂ©dric Klapisch "J'aime la danse parce que je ne la comprends pas"14h42 Le Feuilleton Le Feuilleton "Vie et Destin" de Vassili Grossman 36/60 Cause commune15h00 Sans oser le demander carrĂ© Sans oser le demander Antonin CarĂȘme, savant-fou de la pĂątisserie ? 16h00 EurĂȘka ! EurĂȘka ! Animal domestique nom d'un chien !17h00 LSD LSD, la sĂ©rie documentaire Les champignons sortent du bois 1/4 Champignons, vos papiers !18h00 Journal de 18h Journal de 18h La Russie accuse l'Ukraine d'avoir tuĂ© la fille d'un idĂ©ologue rĂ©putĂ© proche du Kremlin18h15 Le temps du dĂ©bat Ă©tĂ© Le Temps du dĂ©bat d'Ă©tĂ© Par Quentin Lafay Erdogan un nouvel agent de la paix internationale ? 19h00 MĂ©caniques MĂ©caniques de la politique Par Elise Karlin MĂ©caniques de la politique François Hollande face au terrorisme islamiste 5/4 François Hollande face au terrorisme islamiste20h00 A voix nue À voix nue Marceline Loridan-Ivens, l'intĂ©grale en cinq entretiens 1/5 "Je suis nĂ©e tout de suite rousse, gauchĂšre et juive !"20h30 La SĂ©rie musicale La SĂ©rie musicale Par Fred Charbaut, Didier Varrod, Romain Boulet, David Unger, Simon Rico, Sophian Fanen Françoise Hardy, messages personnels 1/5 MĂ©lancolie yĂ©yĂ©21h00 Marcel Proust, cousu main, une grande traversĂ©e signĂ©e Christine Lecerf et rĂ©alisĂ©e par Anne Perez Franquini Grande TraversĂ©e Marcel Proust, cousu main 1. Marcel Proust, le manteau des apparences22h00 La culture change le monde carrĂ© La culture change le monde Les Ɠuvres d'art qui ont changĂ© le monde 1/5 Les raisins de Zeuxisdirect EurĂȘka ! EurĂȘka ! Animal domestique nom d'un chien !00h02 Les Nuits de France Culture carrĂ© Les Nuits de France Culture Vidor, Chaplin, Cocteau et Lubitsch le cinĂ©ma des annĂ©es 30 Ă  travers les revues de cinĂ©ma00h35 Les Nuits de France Culture carrĂ© Les Nuits de France Culture Profils - LĂ©o FerrĂ© 1/4 1Ăšre diffusion 04/01/197101h05 Les Nuits de France Culture carrĂ© Les Nuits de France Culture 14-18 Magazine mensuel de la PremiĂšre Guerre mondiale - Les mutineries avril-septembre 1917 1Ăšre diffusion 29/04/196703h05 Les Nuits de France Culture carrĂ© Les Nuits de France Culture 04h41 Les Nuits de France Culture carrĂ© Les Nuits de France Culture
LescapacitĂ©s sollicitĂ©es en bac pro III. L’évaluation . I- Les Ă©preuves . Les consignes BTS : PremiĂšre partie : SynthĂšse / 40 points Vous rĂ©digerez une synthĂšse objective, concise et ordonnĂ©e des documents suivants : Bac pro : Évaluation des compĂ©tences de lecture (10 points) 2016 PrĂ©sentation du corpus Question n°1 : PrĂ©sentez le corpus en trois Ă  six
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Unvieux monsieur qui n’a jamais pu raconter son passĂ©. Avant de s’éteindre, il demande Ă  Claire, sa voisine, de devenir sa voix et de transmettre son histoire, son terrible secret. Ce
SĂ©ries technologiques On sait, en effet, que la notion d'humanitĂ©, englobant, sans distinction de race ou de civilisation, toutes les formes de l'espĂšce humaine, est d'apparition fort tardive et d'expansion limitĂ©e. LĂ  mĂȘme oĂč elle semble avoir atteint son plus haut dĂ©veloppement, il est nullement certain - l'histoire rĂ©cente le prouve - qu'elle soit Ă©tablie Ă  l'abri des Ă©quivoques ou des rĂ©gressions. Mais, pour de vastes fractions de l'espĂšce humaine et pendant des dizaines de millĂ©naires, cette notion apparaĂźt totalement absente. L'humanitĂ© cesse aux frontiĂšres de la tribu, du groupe linguistique, parfois mĂȘme du village ; Ă  tel point qu'un grand nombre de populations dites primitives se dĂ©signent d'un nom qui signifie les "hommes" ou parfois - dirons- nous avec plus de discrĂ©tion "les bons", "les excellents", "les complets, impliquant ainsi que les autres tribus groupes ou villages ne participent pas des vertus - ou mĂȘme de la nature humaine, mais sont tout au plus composĂ©s de "mauvais", de "mĂ©chants", de "singes de terre" ou "d'Ɠufs de pou" [....]. Dans les Grandes Antilles, aprĂšs la dĂ©couverte de l'AmĂ©rique, pendant que les Espagnols envoyaient des commissions d'enquĂȘte pour rechercher si les indigĂšnes possĂ©daient ou non une Ăąme, ces derniers s'employaient Ă  immerger des blancs prisonniers afin de vĂ©rifier par une surveillance prolongĂ©e si leur cadavre Ă©tait ou non, sujet Ă  la putrĂ©faction. Cette anecdote Ă  la fois baroque et tragique illustre bien le paradoxe du relativisme culturel que nous retrouverons ailleurs sous d'autres formes c'est dans la mesure mĂȘme oĂč l'on prĂ©tend Ă©tablir une discrimination entre les cultures et les coutumes que l'on s'identifie le plus complĂštement avec celles qu'on essaye de nier. En refusant l'humanitĂ© Ă  ceux qui apparaissent comme les plus "sauvages" ou les plus "barbares" de ses reprĂ©sentants, on ne fait que leur emprunter une de leur attitude typique. Le barbare c'est celui qui croit Ă  la barbarie. Claude LĂ©vi-Strauss, Race et histoire 1961 Pour expliquer ce texte vous rĂ©pondrez aux questions suivantes qui sont destinĂ©es principalement Ă  guider votre rĂ©daction. Elles ne sont pas indĂ©pendantes les unes des autres et demandent que le texte soit d'abord Ă©tudiĂ© dans son ensemble. DĂ©gagez l’idĂ©e principale du texte et les Ă©tapes de l’argumentation.​ a Comment expliquer que la notion d'humanitĂ© soit d'inspiration tardive ? b Qu'est-ce qui entrave sa prise en compte? Peut-on dire que le comportement des Espagnols et des AmĂ©rindiens illustre la notion de relativisme culturel. Commentez la derniĂšre phrase du texte " Le barbare c'est d'abord celui qui croit Ă  la barbarie". Portrait d'une femme du peuple Hamar, Ethiopie de Pascal Mannaerts 09/11/2012 CORRIGE Remarques gĂ©nĂ©rales ● Le sujet-texte ne doit pas ĂȘtre choisi par "dĂ©faut". Ce n'est pas parce qu'il y a un texte prĂ©cĂ©dant un questionnement que l'exercice serait plus facile que la dissertation. Le sujet-texte exige d'avoir des connaissances philosophiques et des compĂ©tences argumentatives. Sans cela l'Ă©lĂšve court Ă  la fois le risque de paraphraser le texte sans vĂ©ritablement le comprendre, et de rester au niveau de l'opinion non critique pour ce qui est du commentaire du texte. ● L'objectif de l'exercice est d'expliquer et de commenter de façon rigoureuse et mĂ©thodique un texte philosophique. ● Il est important d'ĂȘtre rigoureux et mĂ©thodique dans cet exercice. Le premier moment de la lecture mĂ©thodique consiste Ă  dĂ©gager une grille de comprĂ©hension globale du texte. A. ComprĂ©hension globale du texte 1. DĂ©gagez l'idĂ©e principale du texte et les Ă©tapes de l'argumentation. ThĂšme la barbarie Question posĂ©e par le texte Qu'est-ce qu'un barbare . ThĂšse Le barbare c'est celui qui croit Ă  la barbarie. Le barbare n'est pas l'homme dĂ©pourvu de toute culture qui vivrait dans un Ă©tat proche de l'animalitĂ© opinion commune, le barbare c'est l'homme qui utilise l'argument de la diffĂ©rence culturelle pour exclure l'autre de l'humanitĂ©. Étapes de l'argumentation plan du texte Le texte se divise en trois parties - 1° partie lignes 1 Ă  7 - L'histoire montre que rien n'est moins Ă©vident que l'universalitĂ© de l'idĂ©e d'humanitĂ©. L'idĂ©e d'une humanitĂ© universelle est rĂ©cente, relative Ă  certains groupes humains, elle est fragile et peut toujours ĂȘtre remise en question. - 2° partie lignes 7 Ă  17 - DĂ©finition de l'ethnocentrisme. C. LĂ©vi-Strauss prend en exemple la rencontre des Espagnols et des AmĂ©rindiens XV° siĂšcle. - 3° partie lignes 18 Ă  24 - ThĂšse du texte Le relativisme culturel la diversitĂ© des cultures peut conduire paradoxalement Ă  la barbarie. DĂ©finition de la barbarie. B. Explication dĂ©taillĂ©e du texte 2. a Comment expliquer que la notion d'humanitĂ© soit d'inspiration tardive ? b Qu'est-ce qui entrave sa prise en compte? - a La notion d'humanitĂ© est d'inspiration tardive. L'histoire montre que les groupes humains ont vĂ©cu pendant des siĂšcles, isolĂ©s, repliĂ©s sur eux-mĂȘmes, pensant qu'ils Ă©taient les seuls reprĂ©sentants de l'humanitĂ©. Ils ont ainsi construit des dĂ©finitions de l'humanitĂ© Ă  partir de leur propre expĂ©rience et de la reprĂ©sentation qu'ils se faisaient d'eux mĂȘmes. C'est le dĂ©veloppement des Ă©changes sur l'ensemble de la planĂšte qui a permis que la construction de la notion d'humanitĂ© que nous connaissons aujourd'hui. - b Ce qui constitue un obstacle Ă  la construction d'une notion universelle d'humanitĂ© c'est le constat de la diversitĂ© des cultures. Les valeurs, les coutumes et les traditions, les comportements collectifs diffĂšrent selon les groupes humains. 3. Peut-on dire que le comportement des Espagnols et des AmĂ©rindiens illustre la notion de relativisme culturel. Le relativisme culturel consiste Ă  affirmer la diversitĂ© des cultures, ainsi que leur Ă©gale valeur. Que ce soient les Espagnols ou les Indiens, chacun des deux peuples est persuadĂ© d'ĂȘtre le seul reprĂ©sentant de l'humanitĂ©. Aucun des deux peuples n'envisage qu'il puisse exister une autre culture que la sienne. Ainsi confrontĂ© Ă  la diffĂ©rence de l'autre chacun cherche Ă  savoir Ă  qui ou Ă  quoi il a affaire. - Les Espagnols se demandent si les Indiens sont des hommes ou des animaux ? Pour cela il est crucial de dĂ©terminer si les Indiens ont ou non une Ăąme. - Les Indiens se demandent si les Espagnols sont des hommes ou des dieux immortels ? Pour cela il est important de savoir leur corps est sujet Ă  la putrĂ©faction comme eux ou non comme les dieux. Que ce soient les Espagnols ou les Indiens, chacun se comporte Ă  l'Ă©gard de l'autre groupe comme s'il n'appartenait pas Ă  l'humanitĂ©. Il n'est donc pas question de relativisme culturel. Si les pratiques de chacun des deux groupes peuvent nous rĂ©vulser, il ne s'agit pas de cruautĂ©. Pour nous l'assassinat et la torture sont des actes condamnables car nous mettons en oeuvre dans notre jugement une reprĂ©sentation universelle de l'homme. Des deux cĂŽtĂ©s, les victimes sont pour nous avant tout des ĂȘtres humains. Ce n'est pas le point de vue des Espagnols ou des Indiens. C. Discussion de la thĂšse du texte 4. Commentez la derniĂšre phrase du texte " Le barbare c'est d'abord celui qui croit Ă  la barbarie". La discussion ou question de rĂ©flexion 4 succĂšde aux questions de comprĂ©hension 1 et d'explication dĂ©taillĂ©e 23 du texte. Elle a pour objectif d'ouvrir une discussion ordonnĂ©e et argumentĂ©e qui prend comme point d'appui, la thĂšse dĂ©veloppĂ©e dans le texte. Il est donc nĂ©cessaire dans un premier temps, de bien comprendre le texte en dĂ©gageant la thĂšse et le plan de l'argumentation. Ce n'est qu'ensuite que l'on pourra se lancer dans le travail de rĂ©flexion et de rĂ©daction, spĂ©cifiques Ă  cette question. Il faut donc respecter impĂ©rativement l'ordre des questions. Introduction Dans l'actualitĂ© nous sommes sans cesse tĂ©moins d'actes que l'on peut qualifier de barbares. Mais qu'est-ce qu'un barbare ? Dans ce texte Claude LĂ©vi-Strauss remet en question l'opinion courante qui voudrait que le barbare soit celui qui par ses actes se place de lui-mĂȘme hors de l'humanitĂ©. Or il s'avĂšre que seuls les hommes sont capables d'actes inhumains, d'actes de barbarie. Ce dont tĂ©moigne l'histoire de l'humanitĂ©. Refuser de penser la barbarie comme trouvant son origine dans l'humanitĂ© mĂȘme c'est paradoxalement consentir Ă  la barbarie. Le barbare c'est ainsi "celui qui croit Ă  la barbarie". I. La dĂ©finition courante le barbare c'est celui qui fait preuve de brutalitĂ© ou de bestialitĂ© Claude LĂ©vi-Strauss dans son ouvrage Race et histoire, nous rappelle que l'Ă©tymologie grecque du mot barbare renvoie Ă  la confusion et Ă  l'inarticulation du chant des oiseaux par opposition au langage humain qui possĂšde lui une valeur signifiant. Par suite ce mot dĂ©signera celui qui est Ă©tranger, celui dont la langue n'est pas comprĂ©hensible. De mĂȘme le mot sauvage souvent utilisĂ© comme synonyme du mot barbare, tire son origine de sylva qui dĂ©signe ce qui vient de la forĂȘt. Le sauvage ou le barbare c'est donc celui que l'on renvoie du cĂŽtĂ© de la nature, hors de la culture et de la civilisation. De la mĂȘme façon le langage courant relie la barbarie Ă  l'animalitĂ© Ă  laquelle on associe la brutalitĂ© et la violence. Le barbare est alors celui qui, par ses actes violents, se place hors de l'humanitĂ© pour entrer dans l'animalitĂ©. II. Mais cette premiĂšre dĂ©finition n'est pas satisfaisante. Seuls les hommes commettent des actes barbares. En effet il n'existe pas, par dĂ©finition, d'homme en dehors de la culture et de la civilisation. Personne ne conteste qu'il y ait de la barbarie dans notre monde. Mais peut-on affirmer qu'il existe des ĂȘtres humains qui vivraient Ă  l'Ă©tat de nature, en dehors de toute culture ? Tous les hommes sans exception arrivent au monde dans la culture et possĂšdent une culture. La culture c'est Ă  la fois l'ensemble de valeurs et de productions qui constituent le monde dans lequel nous vivons, mais c'est aussi le processus de formation et de dĂ©veloppement qui permet Ă  tout ĂȘtre humain de rĂ©aliser ce qu'il est un ĂȘtre humain. En effet ce qui fait la spĂ©cificitĂ© de l'homme et le distingue des autres espĂšces animales, c'est que l'homme ne naĂźt pas homme, il le devient. L'homme doit apprendre Ă  ĂȘtre humain. Il reçoit son humanitĂ© en hĂ©ritage. L'hĂ©rĂ©ditĂ© ne suffit pas. Ainsi si la culture est la caractĂ©ristique de l'homme, il n'y a pas d'un cĂŽtĂ© les ĂȘtres "cultivĂ©s" ou "civilisĂ©s" et de l'autre les "barbares" ou les "sauvages". Il n'y a que des hommes. Ainsi lorsque nous attribuons Ă  l'animal des comportements tels que la cruautĂ©, ou la barbarie nous lui attribuons en fait des comportements que nous observons avant tout chez l'homme. L'animal n'est ni cruel, ni barbare. Seul l'homme est paradoxalement capable d'actes inhumains, de barbarie. III. DeuxiĂšme dĂ©finition de la barbarie "Le barbare c'est celui qui croit en la barbarie" Si le barbare est dĂ©sormais un ĂȘtre humain comme nous, nous aimerions que celui-ci soit au moins un ĂȘtre dĂ©pourvu de tout jugement et de toute raison. Ce la nous rassurerait de voir dans celui qui commet des actes de barbarie un malade, un pervers pervers, un ĂȘtre sous influence et irresponsable, ceux-lĂ  mĂȘme que mettent en scĂšne les sĂ©ries criminelles que nous voyons Ă  la tĂ©lĂ©vision. Or le barbare n'est pas dĂ©pourvu de raison ou de jugement. Bien au contraire c'est celui qui a ses raisons de refuser la diffĂ©rence culturelle de l'autre. C'est celui qui armĂ© de pseudosciences, hiĂ©rarchise les cultures et affirme la supĂ©rioritĂ© de son peuple, de son groupe sur les autres. Au nom de cette supĂ©rioritĂ© tout est alors permis, de la simple remarque raciste, au crime le plus atroce. Le barbare c'est donc avant tout "l'homme qui croit en la barbarie". IV. L'histoire de l'humanitĂ© raconte la part inhumaine de l'homme Ce que l'histoire qualifie aujourd'hui de barbarie ce sont les crimes de masse, les guerres, les gĂ©nocides, qui conduisent Ă  l'extermination de peuples entiers au seul prĂ©texte que ces peuples n'auraient pas le droit d'appartenir Ă  l'humanitĂ©. Toute l'histoire de l'humanitĂ© ne fait que raconter l'inhumanitĂ© de l'homme. On peut citer en exemple la colonisation de certains peuples par d'autres. Celle-ci a pour raison ou motivations la conquĂȘte territoriale ou Ă©conomique, le pillage des richesses des peuples soumis, mais elle se justifie par un discours fondamentalement ethnocentriste, reposant sur la supĂ©rioritĂ© de la civilisation du vainqueur. Nous pouvons aussi citer en exemple l'extermination mĂ©thodique et systĂ©matique des Tziganes et des Juifs pendant la seconde guerre mondiale. Leur seul crime pour leurs assassins et leurs bourreaux Ă©tant d'ĂȘtre ce qu'ils sont, des Tziganes ou des Juifs, ce qui les rend infĂ©rieurs aux Aryens et justifie leur anĂ©antissement. Conclusion L'humanitĂ© est donc paradoxale puisque du fait de la diversitĂ© culturelle qui nous caractĂ©rise l'inhumanitĂ© est toujours en germe dans l'humanitĂ©. Ce qui explique qu'il puisse y avoir des rĂ©gressions. Sachant que c'est un bien fragile, il ne tient donc qu'Ă  nous d'ĂȘtre vigilants et de toujours oeuvrer pour l'humanitĂ©. Mots clĂ©s barbarie,Ă©tat de nature, culture, relativisme culturel, ethnocentrisme, humanitĂ©, inhumanitĂ©.
PROGRAMMESde 1Ăšre BAC PRO ETAT et SOCIETE en FRANCE de 1830 Ă  nos jours Sujet d’étude n°1 ETRE OUVRIER EN FRANCE (1830-1975) DUREE DE LA SEQUENCE : 7h30 +
INTRODUCTION Le roman Cannibale a Ă©tĂ© Ă©crit en 1998 par Didier Daeninckx, Ă©crivain français nĂ© en 1949 et auteur d’une quarantaine de nouvelles, d’essais et de romans noirs. Il est issu d’une famille modeste, sa scolaritĂ© fut difficile et c’est Ă  l’ñge de onze ans, lors d’émeutes dans son quartier, que naĂźt chez lui l’envie d’écrire. En tant qu’auteur engagĂ©, Didier Daeninckx axera ses Ɠuvres sur la critique politique, sociale ainsi que sur la mĂ©moire du souvenir d’un passĂ© trop souvent oubliĂ©. Dans son Ɠuvre Cannibale, Didier Daeninckx nous relate un fait divers vĂ©ridique de l’histoire du peuple de Nouvelle-CalĂ©donie. GocĂ©nĂ©, vieux kanak de soixante-quinze ans, raconte ce qui s’est passĂ© lors de l’exposition coloniale de 1931. Il explique comment lui et ses amis ont Ă©tĂ© dupĂ©s, traitĂ©s et, pour une partie d’entre eux, Ă©changĂ©s contre des crocodiles. Il s’enfuira en compagnie de son ami Badimoin dans Paris afin d’essayer de retrouver sa fiancĂ©e MinoĂ© et les autres. Ce roman fait Ă©cho Ă  un autre de Didier Daeninckx Main courante oĂč il est Ă©galement question de rĂ©alitĂ©, de critique sociale, de racisme et de faits historiques oubliĂ©s. Objet-livre Le format du livre format poche est pratique car il peut ĂȘtre lu partout. Il est peu encombrant et c’est un avantage pour l’entrĂ©e en lecture. La police d’écriture est plaisante Ă  lire bien que les caractĂšres soient serrĂ©s. Quant Ă  la premiĂšre de couverture, celle-ci n’a pas spĂ©cialement favorisĂ© mon entrĂ©e en lecture. La couleur sĂ©pia fait comprendre au lecteur que l’histoire n’est pas contemporaine, le personnage nous apparaĂźt comme d’un autre temps, d’un autre monde. Le titre Cannibale interpelle le lecteur car ce mot signifie un homme mangeur d’hommes et je me suis demandĂ©e qui pouvait ĂȘtre ce personnage, je voulais en savoir plus sur lui. Tension dramatique Je n’ai pas trouvĂ© le rĂ©cit trĂšs homogĂšne au niveau du dĂ©voilement des informations. Il y a Ă©galement des irrĂ©gularitĂ©s de rythme. Le rĂ©cit dĂ©bute rapidement la vitesse», le ronronnement», les cris» le lecteur est tout de suite dans l’ambiance. Ensuite, aprĂšs la traversĂ©e en mer, il va y avoir les lumiĂšres, les voitures, les tramways, les boutiques, les affiches » qui vont dĂ©filer devant leurs yeux Ă  toute allure. Puis, un peu plus loin dans ma lecture, j’ai trouvĂ© certains passages un peu lourds car trĂšs rĂ©pĂ©titifs. Par exemple, les trajets dans Paris quasiment identiques effectuĂ©s deux fois par GocĂ©nĂ© et Badimoin alors qu’ils sont en fuite. L’auteur donne Ă  chaque fois des descriptions un peu similaires et on a un peu l’impression d’un copiĂ© collé». De plus, il y a cette peur de Badimoin d’ aller sous terre», la peur de la grotte», il n’a pas le droit d’aller sous terre». L’auteur insiste lourdement car cela est contre les traditions de leur pays, ce sont les morts qui dorment sous terre». Je trouve qu’il existe un contraste par rapport Ă  leur arrivĂ©e sur Paris oĂč ils avaient simplement longĂ© la Seine, en camion» avant d’ĂȘtre parquĂ© derriĂšre des grilles». LisibilitĂ©/complexitĂ© Le rĂ©cit est facile Ă  lire car il y a peu de lieux et peu de personnages. Le rĂ©cit dĂ©bute en Nouvelle-CalĂ©donie sans que l’on comprenne vraiment ce qui se passe. Ensuite, nous faisons connaissance avec les deux amis GocĂ©nĂ© et Badimoin, personnages attachĂ©s Ă  leur terre et Ă©galement trĂšs attachants. C’est en fait GocĂ©nĂ© qui va mener l’histoire et qui, en compagnie de son ami, va prendre d’énormes risques dans ce Paris des annĂ©es trente. Le pronom personnel je» est employĂ©, ce qui donne plus de force Ă  son rĂ©cit. C’est vraiment lui qui racontera ce voyage qui forme la jeunesse» mais il fera bien attention de cacher les atrocitĂ©s subies et pour les enfants du village, il leur invente un conte», il leur dit que c’est le pays des merveilles pour ne pas briser leurs rĂȘves». Il leur ment comme d’ailleurs on leur a menti aussi, eux qui croyaient que ce voyage Ă©tait la chance de leur vie». Le roman transmet bien le message de mensonges Ă  l’égard des kanaks, de duperie. On ne peut oublier de citer le personnage de Fofana, ce sĂ©nĂ©galais travaillant comme balayeur dans le mĂ©tro car il sauvera la vie de GocĂ©nĂ© et de Badimoin en les cachant dans son petit local. Il faut citer Ă©galement Caroz ou plus exactement Francis Caroz nous connaĂźtrons vraiment son identitĂ© entiĂšre Ă  la fin du roman qui s’était interposĂ© entre la police et GocĂ©nĂ© afin qu’il ne soit pas tuĂ©. Le fait qu’il y ait des flash-backs ne m’a pas gĂȘnĂ© dans ma lecture car l’auteur a utilisĂ© deux polices diffĂ©rentes ce qui permet donc de bien diffĂ©rencier les deux histoires parallĂšles. RĂ©alisme-vraisemblance Le roman Cannibale m’a plu pour sa totale vraisemblance, parce que l’histoire Ă©tait basĂ©e sur des faits rĂ©els. GrĂące Ă  l’écriture, cet Ă©vĂšnement historique oubliĂ©, rĂ©ussit Ă  ĂȘtre maintenu dans les mĂ©moires. Ce livre permet Ă©galement de mieux cerner les mentalitĂ©s des gens du siĂšcle prĂ©cĂ©dent. On comprend la maniĂšre dont on pouvait considĂ©rer des ĂȘtres humains d’une terre lointaine et les souffrances qu’ils enduraient. Genre/thĂšme Le rĂ©cit m’a plu pour ses thĂšmes abordĂ©s tels que l’amitiĂ© et la fidĂ©litĂ©. Ces derniers existent entre GocĂ©nĂ© et Badimoin qui braveront le rivage hostile» et qui ont failli mourir mille fois» pour retrouver MinoĂ©, la fiancĂ© de GocĂ©nĂ©. On ne peut lire Cannibale sans parler de racisme et d’injustice et cela m’a permis de me rendre compte que mĂȘme prĂšs d’un siĂšcle plus tard, nous sommes toujours confrontĂ©s Ă  ce genre de problĂšmes majeurs ils sont hĂ©las toujours d’actualitĂ©. Le genre de roman relatant des faits rĂ©els ne m’attire pas spĂ©cialement mais je reconnais que j’ai eu envie d’aller jusqu’au bout de ma lecture pour en savoir plus. Cela m’a amenĂ© Ă  me poser des questions sur la rĂ©action que j’aurais eu si j’avais vĂ©cu Ă  l’époque et si j’avais Ă©tĂ© tĂ©moin de telles scĂšnes de maltraitance. Bien que ce soit une pĂ©riode vraiment tragique, en tant que lecteur, je me suis senti plongĂ© dans l’histoire, je me suis mĂȘme senti entraĂźnĂ©. Style J’ai trouvĂ© le rĂ©cit aisĂ© Ă  lire, le vocabulaire Ă©tant facile mĂȘme s’il Ă©tait assez riche par moments. Il y a beaucoup de descriptions, d’énumĂ©rations les fontaines, les affiches, les halls de cinĂ©ma », des familles en goguette
, les rangs serrĂ©s des enfants des Ă©coles, des religieuses en cornette, une dĂ©lĂ©gation de saint-cyriens coiffĂ©s de leur casoar». Le texte comporte Ă©galement pas mal de mots recherchĂ©s tels que anthropophage», polygame», l’assujettissement», les candĂ©labres» . L’auteur utilise Ă©galement beaucoup de verbes de parole crier», appeler», remercier», conseiller». Didier Daerninckx a dĂ©cidĂ© de frapper fort en intitulant son livre Cannibale, ce qui a une connotation pĂ©jorative. Les termes forts employĂ©s ne mĂ©nagent pas ces pauvres kanaks hommes anthropophages», mais c’est qu’il mordrait, le cannibale !», vous me passez les menottes au sauvage» ou bien tu ne peux pas faire attention, le chimpanzé», Tu descends de ta liane ou quoi»  L’auteur a bien voulu insister sur le fait qu’il n’y avait aucune considĂ©ration pour ces ĂȘtres vivants de Nouvelle-CalĂ©donie, ils sont mĂ©prisĂ©s, injuriĂ©s, traitĂ©s comme des animaux. On sent bien le dĂ©couragement ressenti par les deux amis kanaks par l’emploi du mot dĂ©couragement» pages 43, 46, dĂ©couragé» page 67, il y a aussi l’expression la tĂȘte entre les mains» qui traduit aussi cette notion d’épuisement. Le fait de faire raconter ce rĂ©cit par GocĂ©nĂ© Ă  la premiĂšre personne du singulier donne plus de force Ă  ce tĂ©moignage historique. Cette tragique aventure, il l’a vĂ©cue. Cependant, Didier Daeninckx a ajoutĂ© un petit cĂŽtĂ© humoristique, drĂŽle au cĂŽtĂ© tragique du rĂ©cit. Tout particuliĂšrement quand on voit dĂ©ambuler ces deux kanaks dans les rues de Paris, d’ailleurs beaucoup de personnes sourient en les apercevant. Tension Ă©motionnelle Le rĂ©cit ne m’a pas permis du tout de m’identifier au personnage principal. Toutefois, je n’ai pu rester insensible Ă  cette pĂ©riode tragique de l’Histoire que je ne connaissais pas encore. Au fil de ma lecture, je me suis attachĂ© aux deux personnages principaux, j’ai pu me plonger dans leur histoire et j’ai aussi admirĂ© leur courage car ils Ă©taient seuls pour affronter tous ces dangers. Le fait que ces indigĂšnes soient traitĂ©s comme des bĂȘtes est choquant, on leur jetait du pain, des bananes, des cacahuĂštes

des cailloux aussi ». On se croirait dans un zoo humain. Ils sont tels des animaux sauvages et ne sont pas respectĂ©s, les femmes par exemple, devaient quitter leur robe mission et exhibent leur poitrine ». DĂ©noncĂ©s de cannibale», de chimpanzé» les indigĂšnes ne peuvent mĂȘme pas avoir de vie privĂ©e mĂȘme notre repas faisait partie du spectacle». Le lecteur est confrontĂ© de plein fouet au non respect des droits de l’homme Ă  savoir au problĂšme de racisme. Le peuple français se croit tout permis car il est le colonisateur mais cela ne lui donne pas le droit de jouer avec la vie d’ĂȘtres humains. On n’a pas le droit de les bafouer, de les maltraiter. Cela oblige obligatoirement le lecteur Ă  rĂ©agir face Ă  ce peuple qui a Ă©tĂ© dupĂ©, ce peuple Ă  qui on a menti. De plus, j’ai eu honte de savoir qu’on avait pu Ă©changer des hommes et des femmes contre des crocodiles, cela parait inconcevable. CaractĂšre moral Les thĂšmes trĂšs importants abordĂ©s comme le racisme, le non respect de l’ĂȘtre humain, l’injustice sont tout Ă  fait d’actualitĂ©. MĂȘme si Didier Daeninckx relate un fait datant de 1931, le lecteur se rend compte qu’à l’époque actuelle, nous y sommes toujours confrontĂ©s. Ce genre de roman ne m’attire pas spĂ©cialement mais je suis content de l’avoir lu en ce sens qu’il m’a appris des choses et je ne peux rester insensible Ă  tout ce que ce peuple a endurĂ©. Je ne peux qu’éprouver une profonde tristesse pour ces personnes du zoo» humain de l’Exposition coloniale de 1931 Ă  Paris. C’est sĂ»r qu’ils n’étaient pas instruits ; d’ailleurs, GocĂ©nĂ© nous apprend qu’il Ă©tait l’un des seuls Ă  savoir dĂ©chiffrer quelques mots». GocĂ©nĂ© est Ă©galement un homme de parole ; alors qu’il a promis au pĂšre de sa fiancĂ©e MinoĂ© de veiller sur elle, il le fera au pĂ©ril de sa vie. J’adhĂšre Ă  la notion de solidaritĂ©, trĂšs prĂ©sente lors du passage avec la rencontre de Fofana, africain travaillant dans le mĂ©tro. Il fera tout pour les aider et, en montrant Ă  GocĂ©nĂ© et Badimoin le dĂ©barras exigu qui lui fait office de maison, il leur dit vous ĂȘtes ici chez vous», il ne leur demande rien mais seulement Vous avez faim ? J’ai un peu de riz et de la soupe
..». Nous retrouvons cette solidaritĂ© Ă©galement Ă  la fin du livre avec ce blanc, cette fameuse grande gueule» qui s’était interposĂ©e entre la police et GocĂ©nĂ© personnage dont il est question au dĂ©but du rĂ©cit, ce fameux Francis Caroz. OriginalitĂ© Pour ce qui est de la fin du texte, j’aurais aimĂ© savoir ce qui Ă©tait arrivĂ© Ă  GocĂ©nĂ© et s’il avait rĂ©ussit Ă  rejoindre MinoĂ© et les siens aprĂšs la fusillade des rĂ©voltes de Nouvelle-CalĂ©donie. Son corps fait demi-tour», c’est-Ă -dire qu’il va aider son peuple mais cela va-t-il bien se passer pour lui ? Didier Daeninckx termine son rĂ©cit sur une fin ouverte et laisse donc son lecteur imaginer la suite des Ă©vĂšnements. Comparaison Le rapprochement que je peux faire est avec l’autre Ɠuvre de Didier Daeninckx intitulĂ©e Main courante. Cette derniĂšre traite de faits divers, de faits historiques dont il faut garder le souvenir. Ainsi, il donne aussi son point de vue par le biais de l’écriture. CONCLUSION Bien que je ne sois pas attirĂ© par les romans de ce genre, il m’a intĂ©ressĂ©. En effet, c’est un vĂ©ritable tĂ©moignage historique sur ce qui s’est passĂ©, sur le sort rĂ©servĂ© Ă  un peuple de kanaks exposĂ©s Ă  l’exposition coloniale au dĂ©but du siĂšcle dernier. J’ai beaucoup appris sur les mentalitĂ©s de l’époque Ă  l’égard des Ă©trangers. Je ne peux m’empĂȘcher de penser que mĂȘme si nous avons fait des progrĂšs aujourd’hui, nous devons ĂȘtre toujours trĂšs attentifs aux autres.
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Laffaire Calas survient Ă  quelques mois des cĂ©lĂ©brations du bicentenaire du jour de la Victoire Ă  Toulouse. Le 17 mai 1562, jour de PentecĂŽte, les Huguenots 1, las des persĂ©cutions dont ils sont victimes, sont sur le point de se rendre maĂźtres du Capitole mais ils sont dĂ©logĂ©s et quatre mille d’entre eux sont massacrĂ©s.
Le baccalaurĂ©at professionnel spĂ©cialitĂ© "conduite et gestion de l'entreprise agricole" a Ă©tĂ© rĂ©novĂ© en 2018 pour mieux prendre en compte l'agro-Ă©cologie dans la formation et la certification et pour intĂ©grer les orientations relatives Ă  la Loi d'Avenir pour l'agriculture ;pour sa partie professionnelle avec l'introduction de supports de formation Polyculture-Ă©levage et Grandes cultures. Les options "SD Ă©levage" et "SD cultures" sont supprimĂ©es et, dorĂ©navant, l'option "Vigne et vin" devient une spĂ©cialitĂ© Ă  part entiĂšre sous l'appellation baccalaurĂ©at professionnel spĂ©cialitĂ© "conduite et gestion de l'entreprise vitivinicole".C'est un diplĂŽme prĂ©parĂ© en un cycle de rĂ©fĂ©rence de 3 ans, constituĂ© d'une premiĂšre annĂ©e correspondant Ă  la classe de 2nde pro "productions" rĂ©novĂ©e depuis la rentrĂ©e 2016 et, des classes de 1ere et terminale de la spĂ©cialitĂ© baccalaurĂ©at professionnel spĂ©cialitĂ© "conduite et gestion de l'entreprise agricole" est entrĂ© en vigueur Ă  la rentrĂ©e scolaire spĂ©cialitĂ© vient d'ĂȘtre Ă  nouveau rĂ©novĂ©e pour sa partie tronc commun. Elle entrera en vigueur Ă  partir de la rentrĂ©e scolaire 2023.
Ildoit possĂ©der une culture assez vaste que ce soit en histoire, lettres, sciences parmi tant d’autres. Professeur d’histoire : au sein d’un collĂšge, d’un lycĂ©e, il doit transmettre Ă  ses Ă©lĂšves les bases fondamentales de l’humanitĂ©. À l'universitĂ©, les professeurs sont souvent des enseignants-chercheurs.
A quelles spĂ©cialitĂ©s formez-vous ?Nous proposons des spĂ©cialitĂ©s en 3 domaines CinĂ©ma/audiovisuel RĂ©alisation CinĂ©ma, TĂ©lĂ©vision, SĂ©rie TV, Image, Montage & Effets SpĂ©ciaux, Production et Son audiovisuel, Son musical, Radio, Sound design pour les jeux vidĂ©o / la fiction et la d’animation Animation 3D, ModĂ©lisation, rendu & lumiĂšre et Compositing 3D/VFXEt pour les adultes en reconversion, existe-t-il des formations professionnelles ?Oui, le Groupe comprend un dĂ©partement Formation Continue pour les adultes souhaitant se rĂ©orienter, se professionnaliser ou approfondir des connaissances en cinĂ©ma, en son ou en animation 3D sous la forme de stages intensifs, de 6 Ă  9 mois voir les conditions de financement.Proposez-vous des cursus en initial ou en alternance ?Toutes nos formations sont en initial et comprennent des stages sont obligatoires pour une durĂ©e de 16 semaines sur 2 ans est la durĂ©e des formations ?Nos formations initiales durent 3 ans pour les sections ESRA, ISTS et ESRA formation DHEC se dĂ©roule en 2 Formation Continue comporte des stages intensifs, de 6 Ă  9 suis lycĂ©enne, est-ce possible de m'initier aux mĂ©tiers de l'audiovisuel avant de choisir ?Pour vous aider dans le choix de votre Ă©cole, l’ESRA propose, dĂšs 15 ans, des stages JUNIOR pour dĂ©couvrir et vous initier aux mĂ©tiers de l’audiovisuel pendant les vacances le calendrier des diplĂŽmes sont-ils reconnus ?Oui, l’ESRA, Ă©cole reconnue par le ministĂšre de l’Enseignement SupĂ©rieur et de la Recherche, dĂ©livre 3 diplĂŽmes visĂ©s par l’Etat Ă  BAC +3 le DESRA Ă  Paris et Ă  Nicele DESTS Ă  Paris et Ă  Nicele DESFA Ă  Paris et Ă  NiceNous dĂ©livrons Ă©galement 1 diplĂŽme visĂ© par l’Etat Ă  BAC +5 le DHEC Ă  ParisRetrouvez toutes les informations sur les Titres RNCP*, certifiĂ©s par l’Etat de niveau II BAC+3 dĂ©livrĂ©s Ă  Rennes et Bruxelles, sur notre site.* Registre national de la certification professionnelleJe voudrais avoir une licence Ă  bac+3, est-ce possible a l’ESRA ?Nos formations initiales, ESRA, ISTS et ESRA Animation, dĂ©livrent un diplĂŽme visĂ© par l’Etat Ă  BAC+3 Ă©quivalent Ă  une une bachelor/licence, est-ce que je peux faire un master chez vous ?AprĂšs un BAC+3, vous pouvez poursuivre avec le DHEC, DĂ©partement des Hautes Etudes CinĂ©matographiques, sur une durĂ©e de 2 ans et recevoir un diplĂŽme visĂ© par l’Etat Ă  BAC+ ces 2 annĂ©es, vous pouvez vous spĂ©cialiser en ScĂ©nario/RĂ©alisation ou en Production/Distribution. 3. Reconnaissance de l’ESRAL’école est-elle reconnue par l’Etat ?Oui, l’ESRA est un Ă©tablissement supĂ©rieur technique privĂ© reconnu par l’Etat, par le MinistĂšre de l’Enseignement SupĂ©rieur et de la combien de temps le groupe existe-t-il ?ImplantĂ© d’abord Ă  Paris en 1972 par Monsieur Max AZOULAY, PrĂ©sident – Directeur GĂ©nĂ©ral, le Groupe ESRA a créé en 1988 l’ESRA CĂŽte d’Azur Ă  Nice, l’ESRA Bretagne Ă  Rennes en 1999 et l’ESRA Bruxelles en Belgique en sont localisĂ©s les campus ?Le Groupe dispose de 4 campus Paris, Rennes, Nice et Bruxelles en emplacements qui favorisent les contacts avec le monde de l’audiovisuel, Ă  proximitĂ© des festivals et ancrĂ©s dans quatre rĂ©gions s'inscrire par le biais de Parcoursup ?Oui, l’admission aux formations ESRA, ISTS et ESRA Animation des campus de Paris et Nice se fait par l’intermĂ©diaire de n’est pas le cas pour la formation DHEC et l’admission dans les campus de Rennes et intĂ©grer l'Ă©cole ?L’inscription diffĂšre selon le campus et la formation candidater en ESRA, ISTS, ESRA Animation Ă  l’ESRA Paris et l’ESRA CĂŽte d’Azur, l’inscription au concours se fait en 3 Ă©tapes Choisir la formation sur ParcourSup. Joindre au dossier toutes les piĂšces demandĂ©es. Choisir votre date de concours parmi celles proposĂ©es sur notre site pour chaque sectionPour candidater en DHEC, ou Ă  l’ESRA Bretagne et l’ESRA Bruxelles, l’inscription au concours se fait en 4 Ă©tapes Remplir la fiche de candidature qui se trouve Ă  la fin de la brochure votre date de concours parmi les dates proposĂ©es sur notre site pour chaque les piĂšces votre dossier complet, au plus tard 10 jours avant la date de l’épreuve retenue au Service Concours du campus intĂ©grer votre Ă©cole sans le bac ?Non, il vous faudra absolument le BAC ou une Ă©quivalence. Il est possible cependant de passer le concours avant l’épreuve du bac sous condition d’avoir un certificat attestant que vous passerez bien le BAC dans l’annĂ©e un bac spĂ©cifique pour entrer Ă  l’ESRA ?Non, pas particuliĂšrement. Toutes les filiĂšres sont les bienvenues Ă  condition d’ĂȘtre motivĂ© et intĂ©ressĂ© par ces domaines de passion. Il pourra vous ĂȘtre demandĂ© lors de l’oral au concours d’entrĂ©e d’expliquer et de montrer vos crĂ©ations dessins, musiques, montages, films
.J’ai un niveau bac+2 BTS/DUT, puis-je intĂ©grer la 3Ăšme annĂ©e de l’ESRA, l’ISTS ou l’ESRA Animation ?Non, il n’y a pas d’admission parallĂšle. Les formations post-bac s’intĂšgrent en 1Ăšre annĂ©e. 5. Orientation professionnelle et dĂ©bouchĂ©sJ’hĂ©site encore sur mon orientation professionnelle, comment faire ?Chaque cursus, ESRA, ISTS et ESRA Animation, est indĂ©pendant et propose un tronc commun de 2 ans qui va vous permettre de mieux apprĂ©hender tous les mĂ©tiers de votre domaine et, ainsi, vous laisser le temps de choisir une spĂ©cialitĂ© en 3Ăšme annĂ©e. Les stages en 1Ăšre et 2Ăšme annĂ©es vous aideront Ă©galement Ă  confirmer votre souhait. Pour vous aider dans le choix de votre Ă©cole, l’ESRA propose, dĂšs 15 ans, des stages JUNIOR pour dĂ©couvrir et vous initier aux mĂ©tiers de l’audiovisuel pendant les vacances Ă©quipes pĂ©dagogiques vous accueillent pour rĂ©pondre Ă  toutes vos questions et vous expliquer les cursus avec une visite de l’école A Paris les mercredis Ă  15h A Nice les mercredis Ă  15h et 17h A Rennes les jeudis Ă  14h30 A Bruxelles les mercredis de 16h30 Ă  18h30Et pour les adultes en reconversion, existe-t-il des formations professionnelles ?Oui, le Groupe comprend un dĂ©partement Formation Continue pour les adultes souhaitant se rĂ©orienter, se professionnaliser ou approfondir des connaissances en cinĂ©ma, en son ou en animation 3D sous la forme de stages intensifs, de 6 Ă  9 mois voir les conditions de financement.Quels sont les dĂ©bouchĂ©s et les salaires en ces domaines ?Les professionnels de l’audiovisuel sont souvent employĂ©s en tant qu’intermittents payĂ©s selon un tarif syndical relativement techniciens prisĂ©s sont payĂ©s au-delĂ  des tarifs syndicaux. Il est aussi possible d’accĂ©der Ă  des postes permanents selon votre employeur. Retrouvez les fiches mĂ©tiers par des anciens Ă©lĂšves connus en audiovisuel/cinĂ©ma ?Oui, l’ESRA a formĂ© des artistes de talent comme Éric TOLEDANO rĂ©alisateur de Nos jours heureux, Intouchables ;Pierre MOREL rĂ©alisateur de Banlieue 13, Taken ;RĂ©mi BEZANCON rĂ©alisateur de Ma vie en l’air, Le Premier Jour du reste de ta vie ;Gregory OHREL et Lionel HIRLE rĂ©alisateurs des clips de JAIN sous Quad Productions Dynabeat, Makeba, AlrightLaĂŻla MARRAKCHI rĂ©alisatrice de Marock, Rock de Casbah ;Carine TARDIEU rĂ©alisatrice de Otez moi d’un doute, La tĂȘte de maman ;Florent EMILIO-SIRI rĂ©alisateur de Cloclo, L’ennemi intime ;Nicolas BARY rĂ©alisateur de Le Petit Spirou ; Les enfants de Timpelbach ;Karin ALBOU rĂ©alisatrice de La Petite JĂ©rusalem ;Stephane GLUCK 1er assistant rĂ©alisateur sur les films de bien d’autres encore
Retrouvez toute l’actualitĂ© des anciens Ă©lĂšves sur la page qui leur est consacrĂ© iciEt dans le domaine du son ?De nombreux ISTS travaillent dans diffĂ©rents milieux du son. Pour les plus connus, vous retrouverez Aurel GARCIA ISTS 2016 monteur son, remporte Les Magritte du CinĂ©ma du Meilleur court mĂ©trage de fiction pour Avec ThelmaOwen ROUSSELLE ISTS 2009 ingĂ©nieur son en sonorisation de concert notamment sur la tournĂ©e europĂ©enne d’Alan STIVELL en CHEDEVILLE ISTS 1993 Fondateur du label Crydamoure avec Guy-Manuel de Homem- Christo du groupe Daft PunkDamien LAZZERINI ISTS 2000 compositeur de musique sur les films Elle de Paul VERHOEVEN nomination aux CĂ©sar 2017 dans la section Meilleur Son, Babylon de Mathieu KASSOVITZ et Alexandre de Oliver CHABERT ISTS 1995 ingĂ©nieur son connu sous le nom de Chab » sur Random Access Memory des Daft Punk, album ayant reçu cinq rĂ©compenses dont celle du meilleur album » et meilleur enregistrement de l’annĂ©e » pour le titre phare Get lucky. Autres collaborations avec Air, Indochine, Louis CHEDID, Manu CHAO, Thomas FERSEN ou encore WACHORU ISTS 2009 cumule les expĂ©riences en tant que Sound Designer Jeux vidĂ©o depuis 2010, notamment chez Gameloft Ă  MontrĂ©al, Ubisoft Annecy ou encore Ubisoft bien d’autres encore
Retrouvez toute l’actualitĂ© des anciens Ă©lĂšves sur la page qui leur est consacrĂ© iciY-a-t-il des personnalitĂ©s de l'animation 3D issues de l'ESRA ?On retrouve diffĂ©rents mĂ©tiers dans l’animation comme Thibault GAURIAU ESRA Animation 2006 FX Lead Artist Ă  Industrial Light & Magic Ă  Singapour aux cĂŽtĂ©s de Georges LUCAS, sur les films de Joss WHEDON The Avengers, Pacifc Rim de Guillermo DEL TORO, Transformers age of extinction de MichaĂ«l BAY, Star Wars Rogue One de Gareth EDWARDS et sur le dernier film de Steven SPIELBERG Ready Player DEFERT ESRA 2013 Houdini FX Artist /TD, a travaillĂ© sur The Passenger » de Jaume COLLET SERRA, Robin des Bois » d’Otto BATHURST, Thor Ragnarok » de TaĂŻla WAITITI, Wonder Woman » de Patty JENKINS, » Pirates des caraibes La vengeance de Salazar » de Joachim RONNING, Alien Covenant » de Ridley SCOTT, X-Men Apocalypse » de Bryan SINGER, Miss Peregrine et les enfants particuliers » de Tim BURTONKevin KERGOAT ESRA Animation 2005 Lead Compositor Ă  TAT Productions sociĂ©tĂ© crĂ©atrice de la sĂ©rie et du long mĂ©trage Les As de la JungleNicolas EMERY ESRA Animation 2009 Creature FX TD Junior Ă  Framestore, Ă  Londres Paddington 2 et sur la version live du Livre de la jungle / Tracking Artist sur Alien Covenant de Ridley SCOTT et Blade Runner 2049 sortis en STOLL ESRA Animation 2012 Hair Artist Ă  Mikros Animation, Asterix – Le secret de la potion magique, crĂ©ateur de Capitaine SuperslipCharlie AUFROY ESRA Animation 2012 animateur sur The Grinch produit par Illumination MacGuffMarc LE GARREC ESRA Animation 2013 3D Animator chez TeamToCarl DAMY ESRA Animation 2013 travaille chez EON Reality, entreprise amĂ©ricaine spĂ©cialisĂ©e dans les logiciels de rĂ©alitĂ© virtuelle, les systĂšmes immersifs 3D et les applications serious gamesNastassia LE MAY ESRA Animation 2015 Character Animator Ă  Illumination Mac GuffGuillaume NICOLAS ESRA Animation 2017 CG Animator Ă  Dynamixyz, start-up rennaise spĂ©cialisĂ©e dans la reproduction de visages humains en 3D pour le cinĂ©ma Death Note, Gantz 0 ; ou les jeux vidĂ©o Resident Evil 7, Deus Ex
Et bien d’autres encore
Retrouvez toute l’actualitĂ© des anciens Ă©lĂšves sur la page qui leur est consacrĂ© iciQuels sont les liens avec les professionnels du cinĂ©ma ? Depuis ses dĂ©buts, l’ESRA entretient des liens Ă©troits avec les professionnels du cinĂ©ma. L’école organise diffĂ©rentes rencontres pour Ă©tendre la curiositĂ© des Ă©tudiants tout en leur donnant les clĂ©s pour leur avenir Jeudis de l’ESRA d’octobre Ă  mars, l’école organise des masterclass avec des rĂ©alisateurs, producteurs, scĂ©naristes ou acteurs qui viennent partager leur expĂ©rience. Jean DUJARDIN acteur, Thomas LANGMANN Producteur, Eric TOLEDANO rĂ©alisateur, Nicolas BARY rĂ©alisateur, Jean-Marie DREUJOU Directeur de la photographie, Safy NEBBOU RĂ©alisateur et scĂ©nariste, Nicolas PHILIBERT RĂ©alisateur de films documentaires, Jean-François LEPETIT producteur, Elie CHOURAQUI RĂ©alisateur, Producteur, ScĂ©nariste et une centaine d’autres personnalitĂ©s
Aventure d’un Long MĂ©trage les Ă©tudiants du DĂ©partement des Hautes Etudes CinĂ©matographiques DHEC suivent un programme au cours duquel ils reçoivent tour Ă  tour les principaux chefs de poste d’un film en cours de postproduction. Depuis les dĂ©buts de ce programme, un film diffĂ©rent a fait l’objet de cette masterclass Alice et le maire de Nicolas PARISER avec Vincent LINDON et AnaĂŻs DEMOUSTIERWelcome de Philippe LIORET avec Vincent LINDON et Audrey DANADe vrais mensonges de Pierre SALVADORI avec Nathalie BAYE et Audrey TAUTOULa source des femmes de Radu MIHAILEANU rĂ©alisateur du Concert avec Leila BEKHTI, Hafsia HERZI, Sabrina OUAZANI et BIYOUNAQuelques heures de Printemps de StĂ©phane BRIZÉ avec Vincent LINDON et HĂ©lĂšne VINCENTLes reines du ring de Jean-Marc RUDNICKI avec Nathalie BAYE, Marilou BERRY et Audrey FLEUROTViolette de Martin PROVOST avec Emmanuelle DEVOSLes souvenirs de Jean-Paul ROUVE avec Michel BLANC, Chantal LAUBY et Annie CORDYLa tĂȘte haute d’Emmanuelle BERCOT avec Catherine DENEUVE, BenoĂźt MAGIMEL et Sara FORESTIERLa vie trĂšs privĂ©e de Monsieur Sim de Michel LECLERC, avec Jean-Pierre BACRI, Mathieu AMALRIC et Valeria GOLINOEspĂšces MenacĂ©es de Gilles BOURDOS avec Alice ISAAZ, Eric ELMOSNINO, GrĂ©gory GADEBOIS. 7. L’ouverture Ă  l’internationalEst-il possible de partir a l'Ă©tranger dans le cadre de nos Ă©tudes ?Oui. Depuis septembre 2007, les Ă©tudiants de l’ESRA, de l’ISTS, de l’ESRA Animation et du DHEC peuvent suivre une 4Ăšme annĂ©e optionnelle Ă  New annĂ©e n’est pas diplĂŽmante mais permet aux Ă©tudiants d’apprendre Ă  travailler en anglais et de se confronter Ă  une autre culture des mĂ©tiers de l’audiovisuel et Ă  une autre approche de intĂ©grer l'ESRA en tant qu'Ă©tudiant Ă©tranger ?Oui. L’ESRA propose un programme international, ESRA International, avec des formations d’un an, de trois ans et sur les deux mois d’étĂ©, dispensĂ©s intĂ©gralement en anglais. 8. Aides au logement et au financementComment faire pour se loger ?Il est fortement conseillĂ© de rechercher un logement le plus tĂŽt possible. Voici quelques pistes conseillĂ©es Le Bureau des Associations transmet Ă©galement des propositions de logement dans le quartier. Le BDA est joignable au 01 44 25 25 17 et par mail Ă  bda rĂ©sidences universitaires CROUS de Paris 11 RĂ©sidences Universitaires – 2000 chambresService du logement – 39 avenue Georges Bernanos – 75005 Paris Ouvert du Lundi au Vendredi de 9h Ă  17h sans interruption / Tel 01 40 51 62 00CROUS de Nice-Toulon 13 RĂ©sidences Universitaires Maison de l’étudiant – 5 boulevard François Mitterrand – 06300 Nice / Tel 04 92 15 50 55 CROUS de Rennes 16 RĂ©sidences Universitaires 7, place Hoche – 35000 Rennes / Tel 02 30 30 09 30DĂ©couvrez notre page consacrĂ©e Ă  la recherche de sont les aides pour financer ses Ă©tudes ?L’ESRA propose diffĂ©rents dispositifs pour vous accompagner dans le financement Les bourses du CROUS sur critĂšres sociaux pour les campus de Paris et Nice. Le dossier doit ĂȘtre rempli directement sur bourses de l’école accordĂ©es en fonction des rĂ©sultats, de l’assiduitĂ©, de la situation des parents et aprĂšs examen d’un dossierLes prĂȘts Ă©tudiants en partenariat avec la SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale avenue FĂ©lix Faure, la Banque Populaire rue de Lourmel et le CrĂ©dit Agricole rue de la Convention pour l’obtention de prĂȘts Ă  un taux prĂ©fĂ©rentiel les coordonnĂ©es de ces banques sont Ă  disposition auprĂšs de l’école au 01 44 25 25 25Comment se positionne l'esra par rapport aux autres ecoles d'audiovisuel ?L’ESRA reste classĂ©e parmi les meilleures Ă©coles de cinĂ©ma en l’ensemble des articles de presse sur le sujet dans notre revue de presse. lbvz0N.
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