Vous voulez savoir comment espionner le tĂ©lĂ©phone de quelquâun sans quâil le sache ? Dans le mode de vie extrĂȘmement rapide dâaujourdâhui, les tĂ©lĂ©phones mobiles sont des gadgets trĂšs importants portĂ©s par tout le monde. On peut non seulement faire un certain nombre dâactivitĂ©s polyvalentes grĂące Ă ce smartphone, mais aussi sauvegarder ses donnĂ©es personnelles. Cela comprend les fichiers multimĂ©dias, lâhistorique des chats, les messages et les mĂ©dias sociaux. Par consĂ©quent, si vous voulez espionner les activitĂ©s de quelquâun, vous pouvez utiliser une application espionne. Les meilleures applications Ă cet effet sont Spyic et Cocospy. Spyic est une application dâespionnage mobile trĂšs puissante et sĂ©curisĂ©e grĂące Ă laquelle vous pouvez espionner le tĂ©lĂ©phone de nâimporte qui sans quâil le sache. Vous obtenez non seulement les activitĂ©s et lâemplacement de la cible en temps rĂ©el, mais aussi les informations vitales de la cible. Cela se fait en surveillant les comptes de mĂ©dias sociaux et les listes de messages de la cible. Poursuivez votre lecture pour en savoir plus sur ces applications ! Partie 1 Comment espionner le tĂ©lĂ©phone de quelquâun sans quâil le sache Pourquoi lâapplication Spyic est diffĂ©rente des autres applications dâespionnage Ce que Spyic peut faire pour vous ? Comment utiliser Spyic pour espionner Ă distance le tĂ©lĂ©phone de quelquâun FonctionnalitĂ© de keylogger Android Spyic Stealth Mode Partie 2 Comment espionner quelquâun sans quâil le sache CaractĂ©ristiques de Cocospy Conclusion Pensez-vous quâil est impossible dâespionner un tĂ©lĂ©phone portable sans quâil le sache ? DĂ©trompez-vous ! Câest tout Ă fait possible ! En fait, tout se rĂ©sume au systĂšme dâexploitation du tĂ©lĂ©phone cible. Des applications rĂ©volutionnaires comme Spyic prennent en charge Android et iOS. En utilisant une technologie de pointe, Spyic permet dâespionner rĂ©ellement un iPhone sans accĂ©der physiquement Ă lâappareil du tout ! Tout cela grĂące Ă la solution basĂ©e sur le cloud proposĂ©e par Spyic. Spyic est un nom fiable et digne de confiance dans le monde entier. Lâapplication a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e dans le monde entier dans de grands mĂ©dias car elle est complĂštement sĂ»re et sĂ©curisĂ©e. Rooter ou jailbreaker lâappareil cible nâest pas nĂ©cessaire. Câest un problĂšme commun Ă de nombreuses applications dâespionnage. Cependant, Spyic fournit toutes les fonctionnalitĂ©s sans rooter ou jailbreaker ! Si vous voulez espionner un appareil Android, vous devez installer le logiciel Spyic sur le tĂ©lĂ©phone. Pour cela, vous aurez besoin dâun accĂšs physique Ă ce tĂ©lĂ©phone Android. Il est Ă noter quâaucun logiciel nâest encore dĂ©veloppĂ© en utilisant lequel vous pouvez accĂ©der Ă distance ou espionner tout tĂ©lĂ©phone Android. Par consĂ©quent, soyez conscient de ces fausses revendications par dâautres sociĂ©tĂ©s de logiciels! Spyic donne un aperçu en temps rĂ©el de la localisation, des messages et des applications de mĂ©dias sociaux. Non seulement la localisation mais le suivi continu de lâitinĂ©raire de la cible 24Ă7 est possible. Vous pouvez utiliser une fonctionnalitĂ© avancĂ©e appelĂ©e geofencing » qui crĂ©e une frontiĂšre ou une clĂŽture pour le tĂ©lĂ©phone. Chaque fois que le tĂ©lĂ©phone cible sort de cette limite, vous recevrez une alerte/alarme. Pourquoi lâapplication Spyic est diffĂ©rente des autres applications dâespionnage Espionner Ă distance les activitĂ©s dâune personne Ă travers son tĂ©lĂ©phone est une grande innovation de ce siĂšcle. Cette activitĂ© peut ĂȘtre rĂ©alisĂ©e avec lâaide dâun outil puissant nommĂ© Spyic. Inscrivez-vous pour obtenir Spyic maintenant et voyez la diffĂ©rence ! La plupart des applications dâespionnage disponibles sur le marchĂ© aujourdâhui ont plusieurs problĂšmes. Elles sont souvent trĂšs complexes Ă utiliser et nĂ©cessitent dâabord de rooter ou de jailbreaker la cible. Ensuite, elles sont facilement dĂ©tectĂ©es par la cible et vident complĂštement la batterie. Utilisez lâapplication Spyic et restez dĂ©tendu pour toujours ! Spyic est trĂšs lĂ©ger et ne prend pas beaucoup de place sur le tĂ©lĂ©phone cible. De plus, il ne consomme pas du tout beaucoup de batterie. Il continuera Ă fonctionner en arriĂšre-plan tranquillement et ne sera pas dĂ©tectĂ©, grĂące Ă la technologie furtive. Les deux applications Spyic iOS et Android sont disponibles pour ĂȘtre utilisĂ©es. Seule la solution iOS permet de travailler Ă distance sans avoir Ă accĂ©der Ă lâiPhone du tout. Câest une autre caractĂ©ristique unique. La plupart des applications dâespionnage nĂ©cessitent un rootage ou un jailbreak pour la surveillance des mĂ©dias sociaux. Spyic prend en charge la surveillance des mĂ©dias sociaux aussi sans rooting ou jailbreaking ! Pour voir comment Spyic est une application unique, consultez la dĂ©mo live de Spyic pour vous-mĂȘme ici. Ce que Spyic peut faire pour vous ? En utilisant les fonctionnalitĂ©s de la solution Spyic, vous pouvez espionner les donnĂ©es suivantes du tĂ©lĂ©phone cible RĂ©pertoire de contacts Vous pouvez suivre et espionner tous les contacts que la cible contacte. Historique du navigateur Tous les sites web recherchĂ©s ou consultĂ©s par cette personne sur son tĂ©lĂ©phone pourraient ĂȘtre suivis Ă lâaide de lâapplication Spyic. Historique des appels Vous pouvez espionner les appels entrants et sortants avec des dĂ©tails complets sur lâappelant en utilisant Spyic. Notes Vous pouvez espionner les notes enregistrĂ©es sur lâappareil iOS. En utilisant cette fonctionnalitĂ©, vous pouvez suivre ou espionner les notes personnelles de la cible. Messages texte et iMessages supprimĂ©s et prĂ©sents Vous pouvez espionner ou lire tous les messages texte, les iMessages et les fichiers multimĂ©dia, y compris ceux qui ont Ă©tĂ© supprimĂ©s, en utilisant Spyic. Surveillance des mĂ©dias sociaux Vous pouvez surveiller et espionner Ă distance pour voir les messages Facebook sur le tĂ©lĂ©phone cible. En utilisant cette application, vous serez Ă©galement en mesure dâespionner les conversations Snapchat, les messages Instagram et WhatsApp. Localisation En utilisant Spyic, vous pouvez espionner lâemplacement horodatĂ© de lâappareil cible. Comment utiliser Spyic pour espionner Ă distance le tĂ©lĂ©phone de quelquâun Vous voulez savoir comment espionner le tĂ©lĂ©phone de quelquâun sans quâil le sache ? Spyic est conçu Ă la fois pour les applications Android et iOS. Maintenant, discutons de la façon dont le tĂ©lĂ©phone de quelquâun peut ĂȘtre suivi ou espionnĂ© Ă distance en utilisant la solution Spyic. Soyez informĂ© que tout en utilisant lâapplication Spyic, vous nâavez pas besoin dâinstaller quoi que ce soit sur le tĂ©lĂ©phone cible et de jailbreaker lâappareil cible aussi sâil exĂ©cute iOS. Tout ce dont vous avez besoin est lâaccĂšs Ă lâidentifiant de connexion et au mot de passe iCloud de lâappareil. Avec Android, vous devez installer lâapplication Spyic Android. Suivez les Ă©tapes suivantes pour espionner un tĂ©lĂ©phone sans que quelquâun le sache. Etape 1 Visitez le site officiel de Spyic et crĂ©ez un compte Spyic. Câest trĂšs facile et vous constaterez que le processus dâenregistrement est convivial. Etape 2 SĂ©lectionnez maintenant le type dâappareil. Ă ce stade, si votre appareil exĂ©cute iOS, vous pouvez entrer ses informations dâidentification iCloud. La prĂ©sence physique de lâiPhone cible nâest pas requise. La synchronisation de lâapplication peut prendre un certain temps. En revanche, si la cible est un appareil Android, vous devrez installer lâapplication Android Spyic. Donnez Ă lâapplication toutes les autorisations dont elle a besoin et elle sera opĂ©rationnelle. Lâapplication Spyic Android est trĂšs conviviale et sâinstalle rapidement sur le tĂ©lĂ©phone en consommant moins de 2M dâespace. Vous pouvez la dĂ©sinstaller Ă distance facilement en un clic. La plupart des applications de surveillance espionne nĂ©cessitent de rooter le tĂ©lĂ©phone Android. Cela rend le processus compliquĂ© et chronophage. Lorsque vous utilisez lâapplication Spyic, le rooting de lâappareil cible nâest pas du tout nĂ©cessaire ! Etape 3 En utilisant votre panneau de contrĂŽle, connectez-vous Ă votre compte. Vous trouverez votre tableau de bord. Vous ĂȘtes maintenant prĂȘt Ă espionner le tĂ©lĂ©phone. Lâapplication vous permet de suivre et dâespionner tous les dĂ©tails comme les dĂ©tails des appels, les applications installĂ©es, les dĂ©tails des textes, les dĂ©tails des chats et les mĂ©dias sur le tableau de bord de votre panneau de contrĂŽle. Vous verrez des sections distinctes sur le tableau de bord. Cliquez sur celle que vous souhaitez voir. Pour mieux comprendre lâapplication Spyic, nous vous recommandons vivement de consulter la dĂ©mo Spyic en direct ici. FonctionnalitĂ© de keylogger Android La solution Spyic Android est chargĂ©e de quelques autres fonctionnalitĂ©s uniques comme le keylogger Android qui enregistre chaque pression sur les touches. Le keylogger est un outil extraordinaire qui vous permet de pirater les mots de passe et les noms dâutilisateur de tous les comptes. En utilisant cette fonctionnalitĂ©, vous pouvez accĂ©der ou espionner nâimporte quel compte facilement. Lorsque vous vous connectez au panneau de configuration, vous trouverez la section Keyloggerâ. Spyic Stealth Mode Comment espionner quelquâun Ă son insu ? Câest vraiment une question dâinquiĂ©tude si lâutilisateur cible vous prend en flagrant dĂ©lit ! Si vous utilisez lâapplication Spyic, alors vous ĂȘtes libre de tels soucis car cette application fonctionne en mode furtif. Cela signifie que son icĂŽne est automatiquement supprimĂ©e aprĂšs lâinstallation et quâelle fonctionne ensuite secrĂštement en arriĂšre-plan. Un grand point positif avec lâapplication Spyic est son design unique qui consomme un minimum de batterie sur le tĂ©lĂ©phone cible. Lisez aussi 5 applications dâespionnage gratuites pour Android sans tĂ©lĂ©phone cible Partie 2 Comment espionner quelquâun sans quâil le sache Il existe de nombreuses façons dâespionner le tĂ©lĂ©phone de quelquâun sans quâil le sache en utilisant certains outils et applications. Un excellent outil Ă cette fin est lâapp Cocospy qui nâest pas seulement puissant et sĂ©curisĂ© mais parmi les entreprises les plus populaires et rĂ©putĂ©es dans ce domaine. Des millions de personnes utilisent cette app pour espionner leur tĂ©lĂ©phone cible dans plus de 190 nations dans le monde. Vous pouvez faire confiance Ă cette application lĂ©gĂšre et pour cette raison, de nombreuses maisons de mĂ©dias populaires et des points de vente ont rĂ©guliĂšrement prĂ©sentĂ© cette application. Cocospy est une application trĂšs conviviale qui ne nĂ©cessite pas que vous jailbreakiez ou rootiez le tĂ©lĂ©phone cible. Elle est trĂšs sĂ»re et lĂ©gĂšre. Elle nĂ©cessite juste environ 2 Mo dâespace sur le tĂ©lĂ©phone sâil fonctionne sous Android consultez la solution Cocospy Android. Mieux encore, sâil sâagit dâun appareil iOS, il existe une version Cocospy iOS Ă©galement, et vous nâavez pas besoin dâinstaller quoi que ce soit â toutes les activitĂ©s sont basĂ©es sur le cloud ! En utilisant lâapplication Cocospy, vous pouvez accĂ©der Ă tous les comptes de mĂ©dias sociaux, y compris la messagerie. La fonction keylogger trouvĂ©e dans intĂ©grĂ© dans Cocospy vous aidera aussi. Vous pouvez obtenir tous les mots de passe et les noms dâutilisateur pour vous connecter aux comptes cibles. Discutons de quelques autres merveilleuses fonctionnalitĂ©s de cette puissante application. Vous pouvez Ă©galement voir Cocospy en action ici en regardant sa dĂ©mo en direct. CaractĂ©ristiques de Cocospy Vous voulez des gadgets dâespionnage pour les tĂ©lĂ©phones portables ? Vous pouvez utiliser lâapplication Cocospy de plusieurs façons. Traqueur dâappels En utilisant Cocospy, nous pouvons espionner ou suivre les appels entrants et sortants sur le tĂ©lĂ©phone cible Ă son insu. Nous pouvons Ă©galement vĂ©rifier dâautres paramĂštres comme la durĂ©e de lâappel. Traqueur de SMS Pour espionner les SMS dâune personne, vous pouvez Ă©galement utiliser Cocospy. Vous pouvez trouver les messages envoyĂ©s et reçus ainsi que tous les fichiers mĂ©dias Ă©changĂ©s. Surveillance des mĂ©dias sociaux En utilisant Cocopsy, vous pouvez voir toutes les activitĂ©s des mĂ©dias sociaux, y compris les messages Facebook, les chats WhatsApp, les mĂ©dias Snapchat et les messages Instagram Ă©galement. La meilleure chose est quâil nây a pas besoin de root ou de jailbreak ! Traqueur de localisation Cette application vous enverra lâemplacement en temps rĂ©el de votre cible avec les horodatages. Traquer discrĂštement avec le mode furtif En utilisant sa technologie furtive, vous pouvez espionner secrĂštement le tĂ©lĂ©phone cible sans que quelquâun le sache. Soyez assurĂ© quâaprĂšs lâinstallation de cette application, lâicĂŽne de lâapplication sera supprimĂ©e automatiquement. Cocospy Android Keylogger Le keylogger Android est une excellente fonctionnalitĂ© de lâappli Cocospy qui permet de suivre tous les tapotements. Le keylogger Cocospy peut capturer les mots de passe et les noms dâutilisateur de tous les utilisant cet outil puissant, vous pouvez pirater et espionner nâimporte quel compte facilement. Vous pouvez trouver la section Keyloggerâ lorsque vous vous connectez au panneau de contrĂŽle sur lâapplication Cocospy. Ă ne pas manquer Comment espionner un tĂ©lĂ©phone portable sans lâavoir Conclusion Comment espionner le tĂ©lĂ©phone de quelquâun sans quâil le sache ? Il sâagit de lâune des interrogations les plus courantes. Si vous souhaitez espionner quelquâun, Spyic et Cocospy sont parmi les applications les plus puissantes. Ils sont disponibles pour les tĂ©lĂ©phones cibles iOS et Android. Vous nâavez pas besoin dâinstallation sur un appareil iOS et mĂȘme pas du tout dâaccĂšs physique au tĂ©lĂ©phone ! Il nâest pas nĂ©cessaire de jailbreaker ou de rooter les appareils tĂ©lĂ©phoniques. Spyic et Cocospy sont trĂšs conviviales, sĂ©curisĂ©es, sĂ»res, fiables et abordables. Ce sont des applications de confiance dans le monde entier. Ce post est Ă©galement disponible enDeutsch Allemand .
Jai un frĂšre qui sâappelle Lucas et qui lui a 13 ans et demi. Nous sommes deux frĂšres insĂ©parables. On a tout vĂ©cu ensemble. Je lâai toujours accompagnĂ©. La semaine derniĂšre, lorsque les parents ont du allĂ© dans le sud pour la famille, je suis restĂ© avec mon frĂšre afin de la garder. Nous sommes restĂ©s 4 jours seuls.Plus d'un Français sur cinq fouine dans le portable de son conjoint. Getty Images Comment Diego* en est-il arrivĂ© lĂ ? Annabelle ne se l'explique pas. Quand ils se sont rencontrĂ©s, elle avait bien remarquĂ© qu'il Ă©tait un poil jaloux. En tout cas, davantage que ses ex. Sur le coup, la jeune femme avait d'ailleurs trouvĂ© cela plutĂŽt touchant. AprĂšs tout, s'il Ă©tait suspicieux, c'Ă©tait peut-ĂȘtre le signe qu'il l'aimait. Mais le trentenaire a trĂšs vite virĂ© parano. "Il me tĂ©lĂ©phonait plusieurs fois par jour pour vĂ©rifier que j'Ă©tais bien lĂ oĂč je devais me trouver, raconte la comĂ©dienne. Et si je ne dĂ©crochais pas, la moutarde lui montait illico au nez. Dans la demi-heure qui suivait, j'avais une bonne dizaine d'appels en absence." Lorsque Annabelle sort avec ses copines, elle a droit Ă un vĂ©ritable interrogatoire "C'est qui cette LĂ©onore ?" ; "Pourquoi son frĂšre commente toujours tes selfies ?" ; "T'es pas sapĂ©e un peu trop sexy ?" Et encore, ce n'est rien, comparĂ© Ă leurs virĂ©es en amoureux. "Dans la rue, il Ă©tait persuadĂ© que tous les hommes me reluquaient, poursuit-elle. Pis, il Ă©tait sĂ»r que ça me plaisait." Un soir, Diego est mĂȘme Ă deux doigts de cogner un serveur qui a offert une biĂšre Ă Annabelle. Un vrai cinglĂ©. Ce jour-lĂ , la jeune femme lui pose un ultimatum "Tu changes. Ou je me tire." Le message semble passĂ©. Plus de reproches, plus de sous-entendus. Mais voilĂ qu'un matin, Diego lĂąche un "coool..." en fixant le poignet de sa dulcinĂ©e. Elle "Quoi ?" Lui "Ben... tu l'as retrouvĂ©e ?" Un Ă©change banal, en apparence. Sauf qu'Annabelle en est sĂ»re elle n'a jamais dit Ă son compagnon qu'elle a Ă©garĂ© sa montre. Seule LĂ©onore, sa bonne copine, sait. Silence embarrassant. Interrogatoire façon police. Diego crache le morceau il a placĂ© une appli dans le smartphone de sa moitiĂ© et lit ses SMS et ses courriels. C'en est trop. La jeune femme dĂ©guerpit. Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1⏠sans engagement LIRE AUSSI >> Couple comment gĂ©rer la jalousie de son conjoint? L'histoire d'Annabelle est, hĂ©las, tristement banale. Tout comme celle de cette trentenaire qui a dĂ©posĂ© plainte contre son ex-compagnon pour avoir installĂ© une balise GPS sous son vĂ©hicule. Pendant plus d'un an, il a suivi Ă la trace le moindre de ses dĂ©placements. L'espion en herbe comparaĂźt devant le tribunal correctionnel de Lorient, ce mercredi 12 dĂ©cembre. Car inutile d'attendre que son conjoint soit sous la douche pour aller fouiner dans son mobile - plus d'un Français sur cinq s'adonnerait Ă cette pratique, rĂ©vĂ©lait un sondage rĂ©alisĂ© par Yahoo en 2012. Aujourd'hui, traquer son partenaire est devenu un jeu d'enfant. Du stylo camĂ©ra au logiciel espion ultrapointuIl suffit de pousser la porte d'une boutique spĂ©cialisĂ©e pour s'en convaincre. Du stylo espion Ă la camĂ©ra numĂ©rique dernier cri branchĂ©e sur une box elle permet de regarder depuis n'importe quel ordinateur ce qu'il se passe chez soi ou ailleurs, en passant par la boĂźte Ă mouchoirs et le rĂ©veil Ă©quipĂ©s d'un micro, on peut s'offrir, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, la panoplie complĂšte du James Bond amateur. Et pour l'artillerie lourde ? Rien de mieux que la Toile. Faites le test et tapez "Espionner son mari/sa femme". Une foultitude d'applications et de logiciels, dont les noms contiennent presque toujours le terme "spy", permet de surveiller Ă distance un mobile ou un ordinateur. Pour quelques centaines d'euros, voire beaucoup moins, on peut suivre les communications et les dĂ©placements de son partenaire. Les logiciels les plus sophistiquĂ©s permettent non seulement de bloquer certains appels entrants, mais aussi d'activer Ă distance un micro, voire d'enregistrer les touches tapĂ©es sur un clavier ou de rĂ©aliser des captures d'Ă©cran des sites Internet visitĂ©s. GianPaolo Pagni/Costumes3piecesL'utilisation de ces logiciels espions se dĂ©mocratise Ă la vitesse grand V. En cause, le prix, donc. Mais aussi leur facilitĂ© d'installation. Nul besoin d'ĂȘtre un crack en informatique en trois minutes, le tour est jouĂ© ! Pour les moins douĂ©s, il existe mĂȘme des tutoriels. Une fois en place, l'intrus est quasi indĂ©tectable. Jalousie, quand tu nous tiens !Pourquoi diable un tel engouement pour ce matĂ©riel d'espionnage ? "Certes, la jalousie est un sentiment vieux comme le monde, rappelle la sociologue Catherine Lejealle. Mais la sociĂ©tĂ© a changĂ©. D'un cĂŽtĂ©, la cellule familiale s'est resserrĂ©e autour du conjoint et des enfants. Les hommes et les femmes s'investissent davantage dans leur couple. Ils veulent tout partager. De l'autre, les portables se sont immiscĂ©s dans la vie conjugale. Chacun conserve dĂ©sormais une sphĂšre d'autonomie qui peut, dans certains cas, exacerber la jalousie de l'autre "C'est quoi ce texto qui le fait sourire ?" ; "Pourquoi rĂ©pond-elle toujours aussi vite aux MMS de son ex ?".... D'oĂč le besoin pour certains d'aller stalker Ă©pier sur les rĂ©seaux sociaux leur moitiĂ© - on regarde, l'air de rien, les nouveaux amis ajoutĂ©s sur Facebook ou les photos postĂ©es sur Instagram. Ou d'installer un mouchard pour tout connaĂźtre de sa vie numĂ©rique. Les mobiles catalysent beaucoup de fantasmes chez les individus qui manquent de confiance en eux." CĂ©cile est une jalouse maladive. C'est elle qui le dit. La jeune femme a toujours fait les poches de ses chĂ©ris successifs - elle sait que c'est moche, merci ! -, Ă la recherche d'un numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone griffonnĂ©, d'un cheveu suspect, voire d'une trace de maquillage. "C'est plus fort que moi, ça me dĂ©mange les doigts, reconnaĂźt-elle, Et puis, je prĂ©fĂšre dĂ©couvrir que mon mec me trompe plutĂŽt que de l'apprendre de la bouche d'une voisine ou d'une collĂšgue 'bien intentionnĂ©e'." Jusqu'Ă rĂ©cemment, CĂ©cile n'avait pas vraiment de raison de s'inquiĂ©ter. Le doute s'est fait plus important l'an dernier, quand elle a vu Romuald aller systĂ©matiquement aux toilettes avec son smartphone Ă la main. "J'ai posĂ© en douce une appli sur son tĂ©lĂ©phone, ça n'a pas ratĂ© j'ai dĂ©couvert des dizaines de textos Ă l'eau de rose adressĂ©s Ă une certaine Alexia." Le soir mĂȘme, elle balançait tout. Fin de l'histoire. GianPaolo Pagni/Costumes3piecesPlacer un mouchard sur le mobile de son conjoint permet parfois juste de se rassurer. Quand Pierre-Hugo a compris qu'il n'avait pas de raison de douter - il Ă©tait avec quelqu'un de sĂ©rieux -, il a rapidement cessĂ© de consulter les messages destinĂ©s Ă son compagnon. A la premiĂšre occasion, il s'est d'ailleurs promis de s'emparer du tĂ©lĂ©phone de Maxence pour dĂ©sinstaller le logiciel. Des pratiques illicitesDans son cabinet d'Enghien-les-Bains, Arnaud Pelletier voit dĂ©filer un nombre croissant d'hommes et de femmes brandissant des preuves d'adultĂšre numĂ©riques. "Quand ils viennent me voir, 95 % d'entre eux sont dĂ©jĂ au courant de l'infidĂ©litĂ© de leur conjoint, confirme le dĂ©tective. Les soupçons sont presque toujours justifiĂ©s. Mais la plupart de mes clients savent aussi que les mĂ©thodes qu'ils ont utilisĂ©es ne sont pas lĂ©gales. A moi de prouver l'adultĂšre en respectant les rĂšgles pour qu'ils puissent entamer un divorce." Que dit en effet la loi ? L'espionnage est une atteinte Ă la vie privĂ©e et au respect de l'intimitĂ©. "Il est interdit d'entrer par fraude dans un ordinateur ou dans un tĂ©lĂ©phone, confirme Camille Mogan, avocate spĂ©cialisĂ©e dans le droit des nouvelles technologies. Poser un GPS sur le vĂ©hicule de quelqu'un ou le filmer sans son accord est tout aussi rĂ©prĂ©hensible. Les contrevenants risquent un an de prison et 45 000 euros d'amende selon le Code pĂ©nal. En revanche, si vous accĂ©dez Ă une information non protĂ©gĂ©e, sur une boĂźte mail commune, par exemple, ou si vous lisez les mails d'un compte restĂ© connectĂ©, il n'y a pas de problĂšme." Du conjoint au marmotOfficiellement, ces logiciels ne sont pas vendus pour surveiller les conjoints. Ils sont conçus pour les entreprises ou pour les parents un tantinet stressĂ©s. Ceux qui, par exemple, achĂštent des montres connectĂ©es Ă leur bambin de 6 ans ou glissent une clĂ© USB dotĂ©e d'un micro dans la doublure de leur doudoune. Roxane est l'une de ces mamans qui a toujours besoin d'ĂȘtre rassurĂ©e. "J'ai achetĂ© un tĂ©lĂ©phone portable Ă Gaspard quand il est entrĂ© en classe de sixiĂšme, explique cette jeune ergothĂ©rapeute. Mais il me snobait chaque fois que j'essayais de le joindre. Du coup, je me suis dĂ©cidĂ©e Ă commander ce logiciel qui bloque son mobile s'il ne rĂ©pond pas Ă mes appels. Ăa marche du tonnerre Gaspard a tellement peur de ne plus pouvoir consulter ses 'like' sur Facebook qu'il dĂ©croche maintenant au quart de tour." AgnĂšs, elle, dĂ©gaine chaque matin son tĂ©lĂ©phone portable dĂšs que Jeanne, la petite derniĂšre 11 ans, claque la porte de l'appartement parisien. Elle ouvre alors son appli FindMyKids et suit le cheminement de sa fille jusqu'au collĂšge. "L'autre jour, elle a tournĂ© Ă droite au lieu de traverser le carrefour, explique cette mĂšre de quatre adolescentes. Je l'ai aussitĂŽt appelĂ©e pour savoir ce qu'il se passait. Elle avait oubliĂ© de me prĂ©venir qu'elle avait promis Ă sa copine Sarah d'aller la chercher." Du haut de ses 13 ans, Eliott, lui, menace de quitter le pavillon familial si ses parents s'amusaient Ă ce petit jeu-lĂ . "Est-ce que moi je vais regarder dans leurs affaires ? Franchement, ça me donnerait encore moins envie de leur raconter des choses." "Les parents sont plus angoissĂ©s qu'autrefois, analyse Claire Balleys, spĂ©cialiste des sociabilitĂ©s adolescentes. Ils sont persuadĂ©s, souvent Ă tort, que la sociĂ©tĂ© d'aujourd'hui est plus dangereuse que celle d'hier. En fouillant dans le portable de leurs ados, ils s'immiscent dans leur vie privĂ©e. La plupart des jeunes en arrivent Ă effacer les historiques, alors qu'ils adorent conserver les messages et photos de leurs amis et amoureux. C'est regrettable, car on a tous besoin de crĂ©er ces liens intimes pour grandir." La parade pour Ă©chapper aux espions de la maison ? Acheter un autre portable ? Se crĂ©er une adresse mail clandestine que l'on consulterait Ă partir d'un ordinateur hors surveillance ? Mieux encore espionner l'espion. Il finit souvent par lĂącher une info qu'il n'est pas censĂ© connaĂźtre. Souvenez-vous, Diego en a fait les frais. Dans ce cas, fuyez! * La plupart des prĂ©noms ont Ă©tĂ© changĂ©s. Les plus lus OpinionsLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne RosencherChroniquePar GĂ©rald Bronner
TĂ©moignagedâune femme courageuse aux prises avec un pervers narcissique et qui a su faire valoir ses droits face Ă la justice. . Si on est malin, si on sait contrĂŽler ses propres Ă©motions et quâon a de la ressource, on peut « gagner » Le deal Ă ne pas rater Cartes PokĂ©mon sortie dâun nouveau coffret Ultra Premium ... Voir le deal Dradra - Forum de test~ CatĂ©gorie 3 Forum AuteurMessageDradraâș La noble de Serdaigle âFeuille de personnagebla bla lksdlksajndjsjhdkd dfdsfsdgfgddfddd Sujet Ă lire avant de poster = Mar 8 Juin - 2057 Quelques rĂšgles pour le bon fonctionnement de la section littĂ©raire =Pour les auteurs1 - Votre premier post doit ĂȘtre votre fiche de l'auteur que vous devrez Ă©diter au fur et Ă mesure que vous ajoutĂ© des - Un seul sujet par membre pour tous les Ă©crits est autorisĂ©. 3 - Pour chaque chapitre postĂ©, vous devrez utilisĂ© les codes pour les chapitres pour une meilleure lisibilitĂ© dans le - Un seul post par chapitre, idĂ©alement par fiction. ĂditĂ© vos messages pour que tout le monde s'y retrouve plus facilement =5 - Dans votre fiche de l'auteur, je vous demanderais - pour les chapitres - de mettre le lien du post [expliquĂ© plus bas].6 - Aucun contenu mature ne sera - Dans le cas d'une fanfiction, il vous est conseillĂ© de prĂ©venir s'il votre histoire contient des les lecteursVous pouvez poster vos commentaires sur les diffĂ©rents Ă©crits, mais comme le stipule le rĂšglement gĂ©nĂ©ral du forum, aucun propos haineux ou de mĂ©chancetĂ© gratuite ne sera tolĂ©rĂ©. D'un autre cĂŽtĂ©, la critique constructive est la bienvenue, car c'est ainsi qu'on s'amĂ©liore ^^Tout ce que vous devez savoirFaire un lien vers un postJe vous jure que ce n'est pas sorcier = Vous n'avez qu'Ă copier ce lien { } et modifier les chiffres par celui de votre post. Comment fait-on pour le savoir? Passez votre curseur au-dessus du bouton citer ou Ă©diter et vous verrez dans le bas de votre navigateur l'adresse apparaĂźtre, vous n'avez qu'Ă recopier les chiffres = [nota bene vous inscrivez donc deux fois le chiffres que vous allez lire ^^]Les genresGĂ©nĂ©ral Le genre le plus vague, c'est tout ce qui est... Tout ce qui contient de l'action et/ou de l' Les histoires d' Tout ce qui est centrĂ© sur la famille q=AmitiĂ© Les amis, c'est important dans une vie...Western Hiha Cowboy!MystĂšre/Suspense Que se passe-t-il... MystĂšre... 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[Pour ceux qui n'auraient pas compris, c'est une rĂ©fĂ©rence au Hitchhickers Guide to the Galaxy de Douglas Adams, le meilleur roman de science-fiction jamais Ă©crit *-*]Spirituel Tout ce qui concerne le spirituel cx Plus sĂ©rieusement, la mort, les anges, la question de la vie aprĂšs la mort, LittĂ©ralement douleur/rĂ©confort, un personnage va mal, un autre vient le diffĂ©rents formulairesFiche de l'auteurfiche de l'auteur[Note que le membre veut Ă©crire Ă propos de son recueil][Titre de l'histoire] [RĂ©sumĂ© de l'histoire]Univers [Si fanfiction, indiquer le manga/tĂ©lĂ©-sĂ©rie/film/etc. ; si histoire originale, indiquez l'Ă©poque, le contexte, etc.]Genres [Action, AmitiĂ©, Drame, etc.]Statut [En cours, en hiatus ou terminĂ©]Chapitres [1 - 2 - 3 - etc.][Titre de l'histoire] [RĂ©sumĂ© de l'histoire]Univers [Si fanfiction, indiquer le manga/tĂ©lĂ©-sĂ©rie/film/etc. ; si histoire originale, indiquez l'Ă©poque, le contexte, etc.]Genres [Action, AmitiĂ©, Drame, etc.]Statut [En cours, en hiatus ou terminĂ©]Chapitres [1 - 2 - 3 - etc.] Code fiche de l'auteur[Note que le membre veut Ă©crire Ă propos de son recueil][b][Titre de l'histoire] [/b] [i][RĂ©sumĂ© de l'histoire][/i][list][b]Univers [/b] [Si fanfiction, indiquer le manga/tĂ©lĂ©-sĂ©rie/film/etc. ; si histoire originale, indiquez l'Ă©poque, le contexte, etc.][b]Genres [/b] [Action, AmitiĂ©, Drame, etc.][b]Statut [/b] [En cours, en hiatus ou terminĂ©][b]Chapitres [/b] [1 - 2 - 3 - etc.][/list][b][Titre de l'histoire] [/b] [i][RĂ©sumĂ© de l'histoire][/i][list][b]Univers [/b] [Si fanfiction, indiquer le manga/tĂ©lĂ©-sĂ©rie/film/etc. ; si histoire originale, indiquez l'Ă©poque, le contexte, etc.][b]Genres [/b] [Action, AmitiĂ©, Drame, etc.][b]Statut [/b] [En cours, en hiatus ou terminĂ©][b]Chapitres [/b] [1 - 2 - 3 - etc.][/list] Poster un chapitre[titre de la fiction] - chapitre [?]Chapitre ici Code [titre de la fiction] - chapitre [?]Chapitre ici Dradraâș La noble de Serdaigle âFeuille de personnagebla bla lksdlksajndjsjhdkd dfdsfsdgfgddfddd Sujet Re Ă lire avant de poster = Mar 8 Juin - 2138 fiche de l'auteurĂtant donnĂ© que c'est mon idĂ©e, je ne pouvais pas ne pas poster de textes, n'est-ce pas? Je vais surtout poster mes textes rĂ©cents parce que ces vieilles choses qui prennent la poussiĂšre sont bien oĂč elles sont, oubliĂ©es et enterrĂ©es. Quoi que... Non, je vais en poster une juste pour vous montrer l'Ă©volution, ça peut toujours ĂȘtre drĂŽle q= Bref... N'hĂ©sitez pas Ă poster des commentaires positifs ou pas, venez rire et pleurer avec mes personnages créés ou pas hĂ©hĂ© = Bonne lecture les gens ^^Un jeune larbin partit en mission Jack Benson est le serviteur du roi, son seul rĂȘve est de pouvoir partir Ă l'aventure. Le monarque lui accorda se souhait. Que lui arrivera-t-il?Univers Genre conte de fĂ©e, mais pas vraiment Genre AventureeeStatut TerminĂ©Chapitres 1Note de l'auteur TrĂšs, trĂšs vieille histoire qui date de dĂ©cembre 2006 pour un travail jamais Un simple mensonge peut bouleverser une vie. Par un mensonge, une simple mission peut trĂšs mal tourner et on ne peut rien y changer. Kiba l'apprendra Ă ces NarutoGenres TragĂ©die~Statut TerminĂ©Chapitres 1Note de l'auteur La structure de l'histoire est basĂ© sur une citation de La avec l'esprit de la forĂȘt Kakashi, Naruto, Sakura et Kiba sont envoyĂ©s en mission au village de Fujihiro. Dans la forĂȘt avoisinant le village, selon la rumeur qui cours, les gens disparaitraient mystĂ©rieusement. Un esprit? Une farce de mauvais goĂ»t? Ils le dĂ©couvrirent bien rapidement...Univers NarutoGenres AventureStatut TerminĂ©Chapitres 1Note de l'auteur One-shot inspirĂ© d'un long-shot que j'ai Ă©crit qui Ă©tait inspirĂ© d'un autre one-shot CX Mon idĂ©e de Maya' vient d'un mĂ©lange de ces trois fics'-lĂ u_u'J'ai perdu plus qu'un ami Kotetsu et Izumo, les deux insĂ©parables, sont sĂ©parĂ©s Ă jamais...Univers NarutoGenres Songfic [Aujourd'hui - Kamakazi] - DrameStatut TerminĂ©Chapitres 1Note de l'auteur Il n'y a pas de noms tout au long de la fic', dans ma tĂȘte, la premiĂšre personne du singulier reprĂ©sente Kotetsu et la deuxiĂšme journĂ©e dans la tĂȘte d'un ANBU Il n'est pas toujours facile de faire partie de l'Ă©lite des ninjas et encore moins d'ĂȘtre ANBU. Voir des horreurs... en commettre. Ils doivent ĂȘtre forts, mais ils finissent tous par douter. Qu'est-ce que le bien? Le mal?Univers NarutoGenres Drame - AmitiĂ©Statut TerminĂ©Chapitres 1Note de l'auteur Les ANBUs c'est complĂštement fascinant *-* Bref, pour ĂȘtre plus pratique ~» Fic' Ă©crite Ă la premiĂšre personne du singulier pour qu'on rentre vraiment dans sa tĂȘte; pronom qui dĂ©signe personne en particulier pour montrer l'aspect plus gĂ©nĂ©ral de la maniĂšre de penser». Dou?eur Tout le monde dort paisiblement Ă Konoha jusqu'Ă ce que l'impensable arrive... Le village se fait attaquer en pleine nuit. L'ennemi profite de l'effet de surprise pour massacrer le village. Qui sont-ils?Univers NarutoGenres Action - RomanceStatut TerminĂ©Chapitres 1 [Douleur] - 2 [Douceur]Note de l'auteur Deux chapitres, presque deux fics' distinctes, mais trop liĂ©s pour ĂȘtre sĂ©parĂ©es. Le premier chapitre c'est de l'action et le deuxiĂšme un petit shĂŽnen-ai u_u' Je dĂ©clare coupable cxDerniĂšre Ă©dition par Dradra le Mar 8 Juin - 2153, Ă©ditĂ© 1 fois Dradraâș La noble de Serdaigle âFeuille de personnagebla bla lksdlksajndjsjhdkd dfdsfsdgfgddfddd Sujet Re Ă lire avant de poster = Mar 8 Juin - 2145 Un jeune larbin partit en missionDans un lointain royaume, il y a de cela fort longtemps, un souverain vivait dans son chĂąteau avec Jack Benson son serviteur. Jack avait passĂ© sa vie au chĂąteau royal comme serviteur du roi. Le monarque l'aimait bien, car Jack lisait beaucoup, il avait une grande imagination, mais surtout, il Ă©tait trĂšs intelligent. MalgrĂ© qu'il soit petit, ce jeune garçon rĂȘvait de partir Ă l'aventure, Ă©tant proche du monarque, il lui en parlait souverain finit par donner une mission Ă Jack. Le serviteur devait retrouver un talisman d'une valeur inestimable qui avait Ă©tĂ© volĂ© Ă l'autocrate. Jack accepta aussitĂŽt. Le monarque lui expliqua qu'il devait allĂ©e dans des contrĂ©es lointaines pour retrouver le talisman, qu'il allait faire face Ă plusieurs dangers. Jack demanda pourquoi cet objet Ă©tait si important Ă ses yeux et le roi expliqua Ă©vasivement que c'Ă©tait un objet rare, que cela faisait des gĂ©nĂ©rations qu'il Ă©tait dans la famille, rien de trĂšs clair et prĂ©cis. Alors, il ne lui restait qu'une chose Ă demander au roi avant de prĂ©parer ses bagages pour sa quĂȘte, comment il ferait pour reconnaĂźtre le talisman. Le roi rĂ©pondit tout simplement qu'il le saurait. Le garçon s'inclina et alla dans sa chambre pour prĂ©parer ses valises pour le grand Jack quitta le royaume pour accomplir sa mission. Il pĂ©nĂ©tra dans une forĂȘt dense et marcha pendant des jours et des jours. Ă la nuit tombante, Ă©puisĂ©, il aperçut au bout du sentier un village trĂšs particulier. On aurait dit qu'il y avait une Ă©ternelle brume sur le village, qu'il n'avait jamais connu la lumiĂšre. Il semblait dĂ©sert, abandonnĂ© par ces habitants. C'Ă©tait la nuit, il Ă©tait normal que se soit si silencieux, se disait Jack. Alors, il se dĂ©cida d'entrer dans le pĂ©nĂ©trant dans ce lieu, Jack rencontra un vieil homme qui semblait le seul habitant de ce lieu, alors il lui demandaDĂ©solĂ© de vous dĂ©ranger Ă une heure si tardive, mais j'aimerais bien savoir oĂč sont tous les habitant».Le vieil homme leva les yeux de l'objet qu'il tenait entre les mains et ditLes habitants disparaissent un Ă un, je suis le dernier, je vais probablement disparaĂźtre dans les prochains jours».Jack ne sachant pas trop comment rĂ©agir, rĂ©ponditJe suis en mission pour un roi d'une contrĂ©e lointaine, je dois retrouver le talisman volĂ©, ce bijou est d'une raretĂ©, avec votre sagesse d'ancien, sauriez-vous, oĂč je pourrais le trouver?».Le monsieur eut un sourire malsain en entendant le mot talisman et il dĂ©clamaTu vas trouver, dans une grotte non loin de lĂ , un animal parlant qui saura t'aider dans ta quĂȘte».Jack rĂ©flĂ©chis un instant, car il pensait aux contes de sa jeunesse et rĂ©torquaMerci, le roi saura vous rĂ©compenser pour cela, si vous ne disparaissez pas avant».Jack se rendit Ă la grotte pour trouver l'animal parlant qui lui permettrait d'accomplir sa mission, il se disait que cet animal devait ĂȘtre un chat ou peut-ĂȘtre un cheval, mais il n'aurait jamais cru ce qu'il avait vu. Il rentra dans la grotte, un lĂ©ger son se faisait entendre et on pouvait apercevoir une lueur qui venait et partait. Le larbin se rendit jusqu'Ă cet endroit et il aperçut un dragon, qui lui ditJe sais pourquoi tu es venu jusqu'ici, comme tu peux le voir le talisman que tu cherches est autour de mon cou, si tu veux l'avoir il va falloir que tu fasses un choix, soit tu prends le talisman et tu le remets Ă ton roi ou tu le prends pour sauver le village qui a croisĂ© ta route».Jack rĂ©flĂ©chit un instant et rĂ©ponditJe choisis de sauver le village».Le garçon eut Ă peine le temps de finir sa phrase qu'il se fit manger par le fait, le vieil homme que Jack avait rencontrĂ© Ă©tait le dragon dĂ©guisĂ© et il lui avait indiquĂ© la grotte seulement pour pouvoir manger le garçon tranquillement.~» Avouez que vous vous ĂȘtes bien marrĂ© Ă la fin CX Dradraâș La noble de Serdaigle âFeuille de personnagebla bla lksdlksajndjsjhdkd dfdsfsdgfgddfddd Sujet Re Ă lire avant de poster = Mar 8 Juin - 2151 Ă mouillait. C'Ă©tait une journĂ©e oĂč tout le monde prĂ©fĂ©rait rester Ă l'intĂ©rieur, pour jouer Ă des jeux de sociĂ©tĂ©, par exemple. Bien entendu, cette rĂšgle ne s'appliquait pas pour les ninjas. Ils devaient partir en mission tout de mĂȘme. Le monde ne cessait pas de tourner. La pluie lui glaçait le sang. Kiba grognait. Il dĂ©testait avoir froid. De plus, il Ă©tait seul. Tsunade avait dit qu'il Ă©tait inutile qu'il soit accompagnĂ©, donc il Ă©tait partie avec ce marchand; sa mission le reconduire en tout sĂ©curitĂ© jusqu'Ă son village. Mission exempte de danger, l'homme, dont il avait dĂ©jĂ oubliĂ© le nom, avait seulement peur des brigands qui pouvaient se promener entre leur deux villages. Ce n'Ă©tait pas la journĂ©e pour faire ce genre de mission, tout le rendait de mauvaise humeur; l'humiditĂ© qui lui embrouillait l'odorat, le bruit de succion que faisait leur pieds Ă chacun de leur pas, puis il avait cette pluie qui ne cessait de tomber de plus en plus durement sur eux. Il soupira, la journĂ©e allait ĂȘtre longue Ă ce rythme. Akamaru avait raison, il devait se calmer. Il devenait vraiment bougon. Il regarda le ciel noir avec une lueur d'espoir. Il lui faudrait une autre journĂ©e entiĂšre pour revenir Ă Konoha, si au moins la tempĂ©rature pouvait s'amĂ©liorer, juste un peu. Il n'en demandait pas beaucoup, seulement un petit filet de soleil pour Ă©gayer leur pas dangereuse... C'est bien ce que Tsunade avait dit, non? Mission sans pĂ©ril. Pourtant, ils venaient de se faire encercler par cinq ninjas qui en voulaient au marchand. Il avait, semble-t-il, quelque chose d'important sur lui. La vĂ©ritĂ© c'est qu'il avait eu peur de se faire attaquer, comme Ă l'instant prĂ©sent. Pourquoi ne l'avait-il pas dit? Kiba sentait qu'il s'emportait, mais il devait se calmer. Ce n'Ă©tait pas le moment pour tempĂȘter, il demanderait des explications plus tard. Il devait protĂ©ger le marchand, mĂȘme s'il avait une vague envie de le laisser Ă lui-mĂȘme pour avoir mentie. Sa mission Ă©tait de le protĂ©ger, alors c'est ce qu'il ferait. Akamaru s'approcha de lui et il utilisa le Jyujin Bunshin pour le transformer. Ensuite, ils attaquĂšrent de concert les deux adversaires les plus prĂšs du marchand. Sa tactique, les assommer suffisamment longtemps pour qu'il puisse avoir le temps de s'Ă©loigner, mais les choses ne se passĂšrent pas comme prĂ©vue. Les ninjas ne restĂšrent au sol que quelques instant et se relevaient dĂ©jĂ sans une seule Ă©gratignure. Kiba attaqua de nouveau. Il les frapperait autant de fois que nĂ©cessaire, encore et encore. Ils Ă©taient peut-ĂȘtre endurant, mais il finirait par trouver une une avait-il le moindre espoir? Kiba avait beau les attaquer, ils ne semblaient pas se fatiguer. Il ne tiendrait pas longtemps, il avait de la difficultĂ© Ă protĂ©ger le marchand, car dĂšs qu'Akamaru et lui attaquaient, deux autres approchaient, ils attaquaient, ils approchaient et ainsi de suite. C'Ă©tait sans fin et Kiba commençait Ă douter que c'Ă©tait sa fatigue qui viendrait Ă bout de lui. Sans compter qu'il avait l'impression qu'on se moquait de lui. Les ninjas se relevaient toujours sans dommage, ils ne tentaient mĂȘme pas d'Ă©viter les coups ou mĂȘme de l'attaquer. Ătait-ce des clones? Est-ce que les vrais Ă©taient en train de l'observer en riant? Il s'Ă©puisait inutilement. Les ninjas qu'il attaquait ne pouvaient pas ĂȘtre humains. Avec cette pluie, il n'arrivait toujours pas Ă distinguer les odeurs avec prĂ©cision, mais avant de concentrer son chakra dans son nez, il devait s'assurer que c'Ă©tait bel et bien des clones. Il allait utiliser la bonne vieille mĂ©thode. Il sortit discrĂštement des kunais et en lança un sur chacun de ses adversaires avec prĂ©cision. Ils atteignirent tous leur cible et aucun d'eux ne saignaient. Ils ne firent que retirer l'arme et la laissĂšrent tomber au sol. Sa thĂ©orie Ă©tait juste, des clones, mais pourquoi ne disparaissaient-ils pas? Il ne put amener sa rĂ©flexion plus loin, car c'est Ă cet instant que l'un des ennemi cachĂ© se dĂ©cida, finalement, Ă attaquer. Kiba Ă©tait de dos, il ne pouvait pas le voir, alors Akamaru vint sauver son sa gauche, Kiba aperçu Akamaru agonisant. Son chien avait sautĂ© et avait pris le coup destinĂ© Ă son maĂźtre de plein fouet. Il saignait, il Ă©tait dans un piteux Ă©tat. Il avait voulu le sauver... encore. Kiba avait promis qu'il ne laisserait rien lui arriver, il avait Ă©chouĂ©, alors c'Ă©tait Ă son tour de le sauver. Qu'importe le prix. Une force de dĂ©sespoir lui donna un regain d'Ă©nergie. Il Ă©tait dĂ©finitivement en colĂšre, personne n'avait le droit de faire du mal Ă Akamaru. Il les vaincrait. Maintenant, qu'ils avaient attaquĂ©s, ils avaient trahis leur position, Kiba n'avait plus qu'Ă la prĂ©ciser. Il concentra du chakra dans son nez et eut un sourire au coin des lĂšvres. Quelle imprudence! Ils Ă©taient tous les cinq l'un Ă cĂŽtĂ© de l'autre. S'ils avaient eu une once d'intelligence, ils se seraient mis Ă distance, avec l'humiditĂ©, Kiba aurait eu beaucoup plus de difficultĂ© Ă les trouver. Il sortit d'autres kunais et les lança dans les arbres. Les ninjas ne s'attendaient pas Ă se faire attaquer, alors ils se firent frapper de plein fouet. Sous le coup, ils tombĂšrent de leur percher dans un bruit sourd. Toucher. Couler. Kiba s'approcha et les ligota. Avec l'ennemi hors d'Ă©tat de nuire, il accouru vers Akamaru. Sa blessure Ă©tait grave, beaucoup plus qu'il ne l'avait cru au dĂ©part. Kiba retenu ses larmes, il devait ĂȘtre fort, pour Akamaru. Son chien allait s'en sortir. Ce n'Ă©tait pas qu'un simple familier, c'Ă©tait plus qu'un ami. C'Ă©tait absolument tout pour Kiba. Il devait s'en seule fois, Kiba souhaitait retourner dans le passĂ©, insister davantage pour avoir une Ă©quipe comme le voulait les normes... Que les choses ne soient jamais arrivĂ©s ainsi. Il n'avait pas pu le deviner, mais il s'en voulait de ne pas avoir insister, malgrĂ© la mission soi-disant facile. Il ne pouvait supporter de voir son chien dans cet Ă©tat, souffrant, saignant. Il arracha un morceau de tissu de son chandail et pansa la plaie de son compagnon du mieux qu'il le pouvait. Ensuite, il mit Akamaru sous son gilet pour pouvoir le garder au chaud. Le marchand commençait Ă s'impatienter, ils devaient poursuivre leur route avant que d'autres ennemis arrivent. Kiba bouillait, sa colĂšre le faisait suffoquer. Il cria sa rage. Demanda des explications. Le marchand pĂąlit devant la rĂ©action du jeune homme. Lui qui avait toujours entendu que les ninjas complĂ©taient leur mission sans poser de question, sans afficher la moindre Ă©motion. Kiba faisait tout le contraire, il Ă©tait dĂ©chainĂ©, alors le marchand dĂ©cida de tout lui expliquer; le rouleau qu'il devait garder prĂ©cieusement pour le maĂźtre de son village, le fait qu'on l'avait menacĂ© de la tuer s'il engageait des ninjas et du fait qu'il avait eu tout simplement peur. Peur de mission devait ĂȘtre complĂ©tĂ©e avant qu'un ninja puisse retourner au village. Kiba le savait. Par la faute de ce marchand, Akamaru Ă©tait blessĂ©. L'Inuzuka n'aurait pas dĂ» ĂȘtre envoyĂ© seul dans cette mission. Il se pencha vers son chien et lui dit qu'il Ă©tait dĂ©solĂ©. Il ne pouvait pas retourner Ă Konoha dans l'immĂ©diat. ArrivĂ© au village du marchand, ce dernier le remercia plusieurs fois de lui avoir fait parcourir tout le chemin sain et sauf. Ses remerciements avaient un goĂ»t amer pour Kiba; Akamaru Ă©tait gravement blessĂ© et tout ce qu'il trouvait Ă dire c'Ă©tait merci, aucun mot d'excuse. Kiba, quant Ă lui, repris sa route brusquement, sans dire un seul mot. Il ne voulait que retourner Ă Konoha. Akamaru faisait de la fiĂšvre, il gĂ©missait de plus en plus. Kiba tentait de le rassurer, mais il savait qu'aucun mot ne pouvait l'apaiser, tout ce qu'il pouvait faire, c'Ă©tait d'ĂȘtre lĂ pour lui. Il changeait les pansements rĂ©guliĂšrement, alors il voyait que malgrĂ© tous ses efforts la plaie s'infectait. Il s'inquiĂ©tait. Il fit le chemin du retour rapidement, en une demi-journĂ©e il Ă©tait revenu au village. Il avait Ă©tĂ© imprudent sur la route, par la vitesse, il s'Ă©tait fait entailler le visage par les branches qui lui avait fouettĂ© le visage. Il n'arrivait pas Ă ressentir la douleur, toutes ses pensĂ©es Ă©taient tournĂ©es vers la santĂ© de son quelle sorte... d'arme avait put faire une telle chose? La premiĂšre chose que Kiba avait fait en arrivant Ă Konoha avait Ă©tĂ© de courir jusqu'Ă la maison de sa soeur. Il Ă©tait certain qu'Hana pourrait quelque chose pour Akamaru. Mais, cette derniĂšre fut surprise par la blessure, mais elle ne se laissa pas abattre pour autant. Elle demanda Ă Kiba de se tenir un peu Ă l'Ă©cart. Elle savait qu'il refuserait de quitter le chevet de son chien, mais elle avait besoin d'espace pour travailler. Elle constata rapidement qu'il Ă©tait impossible de dĂ©sinfecter la plaie. Tous les produits, mĂȘme l'eau, Ă©tait rejetĂ© par la plaie. L'infection ne faisait que se propager encore plus rapidement. Comment Ă©tait-ce possible? Quelle sorte de poison Ă©tait-ce? Elle demanda mĂȘme l'aide des mĂ©decins du village pour voir s'il n'avait pas une idĂ©e de la cause de cette infection. Personne n'avait rien vu de telle. Kiba devenait de plus en plus anxieux. Il Ă©tait rongĂ© par l'inquiĂ©tude. Il ne pouvait quitter une seule seconde Akamaru. Il en oubliait de manger et commençait Ă faire de la fiĂšvre. Par contre, il refusait de recevoir des soins. Tant que son chien n'irait pas mieux, il ne bougerait pas. Il trouvait insupportable de le voir dans cet Ă©tat. La culpabilitĂ© l'envahissait. Pourquoi l'avait-il sauvĂ©? Il aurait dĂ» ĂȘtre celui agonisant. Il lui avait promis qu'il ne le laisserait plus prendre tous les coups. Les choses n'auraient pas du se dĂ©rouler ainsi. Il Ă©tait incapable de contrĂŽler ses larmes qui coulaient sur son visage. Il Ă©tait accablĂ© de voir la situation qu'empirer de minute en Ă ne plus ĂȘtre. OĂč Ă©tait la limite entre ces deux entitĂ©s? Kiba commençait Ă voir la mort mirer dans les yeux d'Akamaru qui se lamentait de moins en moins. Ce silence Ă©tait Ă©touffant, dĂ©sespĂ©rant. Le moindre jappement, glapissement, demandait un effort Ă son compagnon. Il souffrait. Il Ă©tait faible, mais il trouva l'Ă©nergie, dans un gĂ©missement, de demander Ă se faire prendre. Le dĂ©sespoir l'envahissait, il voulait sentir la chaleur de son maĂźtre... une derniĂšre fois. Kiba le souleva doucement et le serra contre lui. Ses larmes brillaient sur son visage, pendant qu'il Ă©coutait le rythme irrĂ©gulier de leur deux coeurs. Il ne saurait dire comment de temps ils Ă©taient restĂ©s dans cette position. En fait, il avait perdu la notion du temps depuis son retour Ă Konoha. Tout ce qui comptait pour lui, c'Ă©tait Akamaru. Puis, il cessa d'entendre les battements du coeur de son meilleur ami. Il murmura des mots incomprĂ©hensibles. Il ne pouvait pas y croire. Pas maintenant. La fin ne pouvait pas arriver si tĂŽt. Il n'Ă©tait pas prĂȘt Ă le laisser partir. Tout s'Ă©croulait autour de lui. Son passĂ©, son prĂ©sent et son futur venaient d'ĂȘtre bonheur, rire... Ces mots perdaient leur sens tranquillement aux yeux de Kiba. Ils ne signifiaient plus rien. Ce n'Ă©tait que des mots, un rassemblement de lettres. Sans Akamaru, ces mots n'Ă©taient rien. Kiba Ă©tait figĂ© dans le temps, il ne bougeait pas d'un seul millimĂštre, ne respirait pas. Il retenait le corps inerte de son meilleur ami contre son coeur. On lui parlait, mais il n'entendait rien. On le secouait, mais il ne ressentait rien. On s'agitait autour de lui, mais il Ă©tait incapable de retourner vers la rĂ©alitĂ©. Il Ă©tait perdu dans son cauchemar, ses pensĂ©es, il souhaitait pouvoir se rĂ©veiller en sursaut et voir Ă ses cĂŽtĂ©s son compagnon dormir tranquillement. Il avait conscience que cela n'arriverait jamais. Il devait l'accepter. L'accepter? Il releva ses yeux humides et croisa le regard triste d'Hana qui Ă©tait en train de le secouer. Elle le serra dans ses bras. Cette accolade, ne fit qu'augmenter ses larmes. Akamaru reprĂ©sentait tout pour lui. Personne ne pouvait comprendre sa peine. Personne ne pourrait le consoler. Akamaru n'Ă©tait pas qu'un simple animal, il Ă©tait son Ă©gal, mĂȘme qu'il valait plus que lui. Il avait Ă©tĂ© un maĂźtre la vie poursuivait son chemin... Vraiment? Kiba n'avait pas cette impression. Il Ă©tait tombĂ© dans un puits sans fond. Le nĂ©ant. Il Ă©tait pris au piĂšge et, en quelque sorte, il ne souhaitait pas se libĂ©rer. Prisonnier de sa volontĂ©. Tout s'obscurcissait autour de lui, mais il ne souhaitait pas retrouver la lumiĂšre. Il n'Ă©tait rien. Qu'un corps vide. Sans amour, sans haine. Remplie d'un sourd dĂ©sespoir qui ne peut crier sa peine. Une souffrance silencieuse insurmontable. Il Ă©tait affaiblie par sa peine, il n'avait plus de force, il ne valait rien. Plus il tentait de se souvenir, plus il s'enfonçait. Tout lui rappelait l'ĂȘtre qu'il avait si chĂšrement aimĂ©. Il gardait les yeux fermĂ©s et se bouchait le nez; il refusait de voir toutes choses qui pourraient le rappeler Ă lui, de sentir son odeur Ă nouveau. Il aurait prĂ©fĂ©rĂ© mourir que subir cette douleur continuelle. Combien de temps allait-elle durer? Un semaine? Dix ans? L'Ă©ternitĂ©? Il se sentait incapable de vivre avec elle. Pouvait-on vivre en harmonie avec ce sentiment? Cet Ă©tat de transe qui le tuait, qui l'Ă©touffait sournoisement sans crĂ©er une seule blessure physique, qui lui faisait oublier qui il mouillait Ă nouveau. Exactement la mĂȘme pluie que la journĂ©e oĂč il Ă©tait partie en mission pour la derniĂšre fois. Pourquoi aujourd'hui? Ătait-ce l'ironie du destin? Tant de souvenirs amers refaisaient surface. Kiba n'avait plus le choix, il avait dĂ» sortir de sa torpeur pour les funĂ©railles. Sortir. Ouvrir les yeux. Cesser de boucher son nez. Les larmes qui lui coulaient sur les joues lui semblaient brĂ»lantes, mais il n'avait pas la force de les Ă©touffer. Il ne pouvait le supporter. Son petit chien, celui qui l'avais toujours compris malgrĂ© toutes ses erreurs, se faisait enterrer devant ses yeux. Il se rapprocha du trou. Il Ă©tait incapable de contenir ses Ă©motions. Il Ă©tait tellement dĂ©solĂ© d'avoir Ă©tĂ© le pire des maĂźtres. Il ne l'avait jamais traitĂ© Ă sa juste valeur. Il aurait mĂ©ritĂ© tellement plus. Akamaru n'avait pas seulement Ă©tĂ© fidĂšle, il avait toujours fait tout ce qu'il pouvait pour rendre Kiba heureux. Kiba avait tant de regrets, mais il Ă©tait trop tard pour se faire pardonner. Il lança une jonquille, Akamaru adorait leur odeur, il resta ensuite recroquevillĂ© sur lui-mĂȘme et les regardait lancer la terre. Son regard criait sa dĂ©tresse, mais aucun son n'arrivait Ă sortir de sa avait-il quelque chose de positif dans la mort? Ă chaque funĂ©railles, il y avait toujours quelqu'un pour dire un quelconque message d'espoir, mais pas cette fois-ci. Beaucoup voyait Akamaru comme n'Ă©tant qu'un chien, mais il avait aidĂ© le village au mĂȘme titre que les autres ninjas. Pourquoi personne ne le voyait ainsi? Pourquoi Ă©taient-ils sans coeur? Pourquoi ne comprenaient-ils pas son importance? MĂȘme que plusieurs ne comprenaient pas pourquoi un chien avait eu droit Ă des funĂ©railles, se demandant pourquoi il n'avait pas Ă©tĂ© tout simplement mis dans une boĂźte de carton et enterrer dans le jardin de son propriĂ©taire. Kiba Ă©tait dĂ©goĂ»tĂ© de ses gens, parler de cette maniĂšre d'Akamaru. Il avait Ă©tĂ© un ninja qui avait aidĂ© Ă sauver Konoha, sauver leur vie. Il les avait en aversion, il aurait voulu faire Ă©clater sa fureur sur eux, leur faire comprendre tout ce qu'Ă©tait Akamaru. Tout ce qu'ils ne seront jamais, ils Ă©taient tous des moins que rien Ă ses cĂŽtĂ©s, mais il n'avait plus la force, il Ă©tait complĂštement vidĂ© de toute Ă©nergie, de toute acceptant sa mort les choses seraient plus facile. C'est ce que tout le monde ne cessait de lui rĂ©pĂ©ter, mais il en Ă©tait incapable. On lui avait mĂȘme proposer de le remplacer, avoir un autre chien, mais rien, jamais, ne pourrait prendre la place qu'avait eu Akamaru. Ce n'Ă©tait pas un chien parmi tant d'autres, il ne l'avait jamais Ă©tĂ©. Il avait Ă©tĂ© un complice, un partenaire, un ami, un confident. Les liens qui les unissaient Ă©taient plus forts que ceux qui le liait Ă sa mĂšre, sa soeur ou bien ses amis. Il avait tout partagĂ© avec lui. Il avait Ă©tĂ© heureux grĂące Ă lui. Akamaru avait toujours rĂ©ussi Ă le faire rire, lui changer les idĂ©es qu'importe la situation. Il avait Ă©tĂ© lĂ pour le consoler, l'aider Ă extĂ©rioriser sa rage, celui qui rĂ©ussissait toujours Ă lui faire reprendre son sang-froid. Il ne pouvait tout simplement pas accepter. C'Ă©tait contre sa nature, contre ses dĂ©sirs les plus profond. Il prĂ©fĂ©rait souffrir qu'avoir Ă l'accepter. C'Ă©tait vain, il le savait, Akamaru ne reviendrait, mais son compagnon ne pouvait mourir. Il aurait dĂ» rester vivant. Kiba ne souhaitait que le voir respirant de vie, encore une fois, lui parler une derniĂšre sa famille et ses amis, Kiba ne pouvait que s'excuser. Les jours passaient, mais il n'allait pas mieux. Son Ă©tat n'allait qu'en empirant. Sa douleur Ă©motionnelle le rendait malade; il Ă©tait fiĂ©vreux, pourtant il Ă©tait glacial, il avait le teint blanc comme neige et il avait perdu du poids, beaucoup trop. Les mĂ©decins avaient tentĂ© de faire des traitements, mais ils rĂ©alisĂšrent rapidement qu'ils Ă©taient inutiles. Inconsciemment, Kiba les refusait. Il se laissait mourir de sa propre volontĂ©. Il n'avait plus aucune attache sur terre. Il ne trouvait rien qui pourrait l'inciter Ă rester en vie. En fait, une seule chose faisait qu'il Ă©tait toujours vivant. Il ne pouvait pas mourir, Akamaru s'Ă©tait sacrifiĂ© pour lui, pour qu'il ne soit pas blessĂ©. Pour lui, pour sa mĂ©moire, il devait continuer Ă respirer. MĂȘme s'il n'avait plus la force de se battre comme auparavant. Ce Kiba-lĂ Ă©tait mort en mĂȘme que son meilleur ami. Ils n'Ă©taient rien l'un sans l'autre. Avant sa mort, Kiba n'avait jamais rĂ©alisĂ© Ă quel point ils se complĂ©taient. Ils Ă©taient comme la terre et le ciel, la lune et le soleil. ComplĂ©mentaires. Ils ne pouvaient vivre si l'autre Ă©tait ans? Mille jours? Mille secondes? Tout revenait au mĂȘme pour Kiba. Il Ă©tait figĂ© dans son propre espace-temps. Il refusait d'avancer et mĂȘme de reculer. Il Ă©tait pris dans cette journĂ©e oĂč son Akamaru avait Ă©tĂ© blessĂ©. Cette journĂ©e qui chamboula sa vie pour toujours. Il ne cessait de se crĂ©er des scĂ©narios de et si...», tous arrivaient Ă la mĂȘme conclusion. Son compagnon aurait pu vivre. Il aurait pu le sauver et se sauver par la mĂȘme occasion. Il ne fallait que d'un tout petit Ă©lĂ©ment pour tout changer. Si les choses avaient Ă©tĂ© fait diffĂ©remment, tout aurait pu bien tourner. Ils pourraient encore ĂȘtre heureux, ensemble, encore de nombreuse annĂ©es. Si seulement... Kiba se faisait subir cette torture mentale constamment. Il se crĂ©ait un monde oĂč tout Ă©tait possible, oĂč les malheurs n'arrivaient jamais, car il y avait toujours une possibilitĂ© de tout arranger. Un endroit oĂč tout Ă©tait possible. Il se laissait succomber. Plus il le faisait, plus son retour Ă la rĂ©alitĂ© allait ĂȘtre cruel, infĂąme et sans pitiĂ©. Pourtant, il se laissait engloutir par sa dĂ©sillusion qui lui donnait espoir lĂ oĂč il n'y en avait façons de voir les choses, diffĂ©rentes maniĂšres de vivre, diffĂ©rentes opinions. L'entourage de Kiba ne savait plus quoi faire de lui. La lumiĂšre de la vie Ă©tait inexistante dans ses yeux. Rien ne le faisait dĂ©crocher, il Ă©tait coincĂ© dans sa peine. Il n'arrivait pas Ă passer Ă autre chose. Tout le monde Ă©tait venu le voir, tout le monde avait essayĂ© quelque chose; des mĂ©thodes douces, d'autres plus drastiques, mais il n'y avait rien Ă faire. Il Ă©tait au fond du puits. Il Ă©tait si creux que personne n'arrivait Ă le repĂȘcher. Kiba avait cessĂ© de pleurer, mais sa peine semblait encore plus atroce, comme s'il Ă©tait rendu Ă un point que les larmes Ă©taient insuffisantes, qu'elles ne crĂ©aient plus leur effet tranquillisant. Pendant le jour, son entourage le voyait, le regard vide, sans aucune Ă©motion, sans force. Par contre, la nuit, il faisait des crises horribles. Il criait dans son sommeil. C'Ă©tait les seuls moments oĂč il sortait de son Ă©tat de transe. Quelques cours instants oĂč il avait une Ă©motion sur son visage. De la douleur, oĂč il semblait vĂ©ritablement abattu, qu'une lueur de vie retrouvait son visage, mais ces moments ne duraient jamais longtemps. Les jours passaient ainsi et rien ne changeait. Seul Kiba pouvait s'aider et il ne semblait pas encore prĂȘt Ă le C'Ă©tait ce que ne cessait de se rĂ©pĂ©ter Kiba, il n'avait qu'Ă copier leur Ă©motions. Il voyait bien qu'on s'inquiĂ©tait pour lui, alors il tentait de feindre un sourire, mais son univers Ă©tait vide des Ă©motions de plaisir. Il n'avait jamais rĂ©ussit Ă oublier Akamaru et il en avait conclue que jamais il ne rĂ©ussirait Ă l'oublier. Tout le monde voyait dans son jeu, celui du faux sourire que pour les rendre content. Il ne souhaitait pas ĂȘtre heureux, mais il ne voulait pas non plus rendre son entourage malheureux par sa faute. Ils n'avaient pas Ă vivre avec sa douleur, son fardeau, sa culpabilitĂ©. Il devait garder son amertume, sa peine, sa colĂšre pour lui-mĂȘme. Il ne voulait pas qu'on le protĂšge, il n'accepterait plus qu'on se sacrifie pour lui, plus jamais. Il ne mĂ©ritait pas d'ĂȘtre toujours en vie. Il ne pouvait pas se pardonner, il ne pouvait mourir. Il Ă©tait coincĂ© dans cette vie qu'il ne souhaitait pas. Il Ă©tait rendu Ă un point oĂč il considĂ©rait qu'il mĂ©ritait cette souffrance. Chaque secondes sans Akamaru Ă©tait sa punition pour toutes ses erreurs n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille diffĂ©rentes avait tout perdu. L'ĂȘtre qui comptait le plus Ă ses yeux. Celui qui avait toujours Ă©tĂ© lĂ pour lui. Celui qu'il aimait au point de mourir. Celui pour lequel il aurait dĂ» se sacrifier. Il avait Ă©tĂ© un mauvais maĂźtre et il l'avait perdu, il Ă©tait trop tard pour se faire pardonner. Il regrettait. Il ne pourrait plus jamais le serrer dans ses bras, courir avec lui. Il avait perdu son meilleur ami, Ă jamais. Jamais, le vide ne pouvait ĂȘtre comblĂ©. Jamais ses blessures ne pourraient ĂȘtre guĂ©rit. La douleur allait toujours rester vive, lui rappelant Ă jamais la dure rĂ©alitĂ©. Il allait ĂȘtre seul. Personne ne pourra jamais le remplacer, personne ne pourra jamais remplir ce vide. Personne ne pouvait comprendre sa douleur, comprendre qu'il l'avait aimĂ© plus que tout, plus que la vie et il l'avait perdu. Il ne pouvait se pardonner. Il ne pouvait pardonner l'univers pour cette perte. C'Ă©tait la Jamais. Dradraâș La noble de Serdaigle âFeuille de personnagebla bla lksdlksajndjsjhdkd dfdsfsdgfgddfddd Sujet Re Ă lire avant de poster = Mar 8 Juin - 2155 Rencontre avec l'esprit de la forĂȘtKiba avait Ă©tĂ© jumelĂ© Ă l'Ă©quipe de Kakashi pour sa prochaine mission. Shino et Hinata Ă©taient dĂ©jĂ occupĂ©s sur d'autres missions; Shino Ă©tait partie en mission avec son pĂšre et Hinata devait protĂ©ger le fils de quelqu'un d'important jusqu'Ă son retour chez lui. Kiba avait Ă©tĂ© le seul laissĂ© derriĂšre, mais Tsunade avait remĂ©diĂ© Ă la situation en le convoquant avec l'Ă©quipe de Kakashi, Naruto et Sakura pour leur prochain dĂ©part. L'hokage expliqua leur mission simplement. Le dirigeant du village de Fujihiro voulait que les shinobis se dĂ©barrassent de l'esprit de la forĂȘt avoisinant leur village. Cet esprit empĂȘchait quiconque de pĂ©nĂ©trer les bois ou plutĂŽt, toute personne franchissant son seuil n'en revenait jamais, disparaissant Ă jamais. DĂšs que le mot esprit avait Ă©tĂ© prononcĂ©, Naruto avait tournĂ© de l'oeil. Il avait l'impression que Tsunade faisait exprĂšs de toujours l'envoyer sur les missions qui concernaient les esprits et les choses surnaturelles. Sakura le ramena rapidement Ă l'ordre en lui donnant un coup derriĂšre la tĂȘte. Tsunade leur dit qu'ils devaient se dĂ©barrasser de cet esprit pour que les gens puissent voyager librement dans cette forĂȘt sans disparaĂźtre et ils ne devaient hĂ©siter Ă appeler du renfort si les quatre trouvĂšrent Ă©trange que Tsunade leur proposent d'appeler du renfort, ce n'Ă©tait pas dans ses habitudes, surtout qu'il manquait d'effectif Ă Konoha. En savait-elle plus qu'elle n'en avait dit? Ils tentĂšrent de ne pas trop y penser et partirent aussitĂŽt. Fujihiro n'Ă©tait pas trĂšs loin, un peu moins d'une demi-journĂ©e de marche. Pendant toute la durĂ©e de leur parcours, Naruto s'imaginait les pires scĂ©narios. Il avait toujours dĂ©testĂ© tout ce qui concernait les esprits. Il Ă©tait certain qu'ils allaient disparaĂźtre dans cette forĂȘt. Ils tentaient de convaincre tout le monde qu'il Ă©tait encore le temps de faire demi-tour, mais personne ne penchait de son cĂŽtĂ©. Sakura ne cessait d'argumenter avec lui, ou de le frapper, elle ne cessait de rĂ©pĂ©ter que les esprits n'existaient pas et qu'ils Ă©taient des ninjas formĂ©s, que quiconque qui Ă©tait dans cette forĂȘt n'avait aucune chance contre eux. Kiba marchait en avant avec Kakashi et lui demanda s'ils Ă©taient toujours comme cela. Ils trouvaient que Sakura et Naruto ressemblaient Ă un vieux couple Ă se chamailler Ă tout bout de champ ainsi. Le senseĂŻ ne fit qu'hocher de la tĂȘte en souriant. L'inuzuka soupira, le trajet allait ĂȘtre long Ă ce rythme-lĂ . Il n'avait pas l'habitude de subir les Ă©nervements de Naruto, tout Ă©tait tellement plus calme avec Hinata et arrivĂšrent Ă Fujihiro en dĂ©but d'aprĂšs-midi. Ils se dirigĂšrent aussitĂŽt vers la maison du dirigeant du village. Ils y reçurent un accueil de roi, on leur apporta Ă manger et on leur proposa de se reposer avant de rencontrer Yoshimitsu. Ils acceptĂšrent par politesse et parce qu'ils se doutaient qu'ils allaient avoir une grosse journĂ©e devant eux. AprĂšs quelques heures de repos, des gardes vinrent les chercher pour l'entretient avec le maĂźtre de la place. Il leur expliqua l'enfer qu'il vivait, lui qui souhaitait rendre son village plus vivant, les gens fuyaient Ă cause de la forĂȘt. Depuis qu'il avait commencĂ© Ă parler de son projet, les gens disparaissaient, les uns aprĂšs les autres. Kakashi demanda quel Ă©tait son projet. Des Ă©toiles vinrent scintiller dans le regard de Yoshimitsu, il voulait dĂ©truire une partie de la forĂȘt pour pouvoir crĂ©er un gros marchĂ© qui attirerait des touristes de partout dans le monde. Par contre, Ă ce rythme, ce rĂȘve ne se rĂ©aliserait jamais. Personne ne souhaitait entreprendre les travaux, leur prĂ©dĂ©cesseurs ayant tous disparus, sans exception. Il ne pouvait plus l'accepter. Il devait faire quitter l'esprit de la forĂȘt Ă jamais, pour la rĂ©ussite de ses grandes n'en glissa pas mot, mais il se doutait que le problĂšme Ă©tait ce projet que Yoshimitsu avait dĂ©cidĂ© d'entreprendre. Il se tourna vers ses partenaires de la mission et leur proposa d'aller voir la forĂȘt par eux-mĂȘme. Naruto trouvait que c'Ă©tait une trĂšs mauvaise idĂ©e, qu'il devait y avoir un autre moyen pour recueillir des informations, ici, ils Ă©taient si bien traitĂ©s, ils pourraient rester ce reposer encore un peu... Encore une fois, Sakura frappa et il suivit. DĂšs leur premier pas dans la forĂȘt, ils eurent une drĂŽle d'impression, celle d'ĂȘtre constamment observer par les animaux de cette forĂȘt. Kiba glissa quelques mots Ă Akamaru, puis hocha de la tĂȘte sombrement. Il se retourna vers les autres et confirma leur pensĂ©es. Les animaux Ă©taient vraiment en train de suivre leur moindre fait et geste. C'Ă©tait une forĂȘt bien Ă©trange, encore plus que le disait les rumeurs et qu'ils auraient plus l'imaginer. Comment une telle chose Ă©tait possible? Ils restaient sur leur garde, mais aucun des animaux ne semblaient vouloir les attaquer. Ils ne faisaient qu'observer. Ils marchĂšrent quelques heures sans que ce sentiment de malaise s'estompe. Ils n'Ă©taient clairement pas la bienvenue ici, mĂȘme si aucune action n'Ă©tait prise, le message Ă©tait clair, net et venez-vous faire dans notre forĂȘt?Le soir Ă©tait prĂšs de tomber quand une femme apparu sur une branche au-dessus d'eux. Ils ne purent savoir Ă quoi elle ressemblait, car elle portait un masque d'anbu. Il ne pouvait que voir sa longue tresse noire et son bandeau oĂč la feuille avait Ă©tĂ© rayĂ©e. Ils se trouvaient face Ă une nukenin. Elle sauta devant eux et les observa. Elle attendait une rĂ©ponse. Elle semblait impatiente. Naruto, Kiba et Sakura semblaient prĂȘt Ă attaquer, mais Kakashi expliqua qu'ils avaient Ă©tĂ© engagĂ©s pour tenter d'arrĂȘter les disparitions qui avaient lieu dans cette forĂȘt, comme s'il trouvait tout cela parfaitement normal Ă la surprise des trois qui l'accompagnaient. Pour seule rĂ©ponse, la femme siffla et une louve approcha. Elle ajouta que la nuit Ă©tait dangereuse dans les bois, alors s'ils avaient l'intention de rester, ils Ă©taient mieux d'aller dans la vallĂ©e oĂč Hideyo, la grande louve grise, pourrait les reconduire et les protĂ©ger facilement. S'ils sortaient de la vallĂ©e, elle ne pouvait leur garantir qu'ils survivraient jusqu'au levĂ© du soleil. Elle termina en leur disant qu'ils seraient quand mĂȘme mieux pour eux de quitter, mais ils dĂ©cidĂšrent d'un commun accord, enfin presque, de rester. Ils avaient l'habitude de passer la nuit dans les bois et Akamaru avait confirmĂ© que la louve ne serait pas dangereuse pour eux, qu'elle allait vraiment les protĂ©ger. Ils suivirent la louve jusqu'Ă la vallĂ©e et montĂšrent leur campement. Naruto n'Ă©tait pas certain que c'Ă©tait une bonne chose de faire confiance Ă cette femme. Sakura, mĂȘme si elle ne l'avoua pas, pensa de mĂȘme. Tous les nukenins qu'ils avaient rencontrĂ©s jusqu'Ă prĂ©sent Ă©taient des meurtriers aprĂšs lendemain matin, la femme eut le temps d'observer les ninjas un bon moment du haut de son arbre avant que Kakashi ne la remarque. Ă cet instant, elle descendit sur le signe du juunin et s'approcha d'eux. Ils Ă©taient en train de dĂ©jeuner et firent une petite pause pour se prĂ©senter chacun leur tour. Ils ne semblaient pas se prĂ©occuper le moins du monde de ce qu'ils avaient probablement entendus sur cette forĂȘt. Dans les faits, ils avaient dĂ©cidĂ©s de faire confiance Ă l'instinct de leur senseĂŻ. La femme ne comprenait pas leur attitude; ils avaient Ă©tĂ© envoyĂ© pour se dĂ©barrasser d'elle, pourtant ils ne faisaient aucune action. Elle se demandait bien pourquoi. Il fallait dire que Kakashi avait toujours Ă©tĂ© un peu Ă©trange. Elle sourit sous son masque, car elle se rappela de vieux souvenir. Ils demandĂšrent Ă savoir son nom, mais elle refusa de le donner. Elle restait masquer et sans nom, car elle souhaitait n'ĂȘtre personne, qu'une entitĂ© de cette forĂȘt. DĂ©sormais, elle vivait pour la protĂ©ger et irait jusqu'Ă mourir pour qu'il n'y lui arrive rien. Ils trouvĂšrent tous Ă©trange qu'elle refuse de donner son nom, ce qu'ils ignoraient c'est que la vĂ©ritable raison pour cacher son identitĂ©, c'est qu'elle ne voulait pas que Kakashi la reconnaisse. Ils avaient Ă©tĂ© amis longtemps auparavant et ne souhaitait pas qu'ils se retrouvent. Elle lui devait des explications, mais elle n'Ă©tait pas prĂȘte Ă lui offrir, pas encore. Pourtant, elle savait que plus elle attendait, plus il serait difficile de s' un loup hurla dans la forĂȘt et la femme disparue. Naruto la traita aussitĂŽt d'esprit, qu'ils devaient partir le plus rapidement possible, retourner Ă Konoha avant qu'il ne soit trop tard. Sakura le frappa, encore. Kiba, quant Ă lui, grogna et expliqua Ă Naruto qu'elle Ă©tait seulement partie plus loin, en direction du hurlement en passant sous la terre. Kakashi proposa avec un sourire d'aller la rejoindre, Kiba suivit sa piste avec facilitĂ©. Ils la trouvĂšrent en train de parler avec quelques hommes ou plutĂŽt en train de les menacer. Elle avait utiliser un jutsu contre eux, ils ne pouvaient bouger, car leur jambes Ă©taient coincĂ© par la terre qui grimpait sur leur jambes. Naruto s'apprĂȘta Ă l'attaquer pour qu'elle les libĂšre, mais Kakashi l'arrĂȘta d'un bras. Il Ă©tait curieux de voir comment elle rĂ©agirait et son instinct lui disait encore qu'ils n'avaient pas Ă s'inquiĂ©ter. Les quatre ninjas furent surpris de la rĂ©action de la femme, tout ce qu'elle fit ce fut de leur dire de ne plus jamais remettre les pieds dans cette forĂȘt, car ils, les animaux et elle, allaient se rappeler d'eux et elle les laissa partir. Les menacĂ©s prirent leur jambes Ă leur cou et quittĂšrent la forĂȘt Ă toute vitesse, laissant leur outils derriĂšre. Elle les rassembla en silence ruminant ses pensĂ©es. Encore d'autres entrepreneurs qui tentaient de venir dĂ©truire leur forĂȘt. Elle sentit le regard des quatre ninjas dans son m'aidez Ă les amener dans la remise?Elle s'Ă©tait retournĂ© vers les shinobis et les dĂ©visageait malgrĂ© elle. Ils n'avaient pas leur place ici, ils auraient dĂ» contacter Konoha pour dire qu'ils avaient fait face Ă une nukenin, mais il n'en avait rien fait. Ils Ă©taient lĂ , calmement, comme si c'Ă©tait normal. Ils n'avaient toujours pas essayer de l'attaquer. Elle Ă©tait la cause de leur prĂ©sence, pourtant ils ne faisaient rien. Elle Ă©tait l'esprit de la forĂȘt», mĂȘme si elle Ă©tait de chair et d'os. Bien entendu, elle n'avait pas remarquĂ© que le ninja blond avait tentĂ© de l'attaquer. Elle les observa s'approcher et ramasser les quelques outils comme elle leur avait demandĂ©. Puis, ils la suivirent dans les bois, elle ne cessait de se poser des questions, mais n'en disait rien. Parler, questionner, c'Ă©tait ce qui pourrait signer son arrĂȘt de mort. Elle les fit arrĂȘter devant une montagne de terre compacte, elle dĂ©posa sa main sur l'amas et une ouverture se forma. Elle leur demandĂšrent de dĂ©poser les outils Ă l'intĂ©rieur et elle les remercia. Quand ils furent sortir, elle bloqua l'entrĂ©e de sa remise» Ă nouveau. Ils avaient Ă peine eut le temps de voir l'intĂ©rieur, mais cela ne semblait qu'un ramassis d'outils, probablement tous ceux qu'elle avait accumulĂ©e, mais ils voyaient bien que le mot remise Ă©tait appropriĂ©, malgrĂ© son apparence qui Ă©tait loin d'y ressembler. Une fois la porte fermĂ©, elle eut Ă peine le temps de se retourner qu'un aigle se dĂ©posa sur son bras. Un messager de Konoha. Elle se mit de dos et dĂ©crocha le message de la patte de l'oiseau, elle ne voulait pas que les shinobis puissent le lire. Elle fut agrĂ©ablement surprise de lire que Shikaku arriverait demain. Elle lui Ă©crit une rĂ©ponse rapide et renvoya l'oiseau vers les la dĂ©visagea, comment se faisait-il qu'elle recevait un message? Elle Ă©tait une nukenin, non? Ătait-elle une vraie anbu? Il Ă©tait complĂštement perdu, il n'arrivait pas Ă comprendre qui elle Ă©tait beaucoup trop de mystĂšres planaient au-dessus d'elle. Depuis la veille, il se posait bien des questions Ă son sujet et le messager de Konoha ne faisait qu'embrouiller toutes les donnĂ©es. Il rĂ©alisa que depuis le dĂ©but quelque chose l'agaçait chez elle, mais il n'arrivait pas Ă mettre le doigt sur ce qu'il trouvait de vaguement... familier. Il Ă©tait certain qu'elle cachait bien des choses; elle gardait trop souvent le silence, elle refusait trop souvent de rĂ©pondre aux questions. C'Ă©tait... dĂ©rangeant. Il souhaitait Ă©claircir le tout, alors il dĂ©cida de l'inviter Ă venir passer la soirĂ©e avec eux prĂšs du feu. Ă sa surprise, la femme accepta, il Ă©tait certain qu'elle aurait refusĂ©. Peut-ĂȘtre manigançait-elle quelque chose, mais il dĂ©cida de lui faire confiance. AprĂšs tout, jusqu'Ă prĂ©sent, elle n'avait montrĂ© aucun signe de violence ou de folie, mĂȘme avec ces entrepreneurs qu'elle avait laissĂ© fuir. Quelque chose lui disait que mĂȘme s'ils n'avaient pas Ă©tĂ© lĂ , les choses auraient pareil qu'elle n'avait pas changĂ© sa maniĂšre d'agir pour bien paraĂźtre. Du moins, c'est ce qu'il espĂ©rait. Il trouvait qu'il Ă©tait difficile de savoir ce qu'elle pensait, voir ressentait, avec ce masque qui lui couvrait le soir venu, ils Ă©taient tous les cinq autours du feu. La femme leur raconta les lĂ©gendes de la forĂȘt oĂč elle vivait, oĂč ils Ă©taient. Elle narra particuliĂšrement celle de l'esprit de la forĂȘt. Cet esprit avait pour devoir et mission de protĂ©ger les espĂšces vivantes de ces bois, autant animales que vĂ©gĂ©tales. Elle ajouta mĂȘme, avec un rire, que beaucoup d'habitants de Fujihiro croyait qu'elle Ă©tait cet ĂȘtre. Dans les petits villages, les rumeurs et potins circulaient rapidement. Elle expliqua que quelqu'un l'avait apperçut et que la nouvelle avait voyagĂ©. Elle avoua mĂȘme que ça l'amusait. Les ninjas de Konoha rĂ©alisĂšrent que c'Ă©tait la premiĂšre fois qu'elle dĂ©montrait une Ă©motion depuis qu'ils l'avaient rencontrĂ©s. C'Ă©tait comme si cette soirĂ©e autour du feu l'avait dĂ©tendu au point qu'elle baisse sa garde. En fait, cette soirĂ©e lui rappelait de bon souvenir du temps qu'elle Ă©tait toujours une shinobi, les missions oĂč elle partait avec ces partenaires, mais elle n'en parla pas et ne voulait pas le mentionner, elle prĂ©fĂ©rait continuer Ă conter ses rĂ©cits. Au final, elle leur apprit que ce n'Ă©tait pas par simple caprice qu'elle protĂ©geait cette forĂȘt. Elle expliqua que la faune et la flore Ă©tait unique et riche, beaucoup des plantes qui poussaient ici, ne pouvaient pousser nul part ailleurs. Le sol Ă©tait riche, spĂ©cial. Dans sa voix, on pouvait sentir tout l'amour qu'elle portait pour cette forĂȘt. Elle terminant en leur rĂ©vĂ©lant que si les bois se faisaient dĂ©truire beaucoup d'antidotes ne pourraient plus ĂȘtre produits et plusieurs animaux se trouveraient sans abri. Elle ne pouvait pas laisser une telle chose arriver. AprĂšs cette affirmation, elle resta silencieuse jusqu'Ă la fin de la soirĂ©e. Ce qui correspondant davantage au visage qu'elle leur avait montrĂ© jusqu'Ă prĂ©sent, observer et fut un bruit de pas qui rĂ©veilla Kakashi. Il sortit de sa tente et fut trĂšs surpris de ce qu'il y vu. Shikaku qui marchait calmement dans cette forĂȘt comme s'il Ă©tait normal qu'il s'y trouve. Ce dernier, en apercevant Kakashi, semblait tout aussi surpris que lui. Kakashi ne le rĂ©alisait qu'Ă moitiĂ© et il se demandait mĂȘme s'il n'Ă©tait pas encore en train de rĂȘver. Il se demandait bien ce que le Nara pouvait venir faire dans cette forĂȘt. Il n'avait quand mĂȘme pas Ă©tĂ© envoyĂ© en mission ici quand il y avait dĂ©jĂ une Ă©quipe sur place. Lentement, mais sĂ»rement. Les idĂ©es du juunin s'Ă©claircirent et il se rappela de l'aigle de Konoha qui Ă©tait venu la veille. C'Ă©tait donc Shikaku qui l'avait envoyĂ©? Il s'apprĂȘta Ă lui poser la question, mais la femme de la forĂȘt s'approcha d'eux. Kakashi la regarda marcher et il remarqua qu'elle semblait heureuse de voir le manieur d'ombre seulement avec son dĂ©hanchement. Par contre, il trouvait Ă©trange que les deux semblaient se connaĂźtre. Il Ă©tait de plus en plus confus, il ne savait plus quoi penser de cette femme et les Ă©vĂ©nements l'entourant. Il se rappelait son rire d'hier qui avait sonnĂ© comme un vieux souvenir Ă ses oreilles. Il observa Ă nouveau Shikaku et il demandait bien comment il avait pu s'ĂȘtre liĂ© d'amitiĂ© avec une nukenin? Plus les journĂ©es passaient, plus de mystĂšres planaient autour de cette femme. Il l'avait probablement connu avant qu'elle ne parte, mais comment avaient-ils fait pour garder contact? Pourquoi Ă©taient-ils toujours en contact? Pourquoi cette petite voix dans la tĂȘte lui disait qu'il devrait ĂȘtre capable de rĂ©pondre Ă ses questions. Pourquoi croyaient-ils qu'il la connaissait?-Shibaraku Atsuko! Comment vas-tu?Shikaku avait dit cette phrase avec enthousiasme, il Ă©tait heureux de revoir Atsuko, par contre il sentit aussitĂŽt un malaise s'installer. Ce n'est qu'Ă cet instant qu'il sembla rĂ©aliser qu'elle portait son masque. De plus, Ă voir la mine que Kakashi faisait, elle ne devait pas lui avoir dit que c'Ă©tait elle. Il fut surpris, il aurait cru quand le revoyant, elle lui aurait tout de suite tout expliquer. Il se rappelait que quand elle partait en mission, elle disait toujours qu'il va fallait toujours faire les choses vite et bien; pour pouvoir s'en dĂ©barrasser et ne pas avoir Ă recommencer. Cette fois, elle n'avait rien fait, il se dit qu'elle devait avoir honte d'elle. Dans ses rĂ©flexions, il leva le regard vers Kakashi et Atsuko. Ils semblaient figĂ©s chacun pour leur raisons propres. Elle, elle ne se sentait pas encore prĂȘte Ă lui avouer son identitĂ© et lui, il Ă©tait surpris de ne pas l'avoir dĂ©couverte avant, par lui-mĂȘme. Kakashi ne savait mĂȘme pas s'il devait ĂȘtre fĂąchĂ©, triste ou heureux. Il ignorait les propres sentiments qu'il ressentait. Un silence lourd qui semblait sans issu de secours s'installa. AprĂšs un moment qui sembla durer une Ă©ternitĂ©, Atsuko finit par se dĂ©placer. Elle toucha l'Ă©paule de Shikaku et l'incita Ă la suivre. Les deux partirent dans la direction opposĂ© au campement improvisĂ© des ninjas, s'enfonçant dans les bois. Naruto, Sakura et Kiba qui venaient de se rĂ©veiller, ne comprenaient pas pourquoi le pĂšre de Shikamaru Ă©tait lĂ et pourquoi Kakashi avait la mine aussi basse. Par contre, ils n'osĂšrent pas demander des explications Ă leur senseĂŻ, ils ne l'avaient jamais vu ainsi, en Ă©tat de venait rĂ©guliĂšrement dans cette forĂȘt et quand il avait appris qu'Atsuko y habitait dĂ©sormais, il avait multipliĂ© ses escapades. Il l'avait toujours apprĂ©ciĂ© quand elle Ă©tait Ă Konoha et avait Ă©tĂ© heureux de la retrouver. Pour la premiĂšre fois, ils Ă©taient silencieux ensemble. Elle l'aida Ă cueillir les plantes qui lui Ă©tait nĂ©cessaire sans dire un mot. Il Ă©tait tellement dĂ©solĂ© de ne pas avoir comprit la situation Ă temps et il s'excusa auprĂšs de son amie. Il lui avoua qu'il ne s'Ă©tait vraiment pas attendu Ă ce qu'elle garde le silence face Ă Kakashi. Ă son commentaire, elle ne fit qu'hausser les Ă©paules. Elle non plus ne savait pas pourquoi elle avait agit comme une idiote. De plus, il n'avait pas pu deviner qu'elle avait dĂ©cidĂ© de garder le silence. Elle ferma les yeux, elle rĂ©alisa Ă peine qu'elle n'avait plus le choix maintenant. Elle allait devoir le confronter. Une bonne fois pour toute. HonnĂȘtement, elle aurait prĂ©fĂ©rĂ© Ă©viter cet affrontement, mais il Ă©tait maintenant inĂ©vitable. Bien entendu, d'un autre cĂŽtĂ©, elle Ă©tait contente que Shikaku ait parlĂ© un peu trop, de cette maniĂšre elle n'aurait pas de regret quand Kakashi allait partir, car elle allait pouvoir lui expliquer les raisons de son dĂ©part. Elle fut sortit de ses rĂ©flexions quand Shikaku lui annonça qu'il devait dĂ©jĂ partir; il avait promis Ă sa femme d'ĂȘtre de retour pour le souper. Il lui souhaita bonne chance et ils se laissĂšrent dans une accolade. Elle le regarda marcher pendant un moment, puis elle prit une grande respiration, elle allait rejoindre Kakashi. Plus tĂŽt elle le ferait, plus vite elle serait dĂ©barrasser de la culpabilitĂ© qu'il l'empoignait depuis des annĂ©es. C'Ă©tait le moment oĂč se dirigea tranquillement vers la vallĂ©e, Ă chaque pas, elle devait faire un effort pour ne pas fuir. ArrivĂ©e, elle aperçut Kakashi qui se levait et s'approcha d'elle avec cette mĂȘme lenteur ou bien Ă©tait-ce son regard qui lui donnait l'impression que tout Ă©tait au ralentit? Ils furent face Ă face Ă quelques mĂštres de distance et ils s'observaient en silence. Elle fut celle qui brisa cette immobilitĂ© en retirant son masque. Elle le laissa tomber au sol dans un bruit sourd. Son visage Ă©tait finalement dĂ©voilĂ© au grand jour. Soudainement, en voyant son visage, Kakashi rĂ©agit et il rĂ©alisa quelle Ă©tait l'Ă©motion qu'il devait adoptĂ©e. Il Ă©tait en colĂšre contre elle. Elle avait quittĂ© Konoha sans un seul mot pour s'excuser, pour s'expliquer. Il avait Ă©tĂ© seul et il lui en voulait pour cela. Il Ă©tait fĂąchĂ© qu'elle ne lui ai pas fait assez confiance pour lui en parler. Ils avaient Ă©tĂ©, Ă©taient, des amis trĂšs proche et elle Ă©tait partie sans un seul mot d'adieu. Elle avait tout simplement disparus, sans une seule trace. Il croyait l'avoir perdu Ă jamais. Atsuko savait qu'elle mĂ©ritait la colĂšre du juunin. Les trois jeunes qui Ă©taient tĂ©moins de la scĂšne furent surpris de la rĂ©action de leur senseĂŻ lui qui Ă©tait si calme d'habitude. Il Ă©tait fĂąchĂ© contre cette femme sans qu'ils sachent pourquoi. Ils ne pouvaient pas le deviner. Ils la virent baisser les yeux et balbutier des excuses au travers de ses larmes. Elle savait que les mots ne seraient jamais suffisant pour se faire pardonner. De plus, elle trouvait difficile de le revoir aprĂšs tant d'annĂ©es d'absence, quand elle avait toujours tentĂ© de se cacher pour ne pas le croiser Ă nouveau. Elle se remĂ©morait des souvenirs qu'elle aurait prĂ©fĂ©rĂ© oublier Ă jamais. Ce qu'elle avait de plus douloureux, ce qu'elle tentait d'opprimer, mais il Ă©tait impossible d'oublier. La mĂ©moire nous ramenait Ă la rĂ©alitĂ© brusquement. Elle regrettait du mal qu'elle avait fait Ă son ami, mais pas d'ĂȘtre partie. La fureur de Kakashi s'estompa en voyant les larmes d'Atsuko s'Ă©couler sur son visage. Il lui demanda dans un respiration d'Atsuko s'accĂ©lĂ©ra malgrĂ© elle, elle ferma les yeux pour tenter de calmer les battements de son coeur. Elle avait l'impression de revivre ce qui l'avait poussĂ© Ă fuir quelques annĂ©es auparavant. Elle devait se justifier, alors elle allait devoir lui raconter, elle avait voulu Ă©viter ce moment Ă bien des prix. Elle savait que Kakashi avait le droit de savoir. Elle commençait Ă trembler doucement, mais cela ne l'arrĂȘta pas. Elle lui raconta que juste avant de quitter le village, elle avait Ă©tĂ© mis au rang d'oinin mĂȘme si elle n'Ă©tait pas trĂšs enthousiaste Ă l'idĂ©e, elle remplissait ses missions avec succĂšs. Par contre, dans sa derniĂšre mission... Elle dĂ» s'arrĂȘter pour essuyer les larmes qui lui brouillaient la vue. Elle dĂ©glutit et releva les yeux vers lui pour lui expliquer que sa derniĂšre mission aurait Ă©tĂ© de tuer Osamu, mais elle en avait Ă©tĂ© incapable...Alors, elle avait dĂ» attaquer les deux ninjas qui l'accompagnaient pour les empĂȘcher de l'attaque. Elle n'avait pas eu d'autres choses que de fuir. Elle s'Ă©tait attaquĂ© Ă des shinobis, des amis... Elle ne pouvait pas faire face au dirigeant de Konoha aprĂšs une telle action et encore moi face Ă ses autres amis. Kakashi observa Atsuko, il se sentait triste qu'elle ai eu Ă vivre cette aventure seule, sans qu'il puisse ĂȘtre Ă ses cĂŽtĂ©s pour la supporter. Les deux restĂšrent silencieux, mais Naruto, fidĂšle Ă ses habitudes, s'impatienta et voulu savoir qui Ă©tait cet Osamu, il s'imaginait que c'Ă©tait un grand meurtrier ou quoi que se soit. Kakashi dĂ©tourna son regard de son amie pour regarder avec une pointe de dĂ©sappointement le blondinet. Il lui rĂ©pondit calmement que c'Ă©tait un de leur proche ami qui, un jour, avait dĂ©cidĂ© de partir, car il avait voulu voir le monde, explorer, dĂ©couvrir de choses nouvelles. Il avait toujours Ă©tĂ© un esprit libre et il ne s'Ă©tait jamais bien sentit entre les quatre mĂ»rs de Konoha. Ce n'Ă©tait pas un tueur, bien au contraire, il Ă©tait un pacifique qui croyait Ă l'Ă©quilibre des s'Ă©tait effondrĂ©e au sol. En se retournant vers elle, Kakashi s'installa face Ă elle. Il prit ses mains entre les siennes, les entrelaçant. Puis, ils collĂšrent leur front l'un contre l'autre. Ils se regardaient dans les yeux sans Ă©changer un seul mot. Les mots Ă©taient inutiles de toute maniĂšre, ils se retrouvaient aprĂšs avoir Ă©tĂ© sĂ©parĂ© pendant cinq longues annĂ©es. Ils pouvaient enfin se revoir face Ă face et ĂȘtre lĂ , tout simplement, pour l'autre. Kakashi libĂ©ra une de ses main et vint essuya les larmes qui coulaient sur les joues de l'ancienne anbu. Il avait dĂ©jĂ oubliĂ© sa colĂšre, il Ă©tait tellement heureux de pouvoir la revoir Ă nouveau, de savoir pourquoi elle avait quittĂ©, savoir qu'elle Ă©tait toujours en vie. Comme beaucoup au village, il avait cru qu'elle Ă©tait morte lors de sa derniĂšre mission, car les deux autres Ă©taient revenus en mauvais Ă©tats. Il ferma les yeux et chassa ses vieilles pensĂ©es et, sur un coup de tĂȘte, il lui proposa de retourner Ă Konoha, recommencer sa vie. Elle eut un faible sourire, mais ne lui donna pas de faux espoir et rejeta l'idĂ©e aussitĂŽt. Elle connaissait les rĂšgles, si elle remettait un seul orteil prĂšs de Konoha, elle se ferait tuer en quelques secondes, elle n'Ă©tait qu'une nukenin aux yeux du village. De plus, pour la premiĂšre fois dans sa vie, elle avait trouvĂ© sa place, elle Ă©tait en sĂ©curitĂ© dans cette forĂȘt, elle faisait quelque chose de bien en la protĂ©geant. C'Ă©tait la destinĂ©e qu'elle s'Ă©tait choisie, elle Ă©tait heureuse ici. MalgrĂ© son refus, Kakashi Ă©tait heureux de la revoir et il savait qu'il aurait la possibilitĂ© de revenir encore et lui parler, comme avant. Tous deux se relevĂšrent et le juunin se retourna vers les trois ninjas et leur annonça qu'il Ă©tait temps pour eux de partir. Ils avaient terminĂ©s leur mission ici. L'esprit de cette forĂȘt laisserait les voyageurs passer en toute sĂ©curitĂ©, seuls ceux souhaitant sa destruction serait arrĂȘter, car c'Ă©tait eux les criminels dans les faits...Astuko fit promettre Ă Kakashi de revenir la voir. MĂȘme si elle savait pertinemment qu'il voudrait revenir, elle voulait s'en assurer. De son cĂŽtĂ©, elle allait s'organiser pour que tous les trois puisse se revoir Kakashi, Osamu et elle. Raconter leur merveilleuses aventures qui leur Ă©taient arrivĂ©. Elle le vit sourire sous son masque. Il Ă©tait intĂ©ressĂ© par cette offre plus qu'allĂ©chante. Elle sourit Ă son tour, leur amitiĂ© n'avait jamais pris fin malgrĂ© tout ce temps perdu et la trahison qu'elle avait fait; autant Ă lui qu'Ă Konoha. Elle le serra une derniĂšre fois dans ses bras et elle l'observa reprendre le chemin vers le village au cĂŽtĂ© de ses trois compagnons. De son cĂŽtĂ©, Kakashi, pendant leur trajet pour revenir Ă Konoha, expliqua aux trois autres ninjas qu'il allait s'occuper du rapport et que, bien entendu, ils ne devaient pas parler de la mission Ă qui que se soit et encore moins d'Atsuko, sinon... Son visage fut effrayant pendant quelques secondes, suffisamment longtemps pour que les ninjas comprennent qu'ils Ă©taient mieux de garder le silence ou ils souffriraient. Leur senseĂŻ leur sourit Ă nouveau. Il venait de retrouver son humeur habituel. Il savait qu'ils avaient compris le message ce qui signifiait qu'il pouvait leur faire confiance. S'il arrivait quoi que se soit Ă Atsuko par leur faute, ils payeraient. Maintenant que ce dossier Ă©tait clos, il devait penser Ă un moyen d'expliquer la mission dans le rapport pour que Tsunade soit satisfaite et qu'il ait une impression qu'elle ai Ă©tĂ© rĂ©ussit, ce qui n'Ă©tait pas vraiment le cas...~» Qui est plus effrayant; Tsunade ou Kakashi? hĂ©hĂ© q= Dradraâș La noble de Serdaigle âFeuille de personnagebla bla lksdlksajndjsjhdkd dfdsfsdgfgddfddd Sujet Re Ă lire avant de poster = Mar 8 Juin - 2200 J'ai perdu plus qu'un amiAujourd'hui c'est la derniĂšre fois j'te voisCette journĂ©e ne devait pas se terminer ainsi. Je ne devrais pas ĂȘtre Ă l'hĂŽpital Ă te regarder. Ton visage qui Ă©tait autrefois si vivant. L'air est lourd, je ne sens mĂȘme pas mes larmes couler sur mes joues, mĂȘme si je sais qu'elles sont prĂ©sentes. Ta prĂ©sence qui Ă©tait si agrĂ©able est devenu un vĂ©ritable supplice. Regarder tes yeux vide, ton teint maintenant pĂąle m'est insupportable. Ma vue se brouille, je n'entends pas ce qu'on me dit. Je ne veux pas lĂącher ta main. J'ai l'impression que je vais te perde Ă jamais si je le fais. Tu Ă©tais plus qu'un ami pour moi, tu Ă©tais mon complice, mon confident. Que vais-je faire sans toi? Que vais-je devenir? Comment vais-je survivre? J'ai besoin de toi Ă mes cĂŽtĂ©s. Je sens qu'on retire ma main de la tienne, on me parle, mais je n'entends rien. Je ne veux rien entendre, sauf ta voix. Une derniĂšre fois. Entendre ton rire. Ăcouter tes aventures. Ătre lĂ avec toi. Ils m'ont Ă©loignĂ©s de toi. Je cries. Nous devions ĂȘtre cĂŽte Ă cĂŽte jusqu'Ă la fin. Je refuse de les voir te prendre, t'Ă©loigner de derniĂšre fois qu'j'peux direJe n'ai plus la force de tenir sur mes jambes. Je m'effondre devant toi. C'est terminĂ©. Je sens des mains qui se veulent rassurante sur mes Ă©paules, mais jamais on ne pourra remplir ce vide. J'ai tellement pleurĂ© que mes yeux sont devenus secs. J'ai pleurĂ© toutes les larmes de mon corps. Je ne pense qu'Ă une seule chose. Toi. Je n'arrive plus Ă me concentrer, Ă me vider l'esprit. Tu es toujours lĂ Ă me tourmenter et je ne veux pas que tu quittes mon esprit. Je prĂ©fĂšre rester dans ma peine que de vivre cette vie sans toi. Je regarde cette tombe. Ta tombe. Je lis et relis ton nom cesse. Je ne peux pas y croire. Nous aurions dĂ» mourir ensemble. Faire comme d'habitude. Tout faire ensemble, mais tu as dĂ©cidĂ© de changer les donnĂ©es. Tu as fait une exception. Tu t'es sacrifiĂ© pour me sauver. Pourquoi? J'ai l'impression d'ĂȘtre coupable pour ta mort. Je sais que ce n'est pas ce que tu souhaiterais. Tu voudrais que je continue ma vie avec joie. N'est-ce pas? Je ne sais pas comment je vais faire sans mon meilleur ce que tu m'as apportĂ© dans ma vieNous nous connaissions avant mĂȘme d'arriver Ă l'acadĂ©mie. Nous Ă©tions voisin et nous passions tout notre temps libre ensemble. AprĂšs quand l'Ă©cole a commencĂ©, nous nous entrainions toujours ensemble, se surpasser encore et encore. Toujours devenir meilleur. Nous voulions devenir les meilleurs ninjas de Konoha. Ensemble. Nous connaissions les moindres faiblesses et forces de l'autre. On se complĂ©tait. Tu m'aidais Ă m'amĂ©liorer et je faisais de mĂȘme pour toi. Toujours. AprĂšs l'acadĂ©mie, les choses n'ont pas changĂ©s. Nous avions tellement peur d'ĂȘtre sĂ©parĂ©, mais ils nous ont laissĂ©s sur la mĂȘme Ă©quipe. Heureusement. Tu Ă©tais la seule personne en qui je faisais suffisamment confiance pour mettre ma vie entre tes mains. Nous Ă©tions ceux qui avaient le travail d'Ă©quipe qui fonctionnait le mieux. On entendait parfois les plus vieux en parler. Ils trouvaient ça impressionnant qu'Ă notre Ăąge, on fasse autant confiance Ă un compagnon. Nous Ă©tions la fiertĂ© de notre sensei. Jamais je ne pourrai oublier tous les bons moments qu'on a passĂ© les soirs je regarde le ciel pour voirJe me demande nuit aprĂšs nuit, si tu gardes toujours un oeil sur moi. Nous avions dit que nous nous protĂ©gerons pour toujours. Tiens-tu toujours ta promesse? Je m'ennuie de ta prĂ©sence Ă mes cĂŽtĂ©s. Le vide qui m'envahit s'agrandit de jour en jour. J'essaye de m'occuper, travailler plus, mais il n'y a rien Ă faire. Tu me manques. Je ne voudrais pas que tu me voies dans l'Ă©tat que je suis prĂ©sentement. Je suis censĂ© ĂȘtre fort. Pourtant, je me sens si faible, si misĂ©rable. Il me manque une partie de moi-mĂȘme. Je n'ai plus de partenaire. Je me retrouve seul pour affronter la vie. Il n'y a plus personne pour m'encourager Ă poursuivre ma route. Personne pour m'aider Ă affronter le destin. Personne pour me rassurer quand tout va mal. Personne pour ĂȘtre lĂ . Personne pour me comprendre. Tu Ă©tais le seul Ă me comprendre. Nous n'avions pas besoin des mots. Ils Ă©taient inefficace. Un seul regard suffisait pour que tout s'Ă©claircit, un seul sourire. ComplicitĂ© qui s'est Ă©vanoui en une seule nuit. Un unique instant pour que tout disparaisse de ma t'es lĂ pour me sauverNous Ă©tions toujours en train de protĂ©ger l'autre. Ă tes cĂŽtĂ©s, je me sentais en sĂ©curitĂ©. J'ai le mal de vivre. La vie me semble terne. Elle a perdu toutes ses couleurs. Elle a perdu sa musique. Elle a perdu la vie. Il n'y a plus de sens Ă ĂȘtre en vie. Je respire toujours, mais je suis mort en mĂȘme temps que toi. La seule diffĂ©rence, c'est que je peux encore me mouvoir dans cet univers irrĂ©el. La mort m'entoure dans ma vie futile. Depuis que tu n'es plus lĂ , j'ai perdu mon rire, j'ai oubliĂ© comment il sonne. J'ai oubliĂ© comment sourire. J'ai oubliĂ© comment parlĂ© avec quelqu'un. Il ne me reste plus que mon aspect sauvage et impulsif. J'ai perdu la lĂ©gĂšretĂ© que je pouvais avoir Ă tes cĂŽtĂ©s. Il ne me reste plus que la haine et la rage. Je ne pense qu'Ă prendre vengeance. Elle ne te ramĂšnera pas. Je ne me sentirais probablement pas mieux aprĂšs. Je le sais, mais au moins, je ne serai plus le seul Ă souffrir. Quelqu'un d'autre va connaĂźtre la peine de perdre la personne la plus chĂšre Ă ses yeux. Vas-tu me pardonner? Je sais que tu ne voudrais pas que j'accumule autant de toutes mes peurs, toutes mes angoisses et mes phobiesLa seule chose qui me faisait peur dans ce monde, c'Ă©tait de te perdre, mais je me disais que ça n'arriverait jamais. Je croyais que tu Ă©tais invincible et je me sentais invincible Ă tes cĂŽtĂ©s. J'avais tord, affreusement tord. La rĂ©alitĂ© est encore plus dure Ă accepter quand tu croyais que quelque chose Ă©tait impossible. Je ne pourrai jamais l'accepter totalement. Je ne peux pas le croire. Tu devrais toujours ĂȘtre Ă mes cĂŽtĂ©s. Ă tous les jours, je refais le parcours que nous faisions ensemble. Tu n'es plus lĂ . Je vais voir ta tombe qui me ramĂšne durement Ă la rĂ©alitĂ© pour quelques secondes. Ton nom gravĂ© dans la pierre froide me fait l'effet d'un coup de poignard. Je sais que je ne suis pas en train de faire un cauchemar. Dans mes nuits, tu es toujours en vie. Dans mon esprit, rien ne peut t'atteindre, tu es immortel. Je voudrais m'endormir Ă jamais pour ne pas avoir Ă subir le monde au-delĂ de mes rĂȘves. Dans mes songes, tout est si beau, tout est si paisible. Pas de guerre. Pas de violence. Pas de mort. Que la vie tranquille Ă tes j'me rend compte queTu me voudrais heureux. N'est-ce pas? Les jours passent et je n'arrive pas Ă me sortir de ma torpeur. Je ne souhaite pas sortir de mon malheur. Je ne souhaite plus ĂȘtre heureux Ă nouveau. Pas sans toi. Tu es supposĂ© ĂȘtre Ă mes cĂŽtĂ©s pour toujours. Nous devions partir en mĂȘme temps. Tout vivre ensemble. Sans exception. Mais, je me retrouve seul. Je suis incapable de vivre sans toi. Pas aprĂšs tout ce qu'on a vĂ©cu ensemble. C'est impossible. Le bonheur n'existe qu'avec toi. Toi qui me complĂ©tait si bien. Toi qui comprenait si bien mes peines et mes misĂšres. Toi qui arrivait Ă me faire sourire et rire dans toutes les situations. Jamais personne ne m'a fait sentir aussi bien comme toi tu l'as fait. Tu supportais mes pires humeurs. Le seul qui l'aille fait. Tu n'Ă©tais pas celui qui aurait dĂ» partir. C'Ă©tait Ă moi qu'Ă©tait destinĂ© ce coup. Ă moi seul. J'aurais dĂ» ĂȘtre celui qui disparaĂźt Ă tout jamais ou... Nous deux. Comme d'habitude. Tout faire ensemble. Pas de demi-mesure. Ensemble ou rien. Ce n'Ă©tait pas ce qu'on disait avant?T'es pu lĂ et moi j'peux pas l'croireTu envahis mes rĂȘves. Tu me souris. Tu me parles. Tu me donnes espoir l'espace de quelques instants. Pourtant, quand je me rĂ©veille, j'ai dĂ©jĂ oubliĂ© tes beaux mots. Mes tourments recommencent avec plus de force et d'agressivitĂ©. Tu tentes de m'encourager Ă vivre, mais ce n'est pas suffisant. J'ai besoin de toi, plus que de tout. La vie ne signifie plus rien pour moi. Le comprends-tu? Je me laisse mourir par le temps, car je sais que tu ne pourras pas accepter que je meurs avant mon temps. Tu t'es sacrifiĂ© pour que je puisse vivre. Je vais le faire. Pour ta mĂ©moire, mais en aucun cas je l'accepte. Tu es â Ă©tais â mon meilleur ami, ton sacrifice je ne peux pas l'accepter. Ta vie ne vaut pas la mienne. Tu vaux plus que moi. Tu as toujours Ă©tĂ© le plus patient, le plus gĂ©nĂ©reux de nous deux. Pour moi, tu reprĂ©sentais la bontĂ© de ce monde. Tu n'aurais pas dĂ» me sauver. Tu mĂ©rites plus la vie que moi. Tu Ă©tais toujours celui qui Ă©tait optimiste, celui qui voyait du bon dans chaque chose. Que dirais-tu dans ma situation actuelle? J'ai besoin de l' donnerai tout pour te voirJ'aime me rappeler de toutes ces soirĂ©es qu'on passait Ă parler sous les Ă©toiles. Les choses semblaient si simple. Nous regardions les constellations. Inventions les nĂŽtres. Ă tous les soirs, je regarde notre constellation, celle que nous avons inventĂ© entre deux rire. Fides. Notre constellation Ă nous. C'est la seule chose qui me donne encore l'impression que tu es Ă mes cĂŽtĂ©s. Quand je la regarde, j'ai l'impression que tu me regardes aussi. Que tu m'observes. Tu as toujours voulu le mieux pour moi. Tu dois ĂȘtre malheureux de voir mon Ă©tat. Je suis dĂ©solĂ© de te causer toute cette peine. Tu me manques tellement. J'aimerais pouvoir me coucher sous les Ă©toiles et t'entendre encore me murmurer des secrets. T'entendre retenir ton rire aprĂšs m'avoir raconter une histoire, car tu ne veux pas rĂ©veiller les voisins. T'entendre me demander si j'aurais envie de jouer un tour sous ton sourire moqueur. Je n'arrive pas Ă combler ce vide, de ne plus t'entendre, de ne plus te voir, de ne plus sentir ta prĂ©sence Ă mes derniĂšre foisâŠVoir ton sourire, ton visage. Entendre tes murmures, ton rire. Sentir ta prĂ©sence, ton odeur. Te toucher. Te parler. Une derniĂšre fois t'avoir Ă mes cĂŽtĂ©s. J'aimerais tellement que tu puisses me dire encore une fois que la vie n'est pas si pire que cela. Que toujours quelque chose de bien va arriver de nos malheurs. Que malgrĂ© toutes nos souffrances, il va rester du positif. OĂč sont passĂ©s tes belles paroles? Je ne les ai pas oubliĂ©, mais il m'est impossible de les mettre en application. Je souhaiterais que tu m'expliques? J'aimerais comprendre. Comment les choses pourraient aller mieux? Cette plaie que j'ai subie par ta perte ne veut pas ce cicatriser. Elle reste ouverte et j'ai l'impression que tout le monde s'amuse Ă planter un couteau Ă l'intĂ©rieur de celle-ci. Que dirais-tu pour me remonter le moral? Pour me rassurer? Que ferais-tu pour calmer mes crises de larmes? Tu ferais n'importe quoi pour que je me sente mieux. Tu me raconterais probablement des histoires jusqu'Ă ce que j'oublie tous mes soucis, que je sois perdu dans ton univers lĂ est-ce que tu m'entends?Chaque fois que je regarde le ciel, j'ai envie de hurler. Je veux que tu m'entendes. Je ne veux pas que tu m'oublies. Je veux que tu continues de me protĂ©ger, que tu continues de penser Ă moi, que tu sois toujours lĂ pour moi dans mes pires moment. Promets-moi de ne plus jamais m'abandonner. Je veux continuer de rĂȘver Ă toi. Ne jamais t'oublier. Toujours t'avoir Ă l'esprit. Personne ne peut occuper la place que tu occupes dans mon ĂȘtre. Personne ne pourra jamais te remplacer, mais pour toi, je vais ĂȘtre prĂȘt Ă faire un effort et m'ouvrir davantage aux autres. C'est ce que tu souhaiterais, non? Tu m'as dĂ©jĂ dit que si jamais il devait t'arriver quoi que se soit je devrais socialiser davantage et mettre mon caractĂšre de cĂŽtĂ© un peu. Sur le coup, je ne t'avais pas vraiment Ă©coutĂ©, pensant que tu blaguais, mais il n'est pas encore trop tard pour Ă©couter tes paroles qui Ă©taient encore trop sage. Comme si tu l'avais su qu'il allait t'arriver quelque chose. Comme si tu le savais que tu allais te sacrifier pour moi. Aurais-tu mieux rĂ©agit que moi si la mĂȘme chose t'Ă©tais arrivĂ©?Es-tu lĂ est-ce que tu m'entends?Je mets plus d'ardeur Ă mes tĂąches que je ne l'ai jamais fait. Je travaille pour deux comme si tu Ă©tais encore lĂ pour m'aider Ă tout faire. Les gens me disent que je devrais prendre du repos, mais ce n'est pas de ça que j'ai besoin. Toi, tu comprendrais. Ce qu'il me fait c'est de m'Ă©puiser au point que je ne ressente plus rien. Que je sois tellement vidĂ© que je n'arrive mĂȘme plus Ă penser clairement. Me laisser engloutir par le nĂ©ant. Parfois, je me surprends Ă me parler seul. Parfois, j'ai l'impression que tu es toujours Ă mes cĂŽtĂ©s. MĂȘme si c'est impossible. J'aime croire que tu es toujours lĂ . Peut-ĂȘtre que je me fais encore plus souffrir au final, mais cette pensĂ©e me rassure toujours un peu durant quelques minutes, voir quelques heures. Un bref instant que je n'ai plus Ă me soucier de ta perte, car je sens ta prĂ©sence prĂšs de moi. Pour toujours. Tu ne m'as pas quittĂ©. Tu n'aurais pas osĂ© m'abandonner. Je crois que certains commencent Ă s'inquiĂ©ter de ma santĂ©. Ils ne peuvent pas comprendre. Ils ne pourront jamais comprendre. Jamais comme tu le lĂ est-ce que tu m'entends?Le jour, j'aperçois ton sourire dans le soleil et la nuit, j'entends tes murmures venant du ciel. M'entends-tu aussi? J'essaye de me rattacher Ă tout ce que je peux. Ă tous les souvenirs que je conserve de toi. Je regarde rĂ©guliĂšrement toutes les photos que nous avons pris ensemble, toutes les lettres que nous nous envoyions, tous les objets qui nous servaient Ă faire nos quatre cents coups. J'ai gardĂ© toutes mes anciennes habitudes, mĂȘme que parfois quand je parle Ă quelqu'un je garde silence comme si je te laissais le temps de rĂ©pondre. Je ne peux pas m'en empĂȘcher. C'est ma maniĂšre de te dire que tu existes toujours dans mon coeur. Je fais des efforts pour m'intĂ©grer Ă la vie sociale de Konoha. Pour toi. Je ferais n'importe quoi pour pouvoir honorer ta mĂ©moire, pour ne pas que tu regrettes ton geste. Je sais qu'il faudrait que je l'accepte, mais c'est trop me demander, mais comme je te connais, tu dois dĂ©jĂ ĂȘtre content des efforts que je fais prĂ©sentement. Essayer de retrouver le train-train du quotidien. Essayer de faire comme avant. Essayer d'agir normalement, malgrĂ© le vide qui me lĂ parce que moi j't'attendsâŠToutes les nuits, je peux te retrouver dans mes rĂȘves. Ne les quitte jamais. C'est ma lumiĂšre dans mes journĂ©es. Ce qui me donne la force de continuer. Mes songes m'enlĂšvent toutes mes peines. Je peux te retrouver comme tu Ă©tais. Autant je suis triste de t'avoir perdu, autant je suis heureux que tu continues de me rendre visite nuit aprĂšs nuit. Un jour, quand le destin m'y mĂšnera, je viendrai te rejoindre et nous serons heureux Ă nouveau, ensemble. Comme les choses ont toujours Ă©tĂ© censĂ©s ĂȘtre. MalgrĂ© que je ne peux plus te retrouver constamment Ă mes cĂŽtĂ©s, je sais que tu es toujours lĂ Ă veiller sur moi. Tu es ma bonne Ă©toile et la seule chose que je peux faire pour toi maintenant est de ne jamais t'oublier. Je dois ĂȘtre capable de transformer ma tristesse pour que je ne me rappelle que de nos bons moments. Ceux qui me feront sourire quand je serai submergĂ© par la tristesse. Je dois me rappeler de tous les bons moments pour me rappeler que je n'ai pas vĂ©cu ma vie en vain. J'ai vĂ©cu pour ses souvenirs heureux qui me suivront jusqu'Ă ma mort. Dradraâș La noble de Serdaigle âFeuille de personnagebla bla lksdlksajndjsjhdkd dfdsfsdgfgddfddd Sujet Re Ă lire avant de poster = Mar 8 Juin - 2205 Une journĂ©e dans la tĂȘte d'un ANBU2H38. Mon cadran me nargue. Encore. Depuis quelques jours, je n'arrive pas Ă dormir. Je passe mes nuits Ă fixer le plafond, remarquer chacune des fissures qui s'y trouve. C'est complĂštement ridicule. Je dois dire que ces derniers-temps, je me questionne beaucoup sur moi-mĂȘme et sur mon statut. Une petite voix dans ma tĂȘte ne cesse de me rĂ©pĂ©ter que je ne suis qu'un meurtrier. Ă tous les jours, je dois me rappeler que c'est pour le bien du village que je le fais. Pour le protĂ©ger, pour qu'il continue Ă prospĂ©rer, pour empĂȘcher aux autres villages de connaĂźtre ses secrets. Je le sais tout ça, mais j'ai tout de mĂȘme dĂ» tuer, c'est une part entiĂšre de mon travail; protĂ©ger les informations, tuer les nukenins, espionner... Je m'ennuie presque du temps oĂč mes missions Ă©taient d'aller sauver le chat de mon voisin qui s'est coincĂ© dans un arbre. Maintenant, l'odeur du sang est accrochĂ© Ă ma peau. Je me lave, me frotte jusqu'Ă irriter ma peau, mais j'ai toujours l'impression que l'odeur de la mort reste imprĂ©gnĂ© sur moi. Dans les derniers jours, les rares fois oĂč j'ai rĂ©ussi Ă dormir, je revoyais le visage de ceux que j'ai dĂ» Ă©vincer. Je me demande combien de temps je vais ĂȘtre encore capable de vivre avec ce sentiment de vide, de sang sur mes mains. Je sais que je ne devrais pas me questionner autant, mais je ne peux pas m'en Le soleil va bientĂŽt dĂ©poser ses rayons insolents au travers de mes stores. Au final, je n'aurai eu qu'une autre nuit d'insomnie Ă regarder l'heure avancĂ© lentement sur mon cadran. Le temps se moque de moi, plus les jours avance et plus j'ai cette certitude idiote que le soleil et le temps se sont liguĂ©s contre moi. J'ai des idĂ©es vraiment Ă©trange quand je manque de sommeil. Je rĂ©alise bien que c'est depuis que je suis devenu anbu que j'ai commencĂ© Ă ne pas dormir suffisamment et par le mĂȘme fait avoir ses pensĂ©es folles. J'ai d'abord changĂ© imperceptiblement, mais maintenant je me rends bien compte que j'ai changĂ© de façon outranciĂšre. Je rĂ©alise pleinement qui j'Ă©tais et qui je suis devenu. Deux personnes complĂštement opposĂ© quand on y rĂ©flĂ©chit... Quand je repense Ă mon passĂ©, j'ai l'impression que ce n'est pas moi, tant de choses ont changĂ©s. Je ne suis plus que l'ombre de moi-mĂȘme. Parfois, je doute mĂȘme que je ressemble Ă l'ombre de ce que j'Ă©tais, j'ai cette impression d'ĂȘtre devenu rien. Au dĂ©but, je ne me suis pas vraiment aperçu que je changeais, mais ces derniers-temps avec les pensĂ©es qui m'obsĂšdent, il est difficile de passer Ă cĂŽtĂ©. Je me demande Ă quoi je ressemblerais aujourd'hui, si je n'avais pas acceptĂ© d'ĂȘtre anbu. C'est difficile Ă Le soleil se lĂšve insolemment sur Konoha. Je suis sĂ»r et certain qu'il me regarde en riant, se moquant des cernes qui s'agrandissent de jour en jour en-dessous de mes yeux et de l'aveuglement qu'il m'offre matin aprĂšs matin; ses rayons traversant mes rideaux Ă l'endroit exact oĂč se trouve mes yeux. J'ai passĂ© la nuit dans la plus grande des noirceurs, puis, lui, arrive lançant ses rayons directement dans mon regard habituĂ© Ă la lueur de la lune. Ă tous les matinĂ©es, je reste toujours quelques minutes sous le regard arrogant du soleil avant de dĂ©cider Ă me lever. C'est presque comme si j'espĂ©rais qu'il se recouche pour me laisser dormir. Je souhaiterais tomber dans les limbes du sommeil, mais il est maintenant trop tard pour que je puisse me le permettre. Ă tous les jours c'est exactement la mĂȘme routine qui se rĂ©pĂšte; je veux dormir, mais je ne peux pas vu l'heure, je fais un effort pour me glisser hors des draps et je prends ma douche. Je trouve qu'il n'y a rien de tel qu'un filet d'eau glacĂ©e pour me rafraichir les idĂ©es et me remettre d'aplomb pour la longue journĂ©e pĂ©nible qui m' Je prends mon masque d'anbu doucement dans mes mains, il est temps de l'enfiler. Par contre, ce matin, mon propre reflet m'en empĂȘche. Je me regarde dans le miroir pour la premiĂšre fois depuis longtemps. Je remarque mes traits qui se sont durcis dans les derniĂšre annĂ©es. Je me sens incapable d'imaginer une seule larme sur mon visage. Je n'avais pas rĂ©aliser Ă quel point mes traits Ă©taient devenus froid. En devenant anbu, je savais que j'allais devoir toujours refouler mes Ă©motions. Je passe une main dĂ©licatement sur mon visage. Je n'ai pas l'impression que c'est le mien. Je ne me reconnais plus. Je ne sais plus qui je suis vraiment. Ses traits de marbre ne ressemble pas Ă mon ancien moi. OĂč est passĂ© le jeune homme rieur que j'Ă©tais? Maintenant, je ne suis qu'un ninja de Konoha, sans visage, sans nom. Je ne suis personne, une marionnette dans les mains de l'hokage. De ma propre volontĂ© j'ai acceptĂ© ce poste, mais... Je prĂ©fĂšre mettre mon masque sur mon visage et partir de mon appartement. Je ne dois plus y penser. Je ne dois pas a voir ce genre de pensĂ©e. Oublier. Redevenir un anbu. Sans Ă©motion. Sans poser de J'arrive Ă l'heure juste en mĂȘme temps que les autres devant le bureau de Tsunade. On ne se regarde pas, on ne se salue pas. CoĂ©quipier de travail, oui; ami, non. Dans les anbus, la relation entre les membres est diffĂ©rente que dans une Ă©quipe de juunin. Je suppose parfois que nous avons peut-ĂȘtre perdu une partie de notre humanitĂ© pour n'ĂȘtre que des objets de guerre â ou plutĂŽt pour empĂȘcher la guerre â des ĂȘtres qui vont faire tout ce qu'on leur demande sans poser de questions. Nous sommes lĂ pour ça. Agir pour le bien du village, mĂȘme si les actions peuvent sembler malsaine. En fait, je crois que nous ne sommes pas humains quand nous portons nos masques. Nous sommes que des ninjas. Des outils que Konoha peut utiliser Ă sa guise et ce tant et aussi longtemps que nous portions nos masques. C'Ă©tait le symbole comme quoi nous Ă©tions en mode obĂ©issant en quelque sorte. Je jette un regard aux deux autres anbus. Je sais Ă quoi ils ressemblent sans leur masque, ils savent Ă quoi je ressemble pourtant quand on les porte on fait comme si on ne le savait pas, comme si on Ă©tait des ninjas sans visage et sans nom. Je sais que c'est pour nous protĂ©ger, mais par moment je me demande s'il n'y a pas une autre raison plus obscure... Nous faire oublier qui nous Nous venons de sortir du bureau de l'hokage. On se regarde. La mission aujourd'hui est diffĂ©rente de ce nous faisons en tant normal, enfin selon la tournure que les Ă©vĂ©nements prendront. Tsunade a peut-ĂȘtre lu dans mes pensĂ©es et a vu que j'Ă©tais tannĂ© des missions oĂč on doit tuer? Je deviens paranoĂŻaque. Je suis mieux de me concentrer sur la mission et ne penser Ă rien d'autres. En thĂ©orie, je ne verrai pas de sang aujourd'hui. Je regarde mes mains avec attention. Je n'y verrai pas de sang aujourd'hui. C'est un... soulagement, en quelque sorte. Les choses seront probablement diffĂ©rente demain, je le sais, mais je dois vivre une journĂ©e Ă la fois. On ne sait jamais ce qui peut nous arriver. Donc, pour la mission nous devons espionner un juunin de Konoha qui est soupçonnĂ© de traitrise. Ăa faisait dĂ©jĂ quelques semaines que nous n'avons pas eu de mission d'espionnage. Je n'arrive pas Ă comprendre comment un shinobi du village peut le trahir, j'espĂšre que ce n'est qu'un malentendu et que la mission d'aujourd'hui va confirmer l'innocence de l'accuser. MĂȘme si je sais qu'au fond de moi, si on envoie les anbus c'est qu'il a dĂ©jĂ des preuves dans le sens Tsunade ne nous a pas donnĂ© le nom du ninja qu'on se devait d'espionner, seulement un lieu de rendez-vous. L'autre Ă©quipe qui s'Ă©tait occupĂ© du cas, n'avait pas donnĂ© plus d'informations. Probablement que le ninja avait rĂ©ussit Ă bien cacher son visage et que les autres anbus avaient seulement Ă©tĂ© capable de dĂ©coder quelques informations. Nous devons nous contentĂ© de cela alors. Nous dĂ©cidons de nous sĂ©parer. De cette maniĂšre, nous aurons une vue diffĂ©rente et il sera plus facile de le capturer s'il avait lieu. Je trouve que je suis le mieux placĂ©. Je suis sur le balcon d'un appartement qui est directement dans le sens de la rue, j'ai une vue plongeante sur la ruelle. Cette noirceur en est apaisante. Pour le moment, il n'y a pas Ăąme qui vive. En fait, je voies un chat qui rode autour des poubelles. Il doit se chercher un bon repas. Je sens la fatigue m'envahir, je commence Ă marcher sur le balcon de long en large pour me rĂ©veiller un peu. Je prĂ©fĂšre ne pas imaginer ce qui m'arriverait si je m'endormais durant une mission. Juste penser Ă l'hokage en colĂšre fait que je me ressaisie un AprĂšs une demi-heure d'attente, quelqu'un arrive finalement dans la ruelle. Une personne tout Ă fait banal. Tsunade avait parlĂ© d'un juunin. Donc, ce n'est pas notre cible. Peut-ĂȘtre qu'il n'allait pas venir et que nous nous sommes dĂ©placĂ© pour rien. Une mission tranquille pour faire changement. Pourtant... Je commence Ă observer l'homme avec plus d'attention. Il semble nerveux, il n'arrĂȘte pas de frotter ses mains l'une contre l'autre et de s'humecter les lĂšvres. Il cache quelque chose. Je crois que je vais devoir retirer ce que je viens de dire. Il va se passer quelque chose. Je jette un regard en direction des deux autres anbus, eux aussi ont les yeux rivĂ©s sur le nouvel arrivant. Ils ont remarquĂ©s l'Ă©trangetĂ© du personnage, du moins ses tics. L'homme est assez petit et il fait de la calvitie, il doit avoir un certain Ăąge dans la cinquantaine avancĂ©e au moins. Pour nous, il n'est pas une menace. Par contre, il doit avoir peur de celui qu'il attend, sinon il ne semblerait pas autant Une heure que nous attendons, mais rien ne se passe. L'homme continue d'avoir ses tics nerveux, le chat est partie depuis longtemps. Je commence Ă m'ennuyer Ă ne rien faire sur mon balcon. Un mouvement. Enfin. Un ninja vient d'entrer dans la ruelle. Il porte la veste des juunins. Je regarde vers mes deux compagnons, eux aussi l'ont remarquĂ©s. Je redescends mon regard vers les deux hommes dans la ruelle, ils s'Ă©changent des papiers. Je suis beaucoup trop haut pour voir de quoi il s'agit, mais tout porte Ă croire que ce sont des documents importants. AprĂšs tout, ils ont fait le rendez-vous dans une ruelle sombre et le juunin ne cesse de regarder de tous les cĂŽtĂ©s pour s'assurer que personne ne les observe. S'il savait que trois anbus Ă©taient en train de les regarder... Une fois les dossiers Ă©changĂ©s, le juunin ne se fit pas prier et s'Ă©loigne rapidement. Dans son mouvement, j'ai eu le temps d'apercevoir son visage c'est... Rinji! J'espĂšre avoir mal vu. J'ai de la difficultĂ© Ă le croire. Rapidement, nous nous rĂ©unissons et nous partons chacun dans une direction L'un est est partit vers les bureaux de Konoha vĂ©rifier qu'il ne manquait pas de papiers importants et l'autre Ă suivit le vieil homme pour voir ce qu'il allait faire des documents, moi... Moi... Je... Je dois suivre mon... ami, mon meilleur ami. Je n'en reviens pas. Il n'y a pas de doute c'est bel et bien lui. Je ne comprends pas. Pourquoi Rinji trahirais son village? Je me rappelle encore du temps qu'on Ă©tait Ă l'acadĂ©mie, il avait Ă©tĂ© si fier de recevoir son bandeau. Rinji... Comment en est-il venu Ă ce point? Je passe mon doigt doucement sur la feuille de mon bandeau. Je suis un shinobi de Konoha, jamais je n'oserai trahir mon village. Nous avons fait la promesse de le protĂ©ger. Tu t'en rappelles Rinji? Je le regarde se promener dans le village comme si de rien Ă©tait. Il ne s'est pas rendu compte que je le suis. Il ne s'est pas rendu compte qu'on a dĂ©couvert sa trahison. Quand a-t-il l'intention de fuir? Ă la derniĂšre minute? Je prĂ©fĂšre ne pas y penser. J'imagine mal le village sans mon meilleur ami. Cette pensĂ©e me fait mal. Pourquoi?12H16. Je retire mon masque et le dĂ©pose dans mon sac. Pour un cas exceptionnel, je vais me dĂ©voiler le visage, pour le bien de la mission. J'ai dĂ©cidĂ© d'aller rejoindre Rinji qui est en train de manger un morceau au restaurant. Je lui demande si je peux l'accompagner, il accepte avec un sourire. Je suis son meilleur ami aprĂšs tout, mais en le voyant aussi amical, j'ai un pincement au coeur. Je ne peux pas comprendre ses intentions profondes. Il a toujours semblĂ© se plaire au village. Qu'est-ce qui a bien pu le changer? Comme Ă mes habitudes, je joues un rĂŽle, je ris comme Ă mon habitudes avec mon... ami? Mon rire sonne faux Ă mes oreilles, mais il ne semble pas s'en rendre compte. Heureusement... Les choses pourraient devenir encore pire. Il ne sait pas quand ce moment je ne fais que l'observer que je suis en mission. Il croit que je fais tout simplement profiter d'un repas entre copain. J'ai souvent menti dans ma vie, c'est un fait, mais jouer un rĂŽle face Ă une personne qui est â Ă©tait? - importante Ă mes yeux est difficile. Ne pas avoir Ă©tĂ© un anbu je me douterais de rien. Il est toujours le mĂȘme. Je voies encore mon â ancien â ami dans cet Le temps s'Ă©coule lentement, beaucoup trop lentement. Je tenais compagnie Ă Rinji. En fait, je cherchais une faille dans son comportement, mais il n'y en avait pas. Sa spĂ©cialitĂ©, tout comme moi, Ă©tait l'espionnage. Mon ami finit par me dire qu'il avait un rendez-vous, alors il devait partir. Je m'Ă©loigne en lui disant au revoir. Son rendez-vous qu'il soit une invention ou pas tombe Ă point, car je dois aller rejoindre mes deux coĂ©quipiers. Je ne sais pas ce que j'aurai inventĂ© comme mensonge pour me libĂ©rer. Je m'Ă©loigne dans une ruelle et je remets mon masque, puis me dirige vers notre point de rendez-vous. Je suis content de porter un masque, je ne voudrais pas qu'ils voient le trouble qui peut se lire sur mon visage. Surtout que je ne dĂ©montre jamais d'Ă©motion en tant normal. Cette mission m'affecte plus que je ne voudrais l'avouer. J'ai Ă peine le temps d'arrĂȘter qu'ils me demandent dĂ©jĂ si le juunin c'est compromis d'une quelconque façon depuis ce matin. Je rĂ©ponds Ă la nĂ©gative. Il semble toujours ĂȘtre le mĂȘme. Ă ce demander s'il n'a pas toujours jouer un rĂŽle. Je souhaiterais soupirer, mais je ne le fais pas, ça ne serait pas appropriĂ© et les deux autres se poseraient trop de Je sue sous mon masque et j'ai mal aux yeux. Le soleil les frappe avec une force inouĂŻ. Il m'en veut, j'en suis dĂ©sormais certain, mais je ne comprends pas ce que je lui ai fait pour mĂ©riter ce traitement. Ma journĂ©e Ă©tait censĂ© ĂȘtre banal, mais elle est en train de tourner au cauchemar avec cette chaleur. Sans compter le pire, la trahison de mon meilleur ami. Il me fait plus de mal qu'il n'en fait Ă Konoha. S'en rend-t-il compte? En plus, mĂȘme si je sais avec certitude que c'est un traitre, je me sens mal de le suivre ainsi. OĂč est rendu la supposĂ© confiance aveugle qu'on devrait avoir envers nos amis? Quand on mangeait ensemble plus tĂŽt, j'ai presqu'eu envie de lui dire que je l'avais vu ce matin dans la ruelle et que s'il avouait ses actes, les choses pourraient bien tourner, mais je n'en ai pas eu le courage. Pas le courage de lui dire que je l'avais espionnĂ©. Quel genre de personne observe les moindre faits et gestes d'un ami?15H08. La chaleur m'Ă©touffe, j'ai de la difficultĂ© Ă me concentrer. Sans compter que je suis distrait. La nature de la mission m'agace. Je n'ai pas Ă©tĂ© entrainĂ© Ă espionner des amis. On a Ă©tĂ© entrainĂ© Ă se soutenir entre nous, tout en mettant la mission de l'avant... J'ai Ă©tĂ© perdu dans mes pensĂ©s pendant quelques secondes, alors j'ai Ă©tĂ© imprudent et j'ai fait tombĂ© une petite roche. Rinji vient de m'apercevoir. Je sais qu'il ne peut pas me reconnaĂźtre, mais ça me rends mal Ă l'aise tout de mĂȘme. Je ferme les yeux deux petites secondes et je reprends constance. J'ai Ă©chouĂ© dans ma mission... Je soupire, je dois rester concentrer. Dans un bonds, je me dirige vers les autres, je dois les prĂ©venir qu'il m'a vu. Je leur explique ce qui s'est passĂ©, l'un d'eux se dirige aussitĂŽt vers la maison de l'hokage. Ă la fin c'est elle qui dĂ©cidera de ce que nous ferons. En attendant, nous devons reprendre notre poste d'observation et ĂȘtre encore plus vigilant, car maintenant il le sait qu'on le suit. Rinji est constamment sur ses gardes, il devient trĂšs difficile Ă suivre, j'espĂšre qu'on aura bientĂŽt les ordres, car Ă ce rythme on sera bientĂŽt obligĂ©s d'attaquer et j'en ai pas particuliĂšrement Nous avons finalement le nouvel ordre. La discussion avec Tsunade a Ă©tĂ© longue. Il nous explique qu'il faut le capturer vivant et le ramener Ă l'hokage. Je soupire â cette fois-ci je ne le retiens pas â et me porte volontaire. C'est de ma faute s'il nous a repĂ©rĂ© aprĂšs tout. Les deux autres acquiescent, mais reste proche au cas oĂč qu'il arrive quoi que se soit et que je n'arrive pas Ă l'attraper. Il est tout de mĂȘme du niveau de juunin, mais je ne suis pas inquiet. Je le connais comme le fond de ma poche, il n'a aucune chance contre moi, aucune... Malheureusement... J'aimerais qu'il me frappe pour mon insolence, pour ne pas lui faire confiance. Je sais que ce n'est pas de ma faute, que c'est un ordre que j'ai de l'attraper, mais je me sens sale. Sale d'avoir Ă attaquer ce que je considĂ©rais comme mon meilleur ami. La seule personne Ă qui j'ai fait la promesse d'ĂȘtre Ă©ternellement fidĂšle. J'allais briser ma promesse dans quelques secondes. Je sens une main qui se dĂ©pose sur mon Ă©paule, cette prise se veut rĂ©confortante. Les deux le savent que Rinji et moi sommes proche. Je sens un peu d'humanitĂ© dans notre trio. Ils vont me soutenir dans ce moment d'horreur que je vis. Ătrangement, je sens que ça va dĂ©jĂ ĂȘtre moins Je l'attaque et l'attrape dans un mĂȘme mouvement. Comme je l'avais cru, ce fut un jeu d'enfant. Je l'endors pour qu'il soit plus facile Ă transporter. Je le dĂ©pose sur mon Ă©paule comme un sac et nous retournons auprĂšs de Tsunade. Il ne sert Ă rien de s'Ă©terniser. Ă voir son visage, elle ne s'attendait pas Ă nous revoir arriver aussi tĂŽt. Elle nous demanda d'aller l'enfermer dans une salle d'interrogatoire et d'attendre qu'il se rĂ©veille. Notre trio s'y dirige en silence. Je sais que les deux sont mal Ă l'aise que j'aille Ă©tĂ© mis sur cette mission, mais ce qui doit arriver, arrive. Je suppose que c'Ă©tait part intĂ©grante de mon destin de savoir que j'avais un traitre dans mes amis les plus proche. Je le ligote sur une chaise et m'assit sur la table. Les deux autres restent debout. Avec le somnifĂšre que je lui ai donnĂ©, je sais que ça va ĂȘtre long avant qu'il ne se rĂ©veille. Je me demande si c'est nous qui doit s'occuper de son interrogatoire. J'ignore si j'ai envie de le faire; d'un cĂŽtĂ© je veux savoir toute l'histoire maintenant, mais d'un autre, il reste qu'il est question de Rinji vient de se rĂ©veiller. Finalement. Entre-temps, nous avons eu l'ordre de nous occuper de l'interrogatoire, ceux qui auraient dĂ» s'en occuper ont Ă©tĂ© mis sur d'autres cas. Nous nous sommes fait dire de ne pas hĂ©siter Ă le torturer s'il ne voulait pas parler. Chacun notre tour, nous posons des questions, voir plusieurs en mĂȘme temps, mais il refuse de parler. On met plus de pression. Je sens bien que mes deux coĂ©quipiers ne souhaitent pas le torturer, ils ne veulent pas me blesser, mais s'il ne se dĂ©cide pas Ă parler, nous n'avons pas le choix. Il ne veut pas parler. Il l'aura voulu. Je suis le premier Ă rĂ©agir et je le coince dans un genjutsu. Je connais tous ses points faibles, sans exception, je vais lui tirer les vers du nez coĂ»te que coĂ»te. Je le fais souffrir avec une facilitĂ© et une cruautĂ© qui m'Ă©tonne. Je ne me savais pas capable de tant de violence psychologique. Mon meilleur ami... Va-t-il me pardonner un jour? Vais-je me pardonner un jour de le faire tant souffrir? Ses sens sont brouillĂ©s, il hurle, bientĂŽt il ne pourra plus le supporter. J'arrive Ă me sortir de la tĂȘte que c'est mon ami. Je me concentre sur le seul fait que je suis un anbu qui fait son travail. Tout Il a finit par parler. Il ne pouvait pas supporter ces visions horrifiantes plus longtemps. Il explique rapidement â comme s'il avait peur qu'on l'enferme Ă nouveau dans le genjutsu â que les pays du Sud l'avait menacĂ© de le tuer s'ils ne divulguaient pas les forces de Konoha. Il tentait de se donner des excuses â Tsunade n'allait pas aimer cela â un shinobi se devait d'ĂȘtre fidĂšle Ă son village. Rinji ajouta, aux excuses qu'il tentait de se donner, les informations qu'il avait donnĂ© et celle qu'il avait rĂ©ussit Ă avoir. Les pays du Sud avaient l'intention d'attaquer le village dans quelques mois, de nuit, puisqu'il y avait moins d'effectif sur le terrain, ils voulaient avoir un effet de surprise. De plus, ils avaient l'intention de s'attaquer directement Ă l'hokage pour pouvoir ruiner Konoha Ă jamais. Rinji se mit Ă pleurer. Probablement face Ă sa propre faiblesse d'avoir accepter aussi facilement de remettre des informations confidentielles. Pleurer de honte par sa lĂąchetĂ©. Il avait eu peur de mourir. Il savait qu'un ninja devait mourir avec honneur pour ceux qui comptent, les gens de son village. Je sais qu'il va me pardonner s'il apprend que je fais partit de ceux qui l'ont interrogĂ©s, mais je ne suis pas certain que je vais ĂȘtre capable de le pardonner pour sa Je peux enfin entrer chez nous. La journĂ©e a Ă©tĂ© longue comme je m'y attendais. Je marche tranquillement jusqu'Ă mon appartement. J'ai dĂ©jĂ retirĂ© mon masque d'anbu, je peux donc regarder librement le ciel. Les Ă©toiles commencent dĂ©jĂ Ă se montrer. Les rues de Konoha sont si paisible une fois le soleil partit, cachĂ© au loin. De plus, dans cette noirceur, personne ne peut voir mon visage. Personne ne peut voir les larmes amers qui s'Ă©coulent lentement sur mes joues. Je suis horrifiĂ©s des tortures que j'ai fait subir, juste y penser me donne des frissons. J'ai eu l'impression que c'Ă©tait encore pire que de tuer et le pire c'est... Que j'y ai pris plaisir. Je me questionne encore sur mon humanitĂ©, oĂč est-elle rendu? Je ne crois pas qu'il est sain d'apprĂ©cier de faire agonir quelqu'un, encore moins si c'est une personne qui nous est cher... MĂȘme s'il nous a trahis. Je ferme les yeux et hume l'air. Je dois me changer les idĂ©es. Rinji va ĂȘtre en prison, il n'aura pas Ă fuir le village, j'ai rĂ©ussit ma mission et maintenant je peux tout mettre derriĂšre moi. Ce n'Ă©tait qu'une autre journĂ©e comme les autres, enfin presque. Aucune journĂ©e ne se ressemble quand on fait partie de l'Ă©lite des ninjas. Quoi que d'un autre cĂŽtĂ©, elles reviennent toutes au mĂȘme...24H00. J'ai flĂąnĂ© dans les rue de Konoha pendant une heure. Je n'arrivais pas Ă me dĂ©cider si je devais rentrer ou non Ă mon appartement. Je n'ai pas sommeil. Ma journĂ©e est terminĂ©, je voudrais la mettre dans mon passĂ©, mais elle me tourne incessamment dans la tĂȘte. Je suis couchĂ© sur mon lit et je sais que cette nuit, je vais Ă nouveau fixer mon plafond en espĂ©rant trouver un sommeil qui n'arrivera pas. Dans quelques heures, je devrai me lever et partir en mission â encore â sans avoir fermĂ© l'oeil de la nuit. Je suis pris dans ce cycle infernal. Je crois qu'il ne cessera jamais de me tourmenter. J'ignore si j'ai fait le bon choix en devenant anbu, mais c'est ce que j'ai dĂ©cidĂ© de faire, c'est ce que je suis devenu. Je suis un objet de Konoha. Qu'importe si je dors ou pas, en tout temps, je dois ĂȘtre prĂȘt Ă me sacrifier pour mon village et faire ce que l'on m'ordonne, car c'est ma destinĂ©e. Dradraâș La noble de Serdaigle âFeuille de personnagebla bla lksdlksajndjsjhdkd dfdsfsdgfgddfddd Sujet Re Ă lire avant de poster = Mar 8 Juin - 2207 Dou?eur - DouleurAu beau milieu de la nuit, les villageois et les ninjas de Konoha ont Ă©tĂ© rĂ©veillĂ© par un boucan horrible qui tempĂȘtait Ă l'extĂ©rieur, mais ce n'Ă©tait pas un orage, le village se faisait attaquer de maniĂšre sournoise. L'ennemi avait profitĂ© de l'effet de surprise en arrivant sous le manteau de la sombre nuit du village cachĂ© dans les feuilles. Les cris dĂ©chiraient la nuit. Des mesures d'urgence furent rapidement prit, avant mĂȘme de savoir qui Ă©tait l'ennemi. La premiĂšre action prise fut d'envoyer quelques chuunins pour Ă©vacuer les villageois sous les sculptures des anciens Hokage. Ă cet endroit, le peuple de Konoha serait en sĂ©curitĂ©. Les habitants Ă©taient inquiets, on pouvait lire la peur sur leur visage, alors les shinobis tentaient de les rassurer du mieux qu'ils en Ă©taient capable. Eux-mĂȘme ne comprenaient pas les raisons de cette attaque, mais ils Ă©taient confiants que l'ennemi n'avait aucune chance contre eux. Ils allaient protĂ©ger leur village Ă la vie, Ă la mort pour s'assurer que tout le monde soit sain et sauf au sein des villageois. Certains des chuunins restĂšrent avec les habitants pour les protĂ©ger, au cas oĂč, et les autres retournĂšrent vers Tsunade pour recevoir les ordres de avait dĂ©cidĂ© d'envoyer tous les mĂ©decins Ă l'hĂŽpital et que se soit des chuunins qui s'occupent de ramener les blesser. Ils durent se mettre au travail trĂšs rapidement. Les ninjas blessĂ©s arrivaient Ă un rythme effroyable. Sakura qui avait Ă©tĂ© placĂ© dans l'aile des empoisonnements recevait beaucoup plus de blessĂ©s que d'ordinaire. Il y en avait beaucoup trop. L'ennemi attaquait surtout avec des kunais empoisonnĂ©s. C'Ă©tait presque comme s'ils ne souhaitaient qu'affaiblir les forces du village, au lieu de le dĂ©truire complĂštement Ă prĂ©sent. GrĂące au poison, les shinobis Ă©taient hors de combat avant mĂȘme qu'ils soient au bout de leur Ă©nergie, mais elle n'avait pas vraiment le loisir d'y penser davantage. Le combat ne faisait que commencer et elle se sentait dĂ©jĂ Ă©puisĂ© par tous les blessĂ©s qui arrivaient encore et encore. La nuit allait ĂȘtre longue pour les mĂ©decins, car mĂȘme aprĂšs le combat, ils allaient devoir continuer de travailler jusqu'Ă l'aube pour pouvoir s'occuper de tout le monde, mais elle devait se concentrer sur le moment prĂ©sent, les bruits de pas qui annonçaient un nouveau blessĂ©. Sakura qui criait des ordres pour avoir de l'eau fraiche. Le souffle court des mĂ©decins. La tension Ă©tait palpable dans l'hĂŽpital. Le gĂ©missement des blessĂ©s...Une petite partie des juunins furent envoyĂ©s au frontiĂšre du village pour empĂȘcher que d'autres ennemis puissent envahir le village, en plus de ceux dĂ©jĂ prĂ©sent. Ils avaient beaucoup plus de travail qu'ils ne l'auraient cru. L'ennemi avait beaucoup de renfort qui tentait de pĂ©nĂ©trer Konoha. Plusieurs n'Ă©taient que des clones, mais ce n'Ă©tait pas le pire, ils devaient sans cesse Ă©viter les kunais empoisonnĂ©s qui virevoltaient autour d'eux. Les autres juunins avec l'aide des chuunins s'occupaient de ceux qui avaient dĂ©jĂ envahis leur village d'ordinaire si paisible. Ils regardaient avec horreur les bĂątiments tombĂ©s en ruine et le sang de leur camarades tombĂ©s au combat. Jusqu'Ă prĂ©sent, ils n'avaient pas l'impression de voir de morts, heureusement, seulement des blessĂ©s... Beaucoup trop. Sans compter qu'Ă la moindre blessure les shinobis devenaient invalide, le poison que l'ennemi utilisait voyageait rapidement dans le sang, dĂšs que les ninjas Ă©taient atteint, ils figeaient et tombaient au sol. Inconscient. Ils respiraient faiblement, alors ils Ă©taient rapidement envoyĂ©s Ă l'hĂŽpital. Les troupes diminuaient Ă un rythme effroyable. Personne ne perdait espoir, mais ça ne saurait tout s'arrĂȘta. Tous les ennemis disparurent dans la forĂȘt en quelques secondes. La majoritĂ© des shinobis restĂšrent sur leur garde, se demandant si c'Ă©tait une trappe, car malgrĂ© que c'Ă©tait difficile pour l'orgueil, ils avaient eu le dessus dans ce combat. Ils marchaient dans les rues observant certains autres ninjas aider leur compagnon pour aller jusqu'Ă l'hĂŽpital. Cherchant les piĂšges, les bombes qui auraient pu ĂȘtre cachĂ© derriĂšre des points stratĂ©giques dans le village, mais ils ne trouvaient rien. L'ennemi Ă©tait partie aussi vite qu'il avait attaquĂ© sans laisser de traces derriĂšre mis Ă part les bĂątiments en ruine et les troupes blessĂ©s. Les juunins qui s'occupaient d'empĂȘcher Ă l'ennemi d'avoir des renforts, firent le tour du village pour s'assurer qu'ils n'avaient pas trouvĂ© une autre entrĂ©e, mais ils ne trouvĂšrent rien, alors ils retournĂšrent au village, malgrĂ© leur envie de les poursuivre. Ils devaient attendre les ordres de l'hokage avant d'entreprendre une quelconque action. Cette attaque et cette finale Ă©taient complĂštement incomprĂ©hensible pour tous les ninjas qui avaient assistĂ©s au combat. L'ennemi avait-il trouvĂ© ce qu'il cherchait ou il avait l'intention de revenir prochainement?Tsunade avait hĂąte que tout le monde ai reçu ses ordres pour qu'elle puisse aller aider Ă l'hĂŽpital. Elle avait donnĂ© l'ordre aux ninjas de rester Ă Konoha et d'aider les villageois. Ils devaient ce concentrer davantage sur la reconstruction du village que de l'ennemi. Par contre, elle demanda Ă voir cinq ninjas Shikamaru, Kiba, Shino, Neji et Tenten. Ils Ă©taient les cinq qui avaient le droit de poursuivre l'ennemi, elle les envoyait en mission pour recueillir des informations. Elle leur demanda de ne pas faire de gestes stupides, tout ce qu'elle voulait c'Ă©tait des informations et qu'ils reviennent, tous les cinq, avec les renseignements. C'Ă©tait une mission exclusivement d'espionnage. Elle savait que ce n'Ă©tait pas trĂšs inquiĂ©tant avec les cinq qu'elle envoyait, mais elle prĂ©fĂ©rait prĂ©venir tout de mĂȘme. Elle savait aussi que Naruto allait ĂȘtre fĂącher quand il allait apprendre que ces cinq-lĂ avaient pu aller s'amuser» Ă courir aprĂšs l'ennemi, mais il Ă©tait trop imprudent de l'envoyer avec eux et dans le moment prĂ©sent, elle devait penser au futur de son village. Elle envoya rapidement les cinq ninjas hors de son bureau et se dirigea vers l'hĂŽpital, elle allait davantage ĂȘtre utile lĂ qu' en tant que chef de l'Ă©quipe devait trouver la stratĂ©gie la plus efficace pour rĂ©cupĂ©rer les informations que Tsunade souhaitait tout en se positionnant hors de danger autant que possible. DĂšs leur sortit du bureau de l'hokage, le Nara Ă©tait en pleine rĂ©flexion et agacĂ©, car tous ses plans finissaient toujours par contenir une certaine dose d'imprudence. Il n'avait pas terminĂ© de rĂ©flĂ©chir sur la stratĂ©gie la plus efficace, qu'ils Ă©taient dĂ©jĂ au porte de Konoha. Il soupira, puis il demanda Ă Kiba de suivre la trace de l'ennemi. Chose que l'Inuzuka fit avec une facilitĂ© presqu'arrogante. Ensuite, il dit Ă Neji qu'il devait vĂ©rifier qu'aucun ennemi ne les surprennent par derriĂšre ou par les cĂŽtĂ©s. En avant d'eux, Shikamaru faisait confiance Ă Kiba pour les prĂ©venir. Le manieur d'ombre observait le groupe de quatre ninjas qui avait Ă©tĂ© associĂ© Ă cette mission. Il remarqua qu'ils Ă©taient tous habituĂ©s de travailler avec une personne; Neji Ă©tait dans la mĂȘme Ă©quipe que Tenten et Shino avec Kiba. S'ils avaient Ă se sĂ©parer, Shikamaru allait garder en tĂȘte qu'il serait avantageux de les mettre ensemble, la coordination serait dĂ©jĂ prĂ©cise. Il Ă©tait le seul qu'aucun de ses coĂ©quipiers n'Ă©taient venu, mais de toute maniĂšre en tant que chef d'Ă©quipe, il Ă©tait prĂȘt Ă se sacrifier s'il devait arriver quoi que se fit une halte et les autres s'arrĂȘtĂšrent derriĂšre lui pour demanda ce qu'il avait. Il leur expliqua que l'ennemi Ă©tait Ă moins de dix mĂštres devant eux, s'ils avançaient davantage, l'ennemi allait les repĂ©rer sans difficultĂ©. Shikamaru hocha de la tĂȘte. Il demanda Ă Shino s'il pouvait envoyer ses insectes en reconnaissance. Silencieux, il ne fit que lever ses bras et deux nuages noirs se dirigĂšrent au-devant d'eux. Neji attira l'attention du chef de la mission et le prĂ©vint qu'un des ennemi arrivait par-derriĂšre. Ils se mirent sur leur garde et attendirent. Une ninja au sourire sournois arriva face Ă eux quelques secondes plus tard. Elle se moqua ouvertement de leur jeune Ăąge et plus particuliĂšrement de Tenten. Kiba se pencha vers Shikamaru et lui signala en chuchotant que l'ennemi s'Ă©loignait. Shikamaru fit un petit signe pour attirer leur attention et leur indiqua que c'Ă©tait probablement une diversion que l'ennemi faisait pour Ă©viter qu'ils ne s'approchent trop. L'ennemi avait dĂ» se rendre compte de leur prĂ©sence malgrĂ© tout. Ils ne devaient pas perdre trop de temps, alors ils devaient se dĂ©barrasser rapidement de cette ninja avança d'un pas et leur dit qu'elle allait prendre soin de cette fille-lĂ , qu'ils pouvaient poursuivre leur chemin. Cette ninja inconnue l'avait rendue de trĂšs mauvaise humeur avec ses insultes, elle avait l'intention de lui faire la peau. Shikamaru accepta, il faisait confiance au talent de combat de Tenten, en plus, ça l'Ă©vitait d'avoir Ă se battre contre une fille. Tenten bloqua le chemin Ă la ninja ennemi quand elle voulu poursuivre ses quatres amis. Elle lui indiqua qu'elle Ă©tait son opposante maintenant et qu'elle ne la laisserait pas passer tant et aussi longtemps qu'elles ne s'Ă©taient pas battus. Tenten remarqua que l'ennemi venait de perdre son sourire arrogant et sembla soudainement insĂ©cure. Elle sortit l'un de ses parchemins et convoqua des armes, l'autre fille sortit des kunais. La ninja de Konoha savait qu'ils Ă©taient probablement empoisonnĂ©s, elle devait ĂȘtre prudente. Armes lancĂ©s dans un sens et dans l'autre, coup de poing et de pieds. Sans surprise, Tenten eut le dessus dans ce combat, mais Ă la fin, elle Ă©tait Ă©puisĂ©, alors elle s'accota sur un arbre et s'endormit dans cette quatre autres avaient repris leur chemin, laissant Tenten derriĂšre eux et sans aucune inquiĂ©tude. Ils savaient tous Ă quel point elle s'entrainait beaucoup et Ă quel point elle Ă©tait forte. De plus, Shikamaru se posait plusieurs questions qui lui semblaient plus importantes que de s'inquiĂ©ter pour quelqu'un en qui il faisait confiance. Il avait remarquĂ© cette nuit que c'Ă©tait des ninjas qui les avaient attaquĂ©s, mais aucun d'eux ne venaient de l'un des cinq villages. Ils portaient tous des bandeaux avec une plaque qui Ă©tait vierge. Comment le dirigeant de cette armĂ©e avait rĂ©ussi Ă rĂ©unir autant de ninjas sans village? Avait-il créé un nouveau village? Il trouvait qu'il manquait quelque chose pour que le casse-tĂȘte soit reconstituĂ©. Sans compter que pour rĂ©unir autant d'effectif sans attirer l'attention, c'Ă©tait tout un exploit. Puis, le fait qu'ils aillent fuit, alors qu'ils avaient le dessus dans le combat Ă©tait aussi dĂ©rangeant. Ce n'Ă©tait pas qu'il manquait des piĂšces au casse-tĂȘte, c'est que l'ennemi les avait cachĂ©, car leur cartes auraient Ă©tĂ© ouverte sinon. Que cachait-il? Allait-il attaquer Konoha Ă nouveau pendant que les forces Ă©taient Ă leur plus faible?Shikamaru se retourna vers Shino puisque ses insectes revenaient. Ce dernier expliqua que l'ennemi s'Ă©tait montĂ© un campement Ă quelques kilomĂštres d'oĂč ils Ă©taient dans la forĂȘt, proche de l'eau. Donc, en plus des forces qu'ils avaient envoyĂ©s sur le village, d'autres ninjas Ă©taient restĂ©s en arriĂšre. La tournure des Ă©vĂ©nements commençaient Ă inquiĂ©ter le Nara. Les quatre ninjas restant continuĂšrent leur ascension vers le campement ennemi. Ils iraient se cacher Ă proximitĂ© et les observeraient pour recueillir les informations. S'ils Ă©taient encore plus que cette nuit, il Ă©tait certain qu'ils n'aillent aucune chance en position de combat et Tsunade avait Ă©tĂ© trĂšs clair sur le fait qu'elle ne voulait pas qu'ils prennent de risque inutile. Shikamaru eut une pensĂ©e pour Tenten, il se demandait pourquoi elle n'Ă©tait toujours pas revenu. Il espĂ©rait qu'elle ne se soit pas faite atteinte par le poison. Il devait se concentrer sur le moment prĂ©sent. Leur coĂ©quipiĂšre allait bien s'en tirer. Il Ă©tait inutile d'avoir des sombres pensĂ©es pendant une mission. Il verrait quand ils reviendraient vers le village. Pour le moment, trouver l'ennemi et l'espionner Ă©tait une quatre ninjas se cachĂšrent dans les arbres et observĂšrent l'ennemi. Rapidement, Shikamaru rĂ©alisa qu'il se passait quelque chose d'Ă©trange. Leur entrainement... Il remarqua que dans les faits trĂšs peu d'entre eux utilisaient du chakra. Il demanda Ă Neji de vĂ©rifier le flux de leur chakra pour confirmer ses pensĂ©es. Comme de fait, trĂšs peu des hommes qui se trouvaient en-dessous d'eux avaient un chakra dĂ©veloppĂ©. Ceci expliquait bien des choses. Ils n'Ă©taient qu'un groupe de gens douĂ©s avec les armes. Tout simplement. Parmi eux, il n'y avait que quelques ninjas pour donner une impression de grande force. Ces derniers devaient probablement restĂ©s en arriĂšre â pour s'assurer qu'ils ne se blessent pas â et s'occuper d'illusionner ceux qu'ils attaquaient. Les shinobis de Konoha observĂšrent l'entrainement encore un moment avec une certaine fascination. Ils avaient rĂ©ussit Ă diminuer les forces du village avec... ça? C'Ă©tait honteux en quelque sorte. RĂ©ussir un tel carnage avec si peu de vĂ©ritable ninja. Leur plan devait vraiment ĂȘtre rĂ©glĂ© au quart de tour. C'est d'ailleurs ce qui devait expliquer la raison du pourquoi ils Ă©taient partie aussi rapidement. C'Ă©tait pour Ă©viter que leur petit jeu soit dĂ©voilĂ© au grand bout de quelques minutes, Shikamaru demanda Ă Shino de retourner au village pour avertir Tsunade. Il hocha de la tĂȘte et partit en direction du village. Il envoya ses insectes dans toutes les directions pour Ă©viter d'ĂȘtre surpris par un ennemi cachĂ© derriĂšre un buisson. Il n'avait pas envie de perdre du temps dans un combat, il devait se dĂ©pĂȘcher Ă avertir Tsunade de ce qu'ils avaient appris. Par contre, il devait s'avouer avoir un peu peur de la rĂ©action qu'elle allait avoir quand elle allait apprendre qu'ils y avaient trĂšs peu de ninjas chez l'ennemi. Il ne devait pas y penser, aprĂšs tout, ce n'Ă©tait pas aprĂšs lui qu'elle allait ĂȘtre en colĂšre... Un de ses insecte revint vers lui et lui mentionna que Tenten Ă©tait quelques mĂštres au-devant sur son chemin. Il accĂ©lĂ©ra le pas. Il retrouva Tenten endormi au pied d'un arbre. Elle ne semblait pas blessĂ©, seulement fatiguĂ©. Il la ramassa doucement sans la rĂ©veiller. Si elle dormait c'est qu'elle avait besoin de sommeil. Il ne s'inquiĂ©ta pas plus que cela, car il sentait toujours son coeur battre, puis il poursuivit sa route vers ne restait plus que Shikamaru, Kiba et Neji pour surveiller le camp. Ă eux trois, ils devraient ĂȘtre suffisant pour garder un oeil sur le lieu. L'ennemi avait l'avantage du nombre, ils devaient bien ĂȘtre une centaine. MĂȘme s'ils y avaient trĂšs peu de vrai ninjas, ils ne pouvaient pas se permettre de les attaquer en raison du nombre d'effectif. De plus, ce n'Ă©tait pas lĂ le but de leur mission. Tout ce qu'ils devaient faire c'Ă©tait de recueillir des informations et Ă©viter les conflits. Tant que l'ennemi ne les voyait pas, ils Ă©taient en sĂ©curitĂ© et hors de danger. Au bout d'un moment, ils finirent par remarquer la tente complĂštement au centre du campement. C'Ă©tait la seule qui possĂ©dait des gardes. Donc, s'ils avaient une place oĂč aller, c'Ă©tait lĂ , mĂȘme si c'Ă©tait risquĂ©. Neji regarda Ă l'intĂ©rieur et il expliqua que c'Ă©tait probablement le gĂ©nĂ©ral de l'opĂ©ration qui s'y trouvaient. Il ajouta qu'il y avait plusieurs papiers qui trainaient sur la table au centre de la tente. Le Nara se doutait bien qu'il faudrait qu'ils trouvent un moyen de s'infiltrer Ă l'intĂ©rieur pour avoir toutes les informations qu'ils recherchent. D'un cĂŽtĂ© Tsunade ne voulait pas qu'ils s'attirent trop d'ennui, mais d'un autre, ils se devaient rĂ©cupĂ©rer ces regardait toujours Ă l'intĂ©rieur de la tente quand il se proposa pour pĂ©nĂ©trer le campement et par le mĂȘme fait, rĂ©cupĂ©rer les informations. Shikamaru n'avais mĂȘme pas eu le temps d'y penser. Ce dernier hĂ©sita quelques secondes, puis accepta la requĂȘte en lui disant d'ĂȘtre prudent, mais avant ils devaient Ă©tablir un plan pour que Neji est une roue de secours si jamais il arrivait quoi que se soit. Il Ă©tait hors de questions que le Nara mette l'un de ses camarade en danger pour une imprudence de sa part. Ils discutĂšrent et finirent par convenir que Shikamaru et Kiba feraient une diversion, pendant que le Hyuga entrerait dans la tente centrale. C'Ă©tait la façon la plus sĂ©curitaire» pour Neji. Le mot sĂ©curitaire Ă©tant relatif puisque cette action comprenait plus d'un risque. Bien entendu, les trois avaient parlĂ©s plusieurs minutes pour monter le plan qui assurerait un plus grand pourcentage de rĂ©ussite et le risque de danger le plus faible. Sans surprise, ce fut le Nara qui arriva avec la meilleure idĂ©e. Il avait analysĂ© leur diffĂ©rentes possibilitĂ©s d'actions et il en avait conclu que le plus prudent Ă©tait d'obliger l'ennemi Ă se sĂ©parer pour faire plus d'espace Ă se mirent en position pour effectuer le plan. Kiba, Akamaru et Shikamaru se placĂšrent Ă distance pour que l'ennemi soit obligĂ© de se sĂ©parer. Ils encerclaient le campement. En plus de devoir se sĂ©parer, ils allaient ĂȘtre Ă©loignĂ©s l'un de l'autre, alors impossible d'aider les autres groupements de leur homme. Akamaru, de sa position, se mit Ă japper, courir et sauter partout. Il faisait bouger les feuilles dans tous les sens. Ce qui donnait l'impression qu'il y avait plusieurs ninjas autour. Kiba et Shikamaru attendirent un moment pour s'assurer qu'une partie des troupes se dirigeaient ver Akamaru, puis mirent leur partie du plan en action. Ils commencĂšrent Ă lancer des shirukens et des kunais chacun de leur cĂŽtĂ©. Shikamaru et Kiba eurent la mĂȘme pensĂ© Ă ce moment. Ils regrettaient que Tenten ne soit pas venu les rejoindre, elle aurait Ă©tĂ© beaucoup plus efficace qu'eux deux rĂ©unis. Ils espĂ©raient tous deux qu'elle aille bien, mais c'Ă©tait tout de mĂȘme elle l'experte avec les armes. Ils ne devaient pas y penser et se concentrer sur l'ennemi. AprĂšs tout, ils Ă©taient plus nombreux qu'eux. S'ils se mettaient Ă penser Ă autre chose, le plan Ă©chouerait et c'Ă©tait une chose d'assurĂ©e. Toute leur Ă©nergie allait ĂȘtre demandĂ© pour pouvoir terminĂ© la mission avec dĂ©but du plan se passa comme prĂ©vu, les gardes s'Ă©taient dĂ©placĂ©s pour voir ce qui se passait, alors Neji n'eut aucune difficultĂ© Ă se faufiler dans le campement. Ce fut un jeu d'enfant pour lui de pĂ©nĂ©trer la tente. Le dirigeant Ă©tait bien entendu restĂ© en arriĂšre â les autres se sacrifiaient et lui restait en sĂ©curité» Ă l'intĂ©rieur â Neji le bĂąillonna avant que celui-ci n'ai le temps de crier aux gardes. Le Hyuga se retourna vers les papiers et commença Ă les regarder. Toutes les stratĂ©gies d'attaque, des cartes des diffĂ©rents pays et des informations sur des ninjas s'y retrouvaient. Il Ă©tait impressionnant de voir la quantitĂ© de renseignements que cet homme avait Ă©tĂ© capable de rĂ©cupĂ©rer, plusieurs Ă©taient considĂ©rĂ©s comme ultra-confidentiel. Il les ramassa et les mit dans son sac. Puis, avec son byukugan, il vĂ©rifia si les gardes Ă©taient aux alentours, il vit qu'ils Ă©taient encore loin. Shikamaru et Kiba faisaient vraiment bien leur travail de diversion. Il ramassa le dirigeant des opĂ©ration et le dĂ©posa sur son Ă©paule dans l'intention de le ramener Ă Konoha, comme l'avait voulu Shikamaru. Il avait ajoutĂ© que Kiba et lui serait correct, alors qu'il devait directement se diriger vers le village sans se soucier d'eux. Il Ă©couta les autres du chef de la mission. De plus, avec cet homme avec lui, il ne pouvait pas faire grand-chose pour les ne devait pas rester Ă son poste. Une fois les gardes dans sa direction, il devait s'Ă©loigner, puis aller rejoindre son maĂźtre. Avant, il devait poser plusieurs piĂšges pour Ă©liminer une partie des hommes ennemis. Kiba, de son cĂŽtĂ©, Ă©tait lui aussi en train de placer des bombes un peu partout dans son secteur. C'Ă©tait part intĂ©grante du plan. Ils avaient convenus qu'Akamaru et Kiba poseraient des trappes, puis ils viendraient rejoindre Shikamaru. De cette maniĂšre, ils pouvaient se dĂ©barrasser â en thĂ©orie â du deux-tiers des troupes ennemi. La raison pour laquelle seul le Nara n'en posait pas, c'est qu'il Ă©tait placĂ© au point le plus avantageux pour attaquer, faire une embuscade. De plus, les distractions que l'Inuzuka et son chien poseraient permettaient de gagner un temps considĂ©rable et d'envoyer valser facilement une partie des effectifs ennemies. Au lieu d'attaquer la centaine de combattant, ils n'en avaient qu'une trentaine â selon leur calcul â Ă s'occuper. Ils Ă©taient de beaucoup avantagĂ© dans ce plan. C'Ă©tait ce qu'il y avait de plus prudent. Dans les faits, cette diversion Ă©tait trĂšs dangereuse, mais elle leur donnait une chance de survie au moins. Contrairement aux autres solutions qu'ils avaient trouvĂ©s avant, car il ne fallait pas oublier que le but premier Ă©tait de permettre Ă Neji de ne pas avoir d'ennui. Le succĂšs de la mission Ă©tait ce qu'il avait de plus aida son maĂźtre Ă placer les derniĂšres bombes, ensuite, ensemble, ils allĂšrent rejoindre Shikamaru. Quand ils arrivĂšrent, le Nara avait dĂ©jĂ plusieurs ennemis d'attraper dans son ombre. On pouvait voir la sueur qui perlait sur son front. Kiba voyait bien qu'il ne tiendrait plus longtemps. Shikamaru avait mĂȘme de la difficultĂ© Ă regarder devant lui dĂ» Ă l'effort beaucoup trop exigeant. Akamaru jappa et Kiba regarda dans la direction que lui indiquait son chien. Un mouvement. Quelqu'un avait l'intention d'attaquer le Nara pendant qu'il avait la tĂȘte baissĂ©. Kiba se mit Ă courir. AprĂšs qu'il ai mis un tel effort, il ne pouvait pas accepter qu'il se fasse attaquer d'une maniĂšre aussi lĂąche. Il fut incapable d'Ă©viter le coup et eu le shuriken au visage, la plaie allait d'un oeil et passait sur son nez jusqu'Ă sa joue. Une arme empoisonnĂ©e, encore, Kiba tomba au sol, inconscient. Un sourire arrogant pouvait se lire sur ses lĂšvres, il Ă©tait heureux d'avoir rĂ©ussit Ă sauver Shikamaru. C'Ă©tait lui le cerveau de cette mission et le chef, il devait ĂȘtre sauf, contrairement Ă regarda avec horreur Kiba tomber au sol. Il retrouva une nouvelle force, celle du dĂ©sespoir. Kiba ne devait pas s'ĂȘtre sacrifiĂ© en vain. Pour lui, il devait rĂ©ussir son attaque jusqu'au bout. Il attrapa le dernier venu dans son ombre et la laissa monter tranquillement sur la trentaine d'ennemis auquel ils faisaient face et les Ă©trangla. Puis, il tomba de fatigue au sol. Il haletait. Il n'en pouvait plus. Il avait l'impression d'avoir utilisĂ© plus de chakra qu'il n'en possĂ©dait, mais c'Ă©tait physiquement impossible, il le savait, pourtant... Il finit par s'Ă©craser complĂštement au sol. ĂpuisĂ©. Akamaru lui lĂ©cha le visage et jappa. Il ne devait pas s'endormir, kiba Ă©tait blessĂ©, empoisonnĂ©. Il fit un effort surhumain et passa le bras de Kiba autour de son Ă©paule. Il sentait sa faible respiration dans le creux de son cou. Il Ă©tait toujours en vie, mais en piteux Ă©tat. Il devait le ramener rapidement Ă Konoha pour qu'il aille des soins. Il ignorait comment son ami allait s'en sortir au final. Shikamaru puisa dans sa rĂ©serve d'Ă©nergie et entrepris le chemin du retour vers Konoha avec - DouceurUne grande cicatrice marquait le visage de Kiba. Cette marque traversait son oeil droit, passait par son nez et allait s'Ă©tendre jusqu'Ă sa joue. La premiĂšre fois qu'il avait vu sa blessure dans un miroir, il avait Ă©tĂ© un peu surpris, mais maintenant il ne s'en prĂ©occupait plus tellement. En fait, il trouvait qu'elle lui donnait un certain style. Il avait vraiment l'air d'un ninja qui en avait vu de toutes les couleurs. De plus, il se disait qu'il pouvait draguer plus facilement avec elle. Il en parlait en riant. AprĂšs la mission â rĂ©ussie â et l'attaque de Konoha, il avait rapidement rĂ©cupĂ©rer son sourire et sa joie de vivre. Akamaru, ses amis et le village allaient bien, alors tout Ă©tait parfait pour lui. Il avait mĂȘme rĂ©cupĂ©rĂ© cette petite arrogance qui le caractĂ©risait si bien et qui le rendait encore plus charmant. Pour lui, les choses Ă©taient de retour Ă la normale et il n'y avait aucune raison pour s'en faire. La majoritĂ© de ses amis Ă©taient bien contents qu'il ne s'en fasse pas avec cette histoire, qu'il se fiche bien de cette cicatrice. D'autres auraient Ă©tĂ© dĂ©moralisĂ©, mais pas Kiba. Il ne s'Ă©tait jamais vraiment prĂ©occupĂ© de son apparence, alors une cicatrice de plus, une cicatrice de moins ne faisaient aucune diffĂ©rence pour n'est pas tout le monde qui voyait les choses d'un oeil aussi positif. Il en faut toujours un qui doute des apparences, Shikamaru Ă©tait ce dernier. Il avait l'impression que l'Inuzuka cachait quelque chose derriĂšre son sourire. Il ne pouvait pas croire qu'il se sente aussi bien aussi peu de temps aprĂšs la mission. Il avait reçu un shuriken en plein visage aprĂšs tout. Il croyait que Kiba refusait qu'on le prenne en pitiĂ©, alors il affichait cet air heureux pour qu'on le laisse tranquille. Le Nara voulait en avoir le coeur net, alors il se disait qu'il garderait un oeil sur son ami. Pour se donner bonne conscience, il se disait que c'Ă©tait pour le bien de Kiba qu'il l'observait ainsi. Il cherchait la faille dans le systĂšme d'auto-dĂ©fense de Kiba. Si c'Ă©tait vraiment un faux sourire, bien vite il verrait une erreur de la part de l'Inuzuka. Il finirait par avoir quelques secondes qu'il croit que personne ne le regarde et il montrerait son vrai visage. Shikamaru Ă©tait suspicieux et Ă la vitesse Ă laquelle fonctionnait son cerveau, il Ă©tait difficile pour lui de ne pas se mettre Ă tout analyser. Il remarquait chaque dĂ©tails et les analysaient, sans exception. Il ne lĂąchait jamais son regard de plus de toute cette suspicion, Shikamaru ne comprenait pas pourquoi Kiba s'Ă©tait sacrifiĂ©. C'Ă©tait probablement ce qui le dĂ©rangeait le plus. En acceptant cette mission et d'en ĂȘtre le chef, il acceptait les sacrifices qui venaient avec. Il aurait pu prendre le coup. Il aurait dĂ» prendre ce coup. Le rĂ©sultat final aurait seulement Ă©tĂ© qu'il ressemble Ă son pĂšre davantage. Point Ă la ligne. De plus, il Ă©tait certain que Kiba aurait pu se dĂ©brouiller avec Akamaru contre l'ennemi s'il Ă©tait tombĂ© aprĂšs avoir reçu le shuriken. AprĂšs tout, l'Inuzuka Ă©tait toujours prĂȘt pour un peu de bagarre. Il n'aurait pas Ă©tĂ© dĂ©rangĂ© le moindrement de combattre l'ennemi Ă lui seul. S'il avait fallu qu'il le fasse, il l'aurait fait sans problĂšme, mais... Au lieu de laisser le shuriken atteindre le Nara, il avait sautĂ© devant; il aurait pu le pousser, lui laisser prendre le coup, mais il avait fallu qu'il fasse un geste stupide. Le Nara Ă©tait en total incomprĂ©hension face au geste. Il n'avait pas voulu en parler avec l'Inuzuka, il ne souhaitait pas que son ami sache qu'il se sente coupable. Kiba l'aurait trouvĂ© ridicule, car ce dernier avait agit de son plein grĂšs et que le Nara n'y pouvait Ă©tait constamment en train de fixer cette cicatrice qui aurait dĂ» ĂȘtre la sienne. Il se sentait coupable beaucoup plus qu'il n'aurait Ă©tĂ© capable de l'admettre. Kiba n'aurait pas dĂ» prendre le coup Ă sa place. Il se rĂ©pĂ©tait cette phrase incessamment. Les mĂ©decins de Konoha avait Ă©tĂ© incapable d'empĂȘcher la plaie de faire une telle cicatrice en raison du poison que l'ennemi avait utilisĂ©. Il ne se rappelait que vaguement d'ĂȘtre revenu au village. Ses souvenirs Ă©taient flous. Il Ă©tait tombĂ© de fatigue devant l'hĂŽpital dĂšs qu'ils Ă©taient arrivĂ©s. Il s'Ă©tait rĂ©veillĂ© quelques heures plus tard dans un lit d'hĂŽpital au cĂŽtĂ© de son pĂšre qui s'Ă©tait endormi sur la chaise des visiteurs. Ce n'est que le lendemain matin qu'il avait pu avoir des nouvelles de ses autres partenaires de mission; Shino et Neji allaient parfaitement bien, Tenten n'avait que quelques petites coupures mineurs et Kiba allait s'en sortir avec seulement une cicatrice... Une cicatrice de trop. Shikaku lui disait qu'il Ă©tait trop exigeant avec lui-mĂȘme, car Shikamaru ne pouvait s'empĂȘcher d'ĂȘtre fĂącher contre lui-mĂȘme d'ĂȘtre en parfaite santĂ©, alors que Kiba et Tenten ait eu Ă avoir des sĂ©quelles de la premiers temps, Kiba ne passa aucun commentaire, mais il voyait parfaitement dans le jeu de Shikamaru. Au bout d'un certain temps, l'Inuzuka en avait assez d'avoir Ă subir les remords du Nara alors, il se mit Ă l'Ă©viter. Kiba souffrait d'avoir Ă Ă©viter un de ses proches amis. D'autant plus que c'Ă©tait celui qu'il avait protĂ©gĂ©, pour lequel il s'Ă©tait mis comme bouclier sans penser aux consĂ©quences de ses actes. Il l'avait fait inconsciemment. Il avait voulu le protĂ©ger, plus que de se protĂ©ger lui-mĂȘme. De plus, il avait prĂ©fĂ©rĂ© avoir une cicatrice que l'Ă©chec de la mission. Il savait que grĂące Ă son geste, Neji avait eu tout le temps qu'il lui fallait pour partir avec le dirigeant â dont Tsunade avait fait la peau â s'il avait Ă©vitĂ© le coup, les hommes auraient rapidement remarquĂ© que quelque chose clochait dans leur campement. De plus, d'aprĂšs ce qu'il avait entendu des autres â puisque Shikamaru refusait d'aller sur le sujet â son sacrifice lui avait permis d'avoir la force de terminer son combat. Rien de mauvais ressortait de son geste. La seule chose qu'il aurait peut-ĂȘtre voulu Ă©viter c'Ă©tait la rĂ©action de sa mĂšre, mais ça, il n'y pouvait remarqua rapidement que l'Inuzuka l'Ă©vitait. C'Ă©tait facile Ă voir. Durant de longues semaines, Kiba avait rĂ©ussi. Le Nara en eu assez et il perdit patience. Il ne lui restait plus qu'une seule option, le traquer. PremiĂšrement, car il commençait Ă se dire que si Kiba l'Ă©vitait c'Ă©tait qu'il cachait vĂ©ritablement quelque chose, mais aussi, car... Il Ă©tait incapable de supporter d'ĂȘtre loin de son ami ainsi. Il savait pertinemment que c'Ă©tait de sa faute si Kiba s'arrangeait pour ne pas le voir. Shikamaru admettait sa faute pour la premiĂšre fois, il avait Ă©tĂ© trop loin, mais il s'en rendait compte un peu trop tard. Il n'avait pas prĂ©vu dans son plan que Kiba finirait par arrĂȘter de lui parler, arrĂȘter de le voir. Il devait s'excuser. Il voulait s'excuser. Ensuite, il ne pouvait qu'espĂ©rer de se faire pardonner. Par contre, le seul moyen de le revoir, Ă©tait d'utiliser les grands moyens. Il n'avait pas d'autre solution que celle de le traquer, mĂȘme si elle semblait un peu extrĂȘme. Il se doutait qu'envoyer une lettre serait inutile et un peu lĂąche, puisqu'ils ne seraient pas face Ă face. De plus, il avait envie de le revoir, pas envoyer un bout de papier et espĂ©rer qu'il le lise et que peut-ĂȘtre il lui pardonne. Un face Ă face Ă©tait la meilleure des avait rĂ©flĂ©chit longuement Ă son plan avant de le mettre Ă exĂ©cution. Il avait remarquĂ© que Kiba Ă©tait plus malin qu'il ne l'avait cru. Sans compter, qu'en plus, il Ă©tait sur ses gardes Ă prĂ©sent. Il fallait que chaque dĂ©tails soient calculĂ©s s'il voulait rĂ©ussir la mission qu'il venait de se donner. Le jour donnĂ©, tout Ă©tait prĂȘt Ă ĂȘtre mis en exĂ©cution. Il Ă©tait impossible qu'il Ă©choue. Bien entendu, grĂące Ă son odorat, Kiba remarqua rapidement la prĂ©sence de Shikamaru, mais ce qu'il ne savait pas, c'Ă©tait que le Nara avait prĂ©vu cela. Kiba l'avait dĂ©jĂ Ă©vitĂ© pendant quelques semaines, il allait encore le faire, par contre il avait oubliĂ© un gros dĂ©tail. Il aurait dĂ» prendre en considĂ©ration que Shikamaru Ă©tait aussi intelligent qu'il Ă©tait fainĂ©ant et quand il avait quelque chose en tĂȘte, il ne s'arrĂȘterait pas de sitĂŽt. Le plan de Shikamaru Ă©tait basĂ© sur une seule chose, le fait que Kiba le fuyait toujours. Il allait le prendre Ă son propre jeu. C'Ă©tait plus que seulement traquer. Il devait surprendre son ennemi» dans sa propre stratĂ©gie. L'Inuzuka n'avait aucune chance de s'en sortir sur ce se retrouva coincĂ© dans l'ombre du Nara dans une ruelle faiblement Ă©clairĂ©e. Shikamaru avait utilisĂ© l'ombre de cette petite rue pour pouvoir capturer l'Inuzuka. L'ombre de la ruelle lui avait permis d'avoir une plus grande expansion que son jutsu ne lui permettait pas en temps normal. Tous les moyens Ă©taient bons pour attraper Kiba et cette fois-ci, il Ă©tait tombĂ© dans le piĂšge par lui-mĂȘme. Shikamaru n'avait pas envie de remettre Ă plus tard leur conversation. Ils avaient dĂ©jĂ assez attendu et il en avait assez que Kiba l'Ă©vite ainsi. Il s'approcha de lui et Kiba en fit de mĂȘme puisqu'il Ă©tait toujours pris dans le jutsu. Shikamaru leva son bras et traça la cicatrice de Kiba doucement avec son doigt. L'Inuzuka rĂ©pĂ©tait le mĂȘme geste sur Shikamaru. Le manieur d'ombre imaginait que la cicatrice soit sur lui au contact de la peau de son ami. Il soupira, puis baissa son bras. Ses yeux regardaient le sol, il n'osait pas affronter le regard de Kiba. Il ne l'avait pas vu depuis si longtemps. Un lourd silence s'installa entre les deux. Shikamaru le brisa dans un faible murmure. Il s'excusa. Il relĂącha ensuite son Ă©tait Ă peine relĂąchĂ© du jutsu que Shikamaru Ă©tait dĂ©jĂ loin. Il regarda la direction vers laquelle le Nara Ă©tait partie. Il fixait ce point jusqu'Ă ce qu'Akamaru le sorte de sa torpeur. Il soupira. Shikamaru Ă©tait beaucoup plus tĂȘtu qu'il ne l'avait cru. Il se demandait mĂȘme s'il n'Ă©tait pas plus tĂȘtu que lui. Cette pensĂ©e le fit sourire. Il sortit de cette ruelle et se dit qu'il ferait mieux d'aller voir son ami. Il avait lui aussi Ă s'excuser, le manieur d'ombre n'Ă©tait pas le seul dans le tord. Sans surprise, il le trouva en train de regarder les nuages, Kiba se coucha Ă ses cĂŽtĂ©s. Sans tourner la tĂȘte vers lui, il lui dit qu'il s'excusa de l'avoir Ă©vitĂ© comme il l'avait fait. Tous les deux avaient agis comme des gamins. Maintenant, les pendules Ă©taient remis Ă l'heure. Kiba ajouta que si jamais il devait arriver quelque chose Ă nouveau, la prochaine fois, ils devaient parler et ne pas agir comme tous deux l'avaient fait. Shikamaru acquiesça, Kiba avait totalement raison. Il agissait avec plus de maturitĂ© qu'il ne l'avait fait. Il sourit Ă cette pensĂ©e. Une complicitĂ© venait de naĂźtre entre eux deux sans qu'ils ne s'en rendent cette journĂ©e, les deux se voyaient plus rĂ©guliĂšrement. Kiba avait totalement pardonnĂ© que Shikamaru ait autant Ă©tĂ© sur son dos et inquiet pour lui. Le Nara s'Ă©tait excusĂ©, mais il s'Ă©tait assurĂ© que Kiba allait vĂ©ritablement bien avant de trop s'avancer. En discutant avec l'Inuzuka, il avait rĂ©alisĂ© que la cicatrice ne le dĂ©rangeait vraiment pas. Il n'avait qu'hausser les Ă©paules et ajouter que cela faisait partie du mĂ©tier du ninja. Il aimait aussi dire qu'elle lui donnait de l'allure et du charme auprĂšs des dames. Il avait toujours le ton rieur quand il disait cela d'ailleurs. Il devenait plus sĂ©rieux quand il disait Ă Shikamaru d'arrĂȘter de s'en faire avec cette marque, car en aucun cas c'Ă©tait Ă lui de l'avoir. Kiba avait Ă©tĂ© trĂšs clair lĂ -dessus, jamais cette cicatrice ne devrait ĂȘtre au Nara. Quand Shikamaru demandait pourquoi, Kiba rĂ©pondait qu'il avait fait son choix, tout simplement et qu'il devait l'accepter. Shikamaru essayait de se mettre en tĂȘte que c'Ă©tait pour le bien de la mission et il promit Ă son ami de faire un effort. Cette simple promesse avait rendu un sourire sur le visage de Kiba. Pour le moment, cette rĂ©ponse lui journĂ©es passaient et ne se ressemblaient pas. Shikamaru avait finit par trĂšs bien vivre avec la cicatrice qui marquait le visage de son ami, mĂȘme Ă l'apprĂ©cier. Autant il avait pu la dĂ©tester, plus il l'apprĂ©ciait, en fait, mĂȘme s'il ne l'avoua pas, il la trouvait magnifique. Elle se mariait parfaitement bien au trait de Kiba. De plus, mĂȘme si Kiba ne l'avait pas avouĂ©, ayant seulement dit que c'Ă©tait pour la rĂ©ussite de la mission, il savait que c'Ă©tait aussi le symbole de leur amitiĂ© et de leur complicitĂ©. Ils Ă©taient devenus des insĂ©parables. Shikamaru ressentait plus que de l'amitiĂ© pour Kiba, avec ChĂŽji il avait une amitiĂ© profonde et Ă©ternelle, mais avec l'Inuzuka c'Ă©tait... diffĂ©rent. Il n'osait tout de mĂȘme pas mettre de terme sur la relation qu'il entretenait, mĂȘme si son meilleur ami â ChĂŽji â ne cessait de lui rĂ©pĂ©ter qu'il Ă©tait en amour et qu'il devait l'assumer, mais le Nara trouvait que sa relation avec Kiba Ă©tait suffisante de la maniĂšre qu'elle Ă©tait. Il ne pouvait pas admettre qu'il Ă©tait vraiment en amour avec l'Inuzuka. Ce n'Ă©tait qu'un ami...Kiba avait souffert pendant la pĂ©riode qu'il avait ignorer Shikamaru. AprĂšs tout, il avait toujours eu ce dernier en trĂšs haute estime, malgrĂ© qu'il Ă©tait fainĂ©ant par moment, mais cela faisait partie de la personnalitĂ© qu'il apprĂ©ciait chez lui. Il Ă©tait impressionnĂ© par son intelligence, de son sĂ©rieux quand ses amis Ă©taient concernĂ©s et de sa fainĂ©antise qui Ă©tait davantage une façade qu'autre chose. En apprenant Ă le connaĂźtre et passer davantage de temps avec lui, il avait rĂ©alisĂ© Ă quel point Shikamaru Ă©tait bien balancĂ© entre ses heures de repos et son travail. Ce n'Ă©tait pas qu'il Ă©tait paresseux, il savait seulement bien utiliser son temps. L'Inuzuka Ă©tait attirĂ© par l'aura qui gravitait autour du Nara, tout simplement. Il Ă©tait heureux de passer le plus clair de son temps avec lui, mais il n'avait aucun espoir. Il n'Ă©tait pas quelqu'un de pessimiste de nature, mais lui et Shikamaru avaient toujours Ă©tĂ© que des amis et il se doutait bien que les choses allaient rester ainsi. Les choses seraient trop... CompliquĂ©s. Il trouvait qu'il y pensait trop. Il dĂ©cida de se coucher dans l'herbe et de regarder les nuages, habitude qu'il avait pris avec le Nara... Shikamaru...Kiba n'avait cessĂ© de remuer ses pensĂ©es dans les derniers jours, jusqu'Ă ce qu'il arrive Ă une rĂ©flexion qui le fit agir Il faut oser pour que la vie nous apporte quelque chose de bien.» C'Ă©tait sa pensĂ©e positive du jour. Depuis le temps qu'il ruminait ses rĂ©flexions, aujourd'hui allait ĂȘtre le jour oĂč il allait prendre action alors, il allait prendre son courage Ă deux mains. Il allait tenter le tout pour le tout, une bonne fois pour toute... Si tout Ă©chouait et bien... Tant pis, il pourra dire qu'il a essayĂ© quelque chose au moins, contrairement Ă ce que la majoritĂ© des gens feraient. Il n'avait qu'Ă faire croire Ă une soirĂ©e banale entre amis, mais en fait, il en profiterait pour faire son premier mouvement. C'Ă©tait simple, non? Il Ă©tait nerveux, vraiment nerveux. Il ignorait comment la soirĂ©e allait se terminer, il ignorait si cette demande allait briser son amitiĂ© avec le Nara. Il sentait son coeur battre Ă toute vitesse dans sa poitrine et une goutte de sueur se perla sur son front. Il ne devait pas y penser, il devait se calmer, agir normalement. Il avait l'impression que plus il tentait de faire comme d'habitude, plus ses gestes semblaient Shikamaru! Es-tu libre ce soir?-Salut! Je devrais finir de travailler tard, mais ensuite je suis te dirait d'aller manger un petit quelque chose, puis aller au cinĂ©ma?-Oui, bien sĂ»r!Shikamaru rĂ©alisa qu'il avait peut-ĂȘtre acceptĂ© un peu trop rapidement, mais Kiba ne l'avait pas remarquer. Il Ă©tait bien trop content pour rĂ©aliser quoi que se soit. L'Inuzuka sourit Ă Shikamaru et lui dit qu'il devait partir. Il avait promis qu'il s'entrainerait avec Shino et Hinata. C'Ă©tait vrai, mais c'Ă©tait surtout une excuse pour que le Nara ne voit pas le sourire de victoire qui allait s'afficher sur son visage d'une seconde Ă l'autre. Il avait de la difficultĂ© Ă se contrĂŽler. Avoir manquĂ© de sang-froid, Kiba se serait mis Ă gambader, mais il resta calme... dans les apparences. Par contre, il voulait vĂ©ritablement se calmer, aprĂšs tout, Shikamaru croyait que ce n'Ă©tait qu'une banale sortie entre ami et non un rendez-vous d'amoureux alors, il ne devait pas mettre ses attentes trop haute. Il n'allait ĂȘtre que déçu dans ce cas-lĂ , mais il ne pouvait pas s'empĂȘcher d'ĂȘtre heureux de passer une soirĂ©e complĂšte avec Shikamaru. Il espĂ©rait qu'il y avait des bons films au cinĂ©ma, il n'avait mĂȘme pas pensĂ© Ă vĂ©rifier. Il ressentit une vague de nervositĂ© l'envahir. Sans compter qu'il voulait l'emmener dans un restaurant en particulier et s'il n'avait plus de places? Il se dĂ©pĂȘcha d'aller faire des rĂ©servations avant d'aller rejoindre Shino et l'entrainement, Hinata fit remarquer Ă Kiba d'une petite voix qu'il n'Ă©tait vraiment pas concentrĂ© aujourd'hui. Il eut un rire nerveux. Ce n'Ă©tait pas dans ses habitudes. Shino s'approcha Ă pas de velours derriĂšre lui et demanda dans un souffle avec qui il avait rendez-vous. L'Aburame avait toujours Ă©tĂ© un peu trop perspicace aux yeux de Kiba. Il expliqua, le plus calmement qu'il en Ă©tait capable dans son Ă©tat, que c'Ă©tait tout simplement une sortie entre ami. Il ne pouvait voir les yeux de Shino, mais il sentait que son regard le sondait, puis il ne fit qu'Ă©mettre un petit son en lui disant bonne chance. Hinata eut un petit rire. Puis, les trois complices retournĂšrent Ă leur entrainement, mais cette fois-ci avec un entrain nouveau. Shino et Hinata avaient envie de tirer les vers du nez de Kiba, alors il Ă©tait devenu leur cible. L'entrainement se termina sous le rire timide d'Hinata et ce qui pouvait ressembler Ă un sourire pour Shino, puis un soupir â exagĂ©rĂ© pour le jeu â de Kiba. Il avait finit par avouer que c'Ă©tait le Nara qu'il voyait ce soir. Il ne pouvait rien leur cacher. C'Ă©tait ses meilleurs Ă©tait nerveux. Il se rĂ©pĂ©tait sans cesse que Shikamaru voyait cette sortie comme une soirĂ©e entre ami, mais il n'y avait rien Ă faire. Son coeur battait de plus en plus fort. Pourtant, ce n'Ă©tait pas la premiĂšre fois qu'ils se retrouvaient tous les deux seuls. Il cogna Ă la porte du bureau de Shikamaru avec une certaine anxiĂ©tĂ©. Le Nara s'excusa, il ne pouvait pas partir tout de suite, car il avait du travail de derniĂšre minute. Kiba ne fit que lui sourire et se tira une chaise pour s'installa face au bureau de Shikamaru. Ensuite, il lui demanda s'il pouvait l'aider, mais Shikamaru dĂ©clina l'offre, c'Ă©tait son travail et il avait presque terminĂ©. Kiba l'observait travailler avec un petit sourire au coin des lĂšvres. Shikamaru s'excusa Ă nouveau quant il eut terminĂ© son travail. Kiba lui rĂ©pondit que cela ne lui dĂ©rangeait pas, il comprenait que son travail passe avant. De plus, il l'avait avertit qu'il terminerait tard ce soir. L'air commençait dĂ©jĂ Ă se faire frais, pourtant il n'Ă©tait que dix-neuf heures, les rues de Konoha Ă©taient dĂ©jĂ dĂ©sertes. Les deux garçons marchaient en silence pour profiter du calme qui ne durerait sĂ»rement avait rĂ©servĂ© des places dans le plus beau restaurant de Konoha. Shikamaru en Ă©tait mĂȘme gĂȘnĂ© que l'Inuzuka paye tout. Kiba refusa catĂ©goriquement qu'il paye quoi que se soit. Il l'avait invitĂ©, alors il payait. De plus, il voulait que son ami se change les idĂ©es aprĂšs avoir travaillĂ© autant. Il n'avait qu'Ă profiter de la soirĂ©e. Le manieur d'ombre finit par oublier ce dĂ©tail et s'amusa beaucoup avec Kiba, comme d'habitude. L'Inuzuka arrivait toujours Ă lui changer les idĂ©es, Ă le faire rire. Ils parlaient de tout et de rien, riaient et parfois, ils gardaient le silence. Un silence qui Ă©tait doux, sans aucun malaise, il n'y avait jamais de malaise entre eux. Le silence Ă©tait presque rassurant. Ils pouvaient Ă©couter les conversations des tables adjacentes, puis rire en mĂȘme temps un commentaire qui s'Ă©tait dit et la conversation pouvait reprendre de plus belle. Quand ils eurent terminĂ© de manger, Kiba paya le note sans la montrer au Nara, puis ils sortirent du restaurant pour se diriger vers le cinĂ©ma de ils choisirent le film ensemble. AprĂšs avoir hĂ©sitĂ© entre un film d'aventure et un film d'horreur, ils choisirent le film d'aventure, ils voyaient dĂ©jĂ assez d'horreur dans leur quotidien. Le rĂ©sumĂ© du film disait qu'un hĂ©ros devait sauver la princesse du temple maudit avant que le vilain ne la marie, car la fin du monde arriverait. Projection Ă tendance un peu fantastique, ils n'avaient pas entendu les critiques du film, alors ils se dirent que c'Ă©tait mieux ainsi, car ils n'auraient aucune attente. Pendant tout le film, Kiba sentait la peau de Shikamaru sur son bras, ce qui lui donnait des frissons. Pendant toute la journĂ©e, il avait attendu cette soirĂ©e avec impatience, alors il Ă©tait devenu hypersensible. Il faisait beaucoup d'effort pour se concentrer sur l'Ă©cran pour ne pas montrer son trouble, mais c'Ă©tait d'autant plus difficile. Surtout que le film n'Ă©tait pas particuliĂšrement accrocheur. Ils auraient peut-ĂȘtre Ă©tĂ© mieux avec le film d'horreur en fin de film se termina et les deux garçons sortirent de la salle en riant. Ils agirent en gamin en imitant le hĂ©ros du film. Sur un coup de tĂȘte, Kiba dit Ă Shikamaru qu'il devait jouer la princesse pour quelques secondes et lui ferait le hĂ©ros. Avant que le Nara ait le temps de rĂ©agir, Kiba l'embrassa. Puis, rouge de honte, il se retourna et s'apprĂȘta Ă partir en courant, mais le Nara le coinça dans son ombre. L'Inuzuka commençait Ă avancer contre son grĂšs. Shikamaru ne disait rien et il ne pouvait pas voir son visage. Il se demandait oĂč il allait l'amener. Qu'est-ce qu'il avait en tĂȘte? Allait-il le laisser tomber du haut d'une montagne? Puis, Kiba arrĂȘta d'avancer. Il ne pouvait toujours pas bouger le moindre muscle de son corps. Il rĂ©alisa qu'ils Ă©taient dans une ruelle, celle oĂč ils s'Ă©taient rĂ©conciliĂ©, celle oĂč Shikamaru avait si dĂ©licatement touchĂ© sa cicatrice. Il devait chasser cette pensĂ©e, ce ne devait ĂȘtre qu'un hasard s'ils se retrouvaient ici Ă nouveau. De plus, Shikamaru Ă©tait probablement choquĂ© par son geste, il n'avait toujours rien dit. Kiba sentit des larmes coulĂ©es doucement sur ses joues, il venait de perdre un bon ami. Il en Ă©tait s'arrĂȘta dans cette ruelle. Celle oĂč il avait pris son courage Ă deux mains pour s'excuser, celle oĂč tout avait commencĂ©, celle qu'il avait commencĂ© Ă avoir des sentiments pour l'Inuzuka, celle qui avait dĂ©marrĂ© leur si belle amitiĂ©. Il regarda le dos de Kiba, se rendait-il compte qu'il l'avait amenĂ© ici? Il n'avait pas osĂ© parler, il ne savait pas quoi dire. Il avait Ă©tĂ© nerveux pour cette soirĂ©e, il n'avait pas cru qu'elle finirait aussi bien, mais, prĂ©sentement, il y avait un malaise entre eux deux. Il fit grimper son ombre sur Kiba pour le faire se retourner et le plaqua doucement sur le mĂ»r. Il remarqua ses larmes et les essuya doucement. Kiba semblait inquiet, Shikamaru Ă©tait lui-mĂȘme incertain de ce qu'il faisait. Il aimait Kiba, c'est pour cette raison qu'il lui avait pris autant de temps pour accepter qu'il se sacrifie Ă sa place, mais l'Inuzuka l'aimait aussi? Ătait-ce pour cette raison qu'il avait sautĂ© devant lui? Il passa Ă nouveau son doigt doucement sur la cicatrice, puis il prit les poignets de Kiba entre ses mains et les plaqua au mĂ»r. Il relĂącha son jutsu, mais Kiba Ă©tait toujours immobilisĂ© par la prise du Nara. Finalement, il embrassa Kiba timidement. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Ă lire avant de poster = Ă lire avant de poster = Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumDradra - Forum de test~ CatĂ©gorie 3 Forum Pratiquerl'indiffĂ©rence. Lâharceleur ne poursuit son comportement que s'il ressent la dĂ©tresse et le mal-ĂȘtre de sa victime. Dans le cas d'un manipulateur incapable de se remettre en